mardi 22 septembre 2009

Géo Vexin rapport au Maire classé sans suite



Ce rapport de CHEREL n'a pas été pris en compte, le dossier a été repris de main de maître par Nicollet et classé sans suite et sans condition envers Géo vexin.





Géo Vexin la fermeture du stockage souterrain de gaz sur Gargenville.

Le débat Public du 06/04/2009 met en évidence un désastre écologique à venir + de 100 habitations seront touchées dont des bâtiments communaux.
Sur des documents établis les experts nommés par l’Etat et réglé par Géo Vexin ils ne sont pas vraiment indépendants. Les études de stabilité du terrain ont été réalisées par Géo Vexin.
Géo-Vexin affirme que le procédé adopté a une stabilité favorable dans le temps.
S’il y avait une remonté hypothétique cloche de foudroyage au dessus des intersections, elle serait de 106 ml et ne déboucherait pas en surface ! Il ne reste que 24 ml. (Bien entendu l’on ne tient pas compte des paramètres extérieurs.)
Le souci principal pour eux est d’attendre 5 ans, le site sera abandonné et déjà classé en mine, l’Etat prendra les risques après comme ils savent le faire. Et voilà Géo Vexin dégagée de toute responsabilité, ce groupe dans un délai court sera transformé et absorbé par un autre groupe, il ne sera plus possible pour Gargenville d’avoir un quelconque recours en justice, le temps aura fait son œuvre.
Concernant l’ennoyage en cours le procédé chasse le gaz liquide restant par un apport d’azote pour dilution du gaz liquide et sa récupération. Il reste à bruler 15 tonnes soit : 0,0001% ! Dans la craie le gaz s’est accumulé ainsi que dans les poches, ce chiffre, il faut le multiplier par 10 pour une réelle prise en compte des gaz prisonniers.
Les risques pour eux sont de trois ordres :
Risques liés à l’accessibilité des ouvrages souterrains pour des tiers, cela ne pose pas de problème sauf dans les intersections rendues plus fragiles.
Risques liés à l’instabilité des galeries. La profondeur étant en moyenne de 130ml la voûte est supposée stable. L’écoute sismique permet un contrôle temporaire seulement si le niveau de l’eau est maintenu et de ce fait la pression, il faudra un contrôle hydrologique dans le temps, il y a problème, si la pression est inférieur à 5 bars pour un restant de propane en stock dans les cavités et dans la craie. Il sera toujours possible des confortements partiels sans dénoyage, cela ne rassure pas, ils prévoient déjà des effets secondaires. Selon certains experts, un affaissement n’est pas impossible
Risques de pollution liée à une modification du régime hydraulique.
La pollution de la nappe sera minimum à leur avis : Les hydrocarbures dissous dans l’eau ne seront que de 5mg /l.
Les risques pour nous dans le temps sont les suivants :
Les poches de gaz.
Pour conséquence dans un avenir proche soit une ou deux générations des remontées par des failles naturelles dans la craie, là, il y a bien risque de fontis dû au frottement de la craie Turonienne du Bassin Parisien avec l’eau, celui-ci a une porosité de 35%. Il n’y a pas de mesure exacte à ce jour. Le propane a saturé la craie des gaz transformés par la nature, gaz radons ou autres. Imaginons des flammèches en surface des feux incontrôlables qui seront classés comme réaction naturel du terrain car le site sera oublié d’ici là. (Maladies respiratoires, cancers et autres
Nappe phréatique et la Seine
Elle est possible par la jonction de la descenderie et de la galerie principale située, pas de coulis prévu à cet endroit. Un fontis naturel accéléré par des pressions différentes peut se former rapidement. Avec, pour conséquence la pollution de la nappe phréatique, quelle catastrophe pour la région. Nous servons de test à échelle 1, ils ne connaissent pas à ce jour les risques, nous en sommes aux théories. Dans cette zone, Il ne faudra pas effectuer de travail souterrain supérieur à 10 ml ce qui limitera dans le temps des constructions importantes sur le site de l’actuel stockage descenderie et sur le site Calcia. Il y a des risques sur le niveau de la nappe environnante avec interaction sur le pompage de la Lyonnaise des eaux et des réactions sur la nappe de l’autre coté de la Seine (d’Aubergenville), voir une pollution régionale. Il faudra tenir compte de la dégénération de gaz de fermentation qui influera sur la qualité de l’eau dans le temps et de produits non pris en compte à ce jour, batteries, hydrocarbures de matériels ennoyés au début des premières années, ils étaient tombés à cette époque sur une rivière souterraine voir plus de Trois mètres de diamètre, il a fallu adapter le site, cela n’a pas du être pris en compte dans leurs calculs.
Intervention de l’Etat
Qui y a-t-il en réalité d’enfoui actuellement sur le site ! Le fait de dire mine classée signifie contrôle par l’état ! Minerai radioactif !matériels périmés !produits chimiques !armes bactériologiques !etc.…
Les experts ont effectués un contrôle chacun sur un élément demandé, mais ils n’ont pas mis tous les paramètres convergeant, Géo Vexin ne leurs a pas demandé. (Un puzzle non terminé à ce jour.)
Il faudrait maintenant leur demander réparation suite aux dommages collatéraux actuels et dans le temps ou faut-il attendre que l’oubli et la nature fassent le reste du travail.
Le mieux est d’exiger maintenant le remblaiement total de ce site.
(Monsieur Samitier en son temps a intenté un procès à la société ELF et avait obtenu 9 millions de francs de dommage.)
Voilà, Pierre Marie ma réflexion sur ce site, (vas-tu fermer les yeux comme mon article sur le SITA).
Jean Paul CHEREL, le 1er Adjoint de Gargenville.

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