lundi 29 octobre 2018

Pourquoi les migrants ne vont-ils pas dans les pays arabes riches ?


Il y a peu, à une émission de la télévision chinoise. 

 Le président de la Ligue arabe Ahmed Aboul Gheit, était interviewé sur la chaîne Tian Wei. 
La journaliste lui demande:
TW: Pourquoi ces migrants ne vont-ils pas chez vous s’installer?

AAG: Parce que nous ne sommes pas une destination pour les migrants. Mais nous sommes ouverts. 
TW: Alors expliquez-nous, je vous prie, pourquoi ils ne veulent pas aller dans vos pays, tous ces migrants et réfugiés ?
AAG: C’est très simple : 
Nous ne faisons pas d’exceptions avec eux. Lorsqu’ils franchissent nos frontières et demandent l’asile, la prochaine étape est qu’ils signent un document qui les oblige à respecter tous les droits et règles de nos pays, et qui précise qu’en cas de violation de cet accord, ils seront condamnés, avec une procédure accélérée, aux mêmes peines que la population locale (ce qui peut aller dans les cas graves jusqu’à la peine capitale) et seront renvoyés dans leur pays de provenance aussitôt leur peine terminée.  
Nous leur faisons signer également un accord stipulant que l’aide financière qu’ils touchent pour leur intégration dans nos pays doit être intégralement remboursée dans les deux ans, faute de quoi nous saisirons tous leurs biens et ils seront expulsés définitivement de nos pays… 
Si quelqu’un ne sait pas lire et écrire, il apposera au document son empreinte digitale. Il n’y a aucune excuse du genre : « je ne connaissais pas la culture locale », ce qui serait d’ailleurs peu crédible dans le cas des personnes arabes, et ce genre d’excuse n’est pas pris en compte.

Ces arguments que je viens de citer sont arrivés aux oreilles de chaque migrant, c’est pourquoi ils ne veulent pas demander d’asile dans les pays arabes.

TW: Ne trouvez-vous pas radicale cette façon de procéder avec eux, 

M. Gheit ? L’Europe occidentale est bien plus souple avec eux !

AAG: Absolument pas ! Parce que si je devais chercher refuge et demander de l’aide un jour dans un autre pays, je trouverais un devoir absolu d’obéir à la lettre aux lois de ce pays, et que sinon je sois expulsable par n’importe quel moyen. L’Europe de l’Ouest finira par se réveiller et regarder la situation telle qu’elle est.

Et en conclusion il ajoute:
 
Il faudrait que les dirigeants de l’Europe de l’Ouest soient envoyés à Doha au Qatar ou encore en Arabie saoudite pour demander l’asile dans ces pays pour qu’ils expérimentent « sur leur propre peau » ce que je viens de dire. 
Là, ils se réveilleraient !

jeudi 25 octobre 2018

réflexion...



Si conformément à l'Église, la pilule du jour d'après est déjà considérée comme un avortement…



la nature est t'elle condamnable???

Alors une nouvelle question se pose :


La masturbation peut-elle être vue comme un homicide prémédité ?

En outre, est-ce que la fellation devient du cannibalisme ?

Et aussi, doit-on considérer le coït interrompu comme un abandon parental ?




Que peut-on dire sur le préservatif ? Serait-ce un meurtre par asphyxie ?

Le doute ma bite...

Pardon de cette vulgarité dans ce monde si prude... 

JP CHEREL

vendredi 19 octobre 2018

Qu'est-ce quelle a ma gueule!!!



il faudrait peut-être arrêter les conneries en cette France bien prude...
 JP CHEREL



article de Match:
Après les moqueries de Mélenchon, une députée LREM s'engage contre la "glottophobie"


Une députée LREM a annoncé le dépôt d'une proposition de loi contre les discriminations linguistiques, au lendemain de moqueries de l'accent du sud d'une journaliste par Jean-Luc Mélenchon.
© Thomas Samson / AFP
Laetitia Avia, députée LREM, a annoncé jeudi soir le dépôt d'une proposition de loi contre les discriminations linguistiques ou "glottophobie", au lendemain de moqueries de l'accent du sud d'une journaliste par Jean-Luc Mélenchon.
"Parle-t-on moins français avec un accent? Doit-on subir des humiliations si on n’a pas d'intonations standardisées ? Parce que nos accents sont notre identité, je dépose, avec des députés @LaREM_AN, une proposition de loi pour reconnaître la glottophobie comme source de discrimination", a tweeté la députée de Paris.
Dans l'ébauche de sa proposition, jointe à son message sur le réseau social, cette porte-parole de LREM indique que le terme de "glottophobie" théorisé en 2016, fait référence à "l'accent d'une personne". Sa proposition souligne que "l'accent, qu'il soit mosellan, ch'ti, du sud, parisien ou encore banlieusard" est "partie intégrante de l'identité de nombreux Français".
Mercredi, dans les couloirs de l'Assemblée nationale, le chef de file de La France insoumise et député des Bouches-du-Rhône avait tourné en dérision une journaliste qui lui posait une question, en imitant l'accent du sud de celle-ci.
"Vous dites n'importe quoi. Est-ce que quelqu'un peut me poser une question en français et à peu près compréhensible? Parce que votre niveau me dépasse", avait lancé Jean-Luc Mélenchon dans cette séquence qui a largement circulé sur les réseaux sociaux.


 ARTICLE EN COURS LA POLLUTION GARGENVILLE 2005/2010 Le temps d'une Maire et d'élus scélérats dans le bois des jolibois à coté du gr...