LE MONDE MERVEILLEUX DE « JEAN DU VILLAGE »
Quelle maladie divine t’a piqué en 2014 « la PESTE
ou le CHOLÉRA » ?
Le ridicule panneau « Honneur à notre maire!!! » a-t-il contaminé et damné ton esprit en te transformant en "gros constructeur régional"?
Dès les premiers jours de ton élection, tu trahis tes
électeurs et tes amis en votant les permis de construire des «Hauts de
Rangiport » tu densifies ainsi la
ville et entérine ainsi les 49000 m2 constructible
sur PORCHER voté par Madame Delpeuch notre ancien Maire. Il est vrai que vous avez tous les deux signés ensemble sur la zone "citée" en 2006 lors d'un conseil municipal!
Tout le contraire de tes promesses électorales.
Maintenant en fin de mandat tu deviens l’homme providentiel
qui veut changer le « cœur de la ville » avec tes projets pharaoniques,
tu doubles que dis-je tu triples la population en approche des 15000 habitants, dans
tes tiroirs secrets règne l’apocalypse de la ville (la destruction du village)…
As-tu Jean lu l’histoire du crapaud qui se voulait plus gros
que la vache…
Ton copain d’enfance te disait en boucle des « salut-salaud »…avait-il raison???
Hé oui…tu fais pire que tes prédécesseurs que tu as tant critiqué.
EPFI et ses constructeurs sonnent à la porte de la ville et
toi "le sage Gargenvillois bâtisseur" tu ouvres notre porte et remet
les clés de notre ville en 2018 sans nous demander la permission. Il est vrai que tu as fait voté au début de ton mandat le "pouvoir" sur l'Urbanisme et les finances comme çà t'es tranquille…malin le Jeanjean...et les scons (es) votent pour ta politique communale sans chercher àcomprendre...
Le danger sur Gargenville n’a jamais été aussi grand.
En 2020 aux élections municipales que vont faire les Gargenvilloises et Gargenvillois!
Quand à
l’opposition elle a déjà statué sur la suite en cas de gagne, elle ne te poursuivra
pas pour traitrise comme tu concrétises leur programme mis en place,
normal, c’est leur bébé depuis le 10 septembre 2004 et tu ne les a pas non plus attaqué reprenant l’écharpe
au vol en 2014…
JP CHEREL
