samedi 27 septembre 2014

Les maires successifs "constructeurs de la ZAC" au travers des articles du Parisien de 2008/2014



Un résumé de l'affaire "PORCHER" 
sur le site industriel désaffecté devenant constructible malgré la pollution...

La ZAC 
"Zone Aménagement Concerté"
par l’État avec les maires successifs…
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SEULE... sans l'aide des prétendants

"La Défense Gargenvilloise" a retardé le projet dantesque « PORCHER » 
des 700 appartements par des actions en justice.

Le Maire fraichement élu a promis de réduire la Zone, nous attendons de voir…

Celle-ci devrait démarrer en septembre/octobre 2014
Si les recours déposés par la défense Gargenvilloise ne résistent à l’État et à ses maires???
Nous trouverons bien une autre manière pour retarder encore et encore s'il le faut.

Pendant la campagne électorale l’action de la Défense Gargenvilloise a été
attaquée de toute part par les 3 opposants et ses membres critiqués et traités eux de "constructeurs"...
Un monde à l'envers...
Une campagne de mensonges pour le pouvoir???

Allons-nous le payer au juste prix Gargenvilloises et Gargenvillois!

OUI très certainement mais combien???

JP CHEREL

de 2004 à 2008 
l'ancien Maire Madame DELPEUCH terminant le Mandat d'André SAMITIER 
n'a pas informé les Gargenvillois et la presse du projet  "PORCHER"??? 
dans l'extrait du conseil municipal du 20 septembre 2007 

l'actuel maire a signé cette convention donnant l'unanimité à Madame le maire??? 

L' INCROYABLE RÉALITÉ DES FAITS INCONTESTABLES!!!




 Dans un article du PARISIEN le maire précédent annonce...



"""Il ne devait jamais y avoir 600 logements sur le site PORCHER"""

C'est parce que nous en avons pris conscience seulement pendant l'étude urbaine et la concertation public des derniers mois.

Rien n'était prévu avant assure le maire???







L'usine fantôme va être rasée
Publié le 20.11.2008
A L'ABANDON depuis une quinzaine d'années, l'ex-usine Porcher de Gargenville sera remplacée dans les prochaines années par des logements et des commerces. Son avenir sera évoqué dans les prochains jours lors d'une réunion de l'Epamsa, l'établissement public chargé d'urbaniser la vallée de la Seine. Selon le maire Pierre-Marie Darnaut (DVG), un programme d'environ 300 logements ainsi que des « commerces de proximité » seront édifiés sur les sept hectares abandonnés.

« Les habitations s'élèveront sur un ou deux étages. Elles permettront aux jeunes Gargenvillois, à la recherche d'un premier logement, de rester dans la commune. Il nous faut construire une cinquantaine de logements par an pour maintenir la population », estime l'élu.

Un site fortement pollué

Les travaux pourraient commencer en 2010. Mais avant, il faudra nettoyer le site qui est fortement pollué par des hydrocarbures, du ciment, de l'amiante, des résidus de béton et les… rats ! Une importante campagne de dératisation devra donc être lancée. « Une fois, ma femme en a même surpris sur le rebord de la fenêtre. Ils se faufilent sur les balcons, dans les jardins ! râle Mounir, habitant à proximité. Il y a également des poussières industrielles en suspension. Parfois, le matin, la voiture en est couverte. Vivement que ça change », ajoute cet homme à la recherche d'un nouvel appartement pour loger sa famille. « Cette zone est sale et les gens n'hésitent plus à y déverser leurs déchets. C'est une bonne nouvelle d'apprendre qu'elle va enfin être rasée », abonde Caroline, une voisine proche du site.
Le Parisien
Conseil municipal tendu ce soir
Publié le 26.06.2009
Un  an après son élection, Pierre-Marie Darnaut, le maire DVG de Gargenville, affronte sa première crise politique. Ce soir, au cours du conseil municipal*, son premier adjoint pourrait être démis de ses fonctions et l'implantation d'une aire d'accueil des gens du voyage être adoptée, au grand dam du maire d'Issou. Un climat tendu alors qu'une enquête est en cours sur des faux documents impliquant l'intervention de vigiles sur la commune.

Le maire se sépare de son premier adjoint. En mai dernier, Jean-Paul CHEREL, premier adjoint, exprimait publiquement son désaccord sur l'avenir de la zone Porcher, une friche de 7 ha visée par un programme immobilier. La sentence est vite tombée : il y a quelques jours, il s'est vu retirer ses délégations à la sécurité. Et ce soir, il devrait redevenir simple conseiller municipal. Pourtant, Jean-Paul CHEREL n'en démord pas : « Porcher, c'est du mensonge : ce n'est pas 350 logements qui sont prévus mais 700 à 1 000. », dénonce l'élu qui assure être dans une « confrontation d'idées, et non pas d'hommes ». En mairie, on balaie ces chiffres. « Sur Porcher, nous ne sommes qu'en phase d'étude, et il y aura 350 logements au grand maximum », jure un proche du maire

Issou dit non à l'aire d'accueil des nomades. Pierre-Marie Darnaut doit aussi faire face au mécontentement de la maire (SE) d'Issou, Martine Chevalier. L'aire d'accueil de Gargenville pour les gens du voyage sera construite à la frontière entre les deux communes, au grand dam d'Issou qui lance une procédure judiciaire contre son voisin. « Le site choisi est dans une zone Seveso, et en plus les enfants des gens du voyage vont devoir traverser une départementale pour se rendre à l'école », déplore Martine Chevalier. « Les nuisances liées à cette aire seront plus importantes pour les Gargenvillois. Issou ne sera pas touchée, rétorque ce proche de Pierre-Marie Darnaut. Que Madame la maire nous propose un emplacement sur sa commune ! »
* A 20 h 30 à l'hôtel de ville.

L'élu écarté veut lancer sa gazette
GARGENVILLE
Publié le 30.06.2009
Jean-Paul CHEREL n'en démord pas. Démis de ses fonctions de premier adjoint au maire (DVG) de Gargenville au cours du conseil municipal de vendredi soir, l'ancien élu, amer, est déterminé à « donner la vérité aux habitants sur la zone Porcher ». Cette friche industrielle de 7 ha doit être transformée dans les prochaines années en programme immobilier de « 350 logements pas plus », selon la mairie, « entre 700 et 1 000 », selon Jean-Paul CHEREL.
Pour alerter les riverains concernés, il veut lancer une gazette, mensuelle ou bimensuelle.

L'usine maudite placée sous surveillance
Publié le 23.02.2009
Depuis samedi, les amateurs de paintball et autres visiteurs ne peuvent plus accéder à l'ancien site Porcher. Un gardien en surveille l'entrée. L'Etablissement public foncier des Yvelines (Epfy) a décidé de rendre inaccessible cette usine désaffectée après l'accident survenu il y a tout juste une semaine. Le dimanche 15 février, des jeunes passionnés de paintball simulacre de batailles avec des billes de peinture investissent le site industriel.
Mais la partie vire au cauchemar : un jeune homme de 23 ans se blesse grièvement en tombant d'un toit. Un an plutôt déjà, un enfant de 8 ans avait trouvé la mort dans les mêmes circonstances.
Pour éviter qu'un tel scénario ne se répète, un gardien et un chien découragent désormais quiconque tente de s'approcher des entrées percées dans les grillages ou les murs d'enceinte au fil des quinze ans d'abandon du site industriel. Cette usine maudite ne devrait donc plus être le théâtre d'un nouveau drame de l'imprudence d'ici à la destruction complète de tous les bâtiments. Ce chantier interviendra à la mi-mars. Il est prévu ensuite de construire sur ce terrain de 8 ha un ensemble de quelque 300 logements et commerces.
Publié le 24.09.2009 
L'ex-site Porcher transformé en décharge
Chasse aux pollueurs à Gargenville. Depuis plusieurs semaines, la commune est victime des agissements d'entrepreneurs ou de particuliers qui viennent déposer des tonnes de déchets et de gravats sur l'emplacement des anciens locaux de la société Porcher. Ce site industriel a été rasé pour laisser la place, dans les prochaines années, à un vaste programme immobilier. Mais depuis son démantèlement, il est devenu facilement accessible.

« Des entreprises y déposent leurs gravats en toute illégalité »

Des poids lourds et des camionnettes y viennent, bien souvent la nuit, y déverser leurs déchets. « Des entreprises y déposent leurs gravats en toute illégalité. C'est plus facile que de se rendre à la déchetterie. Mais c'est illégal. C'est de l'incivisme total. En plus, nous ne connaissons pas exactement la nature des détritus », tonne un proche du maire, Pierre-Marie Darnaut (DVG). L'édile a même affiché des photos de ces tas de gravats sur le site Internet de la mairie, en dénonçant des « épouvantables désagréments ».
Depuis, une société spécialisée a été sollicitée afin de débarrasser les déchets, et le ballet des camions s'organise sur le terrain. « C'est un sacré boulot, confie l'un des employés de cette entreprise. Nous devons retirer près de 3 000 m 3 de gravats, ce qui représente environ 3 500 tonnes. C'est un travail énorme. Il y a des tas de 4 m de hauteur.
Pour éviter que cela se reproduise, nous avons érigé des mottes de terre tout autour du site. Ni les camions ni les caravanes ne pourront désormais pénétrer sur le site », explique, sur place, un ouvrier. La grille d'entrée au site va également être cadenassée rapidement. Pour éviter de nouveaux dépotoirs sauvages, la mairie compte sur le recrutement de ses deux premiers policiers municipaux, assermentés. Ils sont attendus en mairie dans les prochaines semaines.

La crise municipale dope le blog local
Publié le 26.04.2010
Les concepteurs du blog de Gargenville, gargenville.blogspot.com, peuvent remercier la crise politique qui secoue la ville depuis plusieurs semaines. Ce site, qui relate l'actualité locale ainsi que les procédures judiciaires concernant certains élus, a connu une forte hausse de visiteurs ces derniers jours. Quelque 6000 personnes sont déjà allées sur ce blog, ouvert en septembre 2009. « Il y a même des habitants des communes voisines qui nous lisent », se réjouit l'un des rédacteurs, avant de déplorer la hausse de commentaires injurieux ou diffamatoires.
Le Parisien

Le site Porcher comptera 350 logements écolos
Publié le 24.03.2010
Principal sujet de la campagne pour les municipales de 2008, objet de polémiques terribles, la zone Porcher de Gargenville revient sur le devant de la scène. Le maire DVG, Pierre-Marie Darnault, vient de confirmer que ce site industriel de sept hectares, à l'abandon depuis 1997, accueillera dans les prochaines années 350 logements construits selon des normes environnementales strictes. Le premier coup de pioche pourrait être donné d'ici à 2013.

Ce nouveau quartier comptera de petits immeubles d'un et deux étages ainsi que des maisons et des pavillons. Des commerces, des aires de jeux pour les enfants et des équipements municipaux devraient également voir le jour. En dévoilant les grandes lignes de ce projet, le maire veut couper court aux rumeurs annonçant l'arrivée de 700, voire d'un millier de logements sur le site Porcher : « Il y aura 350 logements, pas plus. Nous posséderons une réserve de 5000 m2 sur ce terrain. Mais si on devait y construire, ce serait en nombre limité et pas avant vingt ou trente ans », assure Pierre-Marie Darnault. Du côté de l'opposition, on observe d'un œil prudent les annonces du maire. « Nous sommes favorables à l'urbanisation de cette zone qui est devenue, avec le temps, une véritable verrue, confie Roland Charbonneau, conseiller municipal du groupe d'opposition. Mais nous estimons que 300 logements suffisent. Cela doit rester un quartier à taille humaine, pas une cité-dortoir. » Des habitants et des riverains craignent également que la construction de ces nouveaux logements entraîne des problèmes de circulation aux abords de la gare, déjà encombrée aux heures de pointe. Un temps source d'inquiétude, la question de la pollution du site semble quant à elle avoir perdu en épaisseur. Même si la dépollution a traîné en longueur, le terrain ne serait pas aussi pollué par les métaux lourds et les hydrocarbures que la municipalité pouvait le craindre initialement. La facture est même estimée à 400000 € contre 2 millions d'euros d'abord prévus.
Bientôt des réunions sur le projet immobilier
Publié le 19.01.2011
C'est un sujet sensible sur lequel s'apprête à communiquer la municipalité de Gargenville. Au début du mois de février, une série de réunions doit se tenir, en présence des habitants, pour évoquer l'avenir du site Porcher, une friche industrielle de 7 ha, sur laquelle doit voir le jour un programme immobilier. Le sujet a déchaîné les passions pendant des mois et le précédent maire avait déclaré qu'on y construirait « 350 logements, pas plus » en réponse à ceux qui s'inquiétaient de la construction d'un « nouveau Val-Fourré ».
Le point de vue de Nicole Delpeuch (SE), fraîchement élue, est donc attendu avec impatience. « Trois cent cinquante logements? Je n'en sais encore rien, déclare-t-elle aujourd'hui. C'est assez ouvert. Mais il faut également des commerces, du service, de l'activité. Il faut que ce soit un quartier de vie qui permette de rééquilibrer la ville. » 

Les habitants se penchent sur le futur quartier
Publié le 07.02.2011
Une soixantaine de personnes se sont réunies samedi matin, rue Bernard-Palissy, pour une visite du site Porcher, à Gargenville. L'ancienne friche industrielle, aujourd'hui dépolluée, s'apprête à vivre une seconde vie.
Rebaptisé les Hauts-de-Rangiport, le site se prépare à accueillir un projet d'envergure : un nouveau quartier avec des commerces et des services de proximité, sur une superficie de 6,7 ha de terrain.
En présence de la maire, Nicole Delpeuch (SE), de représentants de l'Etablissement public d'aménagement du Mantois Seine Aval (Epamsa), maître d'œuvre du futur chantier, ainsi que de l'Etablissement public foncier des Yvelines (Epfy), propriétaire des terrains, la visite a été l'occasion pour les différents partenaires de présenter ce projet estimé à une dizaine de millions d'euros et dont les travaux devraient débuter l'an prochain.

350 logements prévus

« J'ai vraiment hâte », témoigne Jean-François, qui vit à l'entrée du site. « Cette partie de la ville a été délaissée depuis trop longtemps », confirme l'homme, avant de conclure : « Les écoles, les services et les commerces prévus vont régler beaucoup de problèmes. »
Le projet prévoit, pour l'instant, près de 350 logements, en accession à la propriété, locatif privé et logement social, « un réel besoin », selon Roland Charbonneau, premier adjoint au maire chargé de la ville, qui précise que « près des trois quarts des administrés de la commune », qui compte 6800 habitants, « peuvent prétendre à un logement social ».
Deux réunions publiques de réflexion et de concertation sont prévues, ce soir et vendredi, pour approfondir les orientations du projet, à partir de 20h30, à la salle des fêtes.

Premiers coups de pioche en 2012 dans le futur quartier
Publié le 04.02.2011
Un nouveau quartier s'apprête à sortir de terre à Gargenville. Demain, les habitants devraient en savoir un peu plus sur le projet de transformation de la friche Porcher grâce à une visite organisée.
D'ici 2015-2017 — sauf imprévu —, cet ancien site industriel abandonné depuis quatorze ans sera remplacé par un ensemble de logements, de commerces, de bureaux et d'équipements publics.
Ce nouveau quartier, baptisé Hauts-de-Rangiport, est censé rompre l'isolement de la partie de la commune éloignée des commerces et des activités. Mais il est impossible de savoir combien de logements y seront construits. D'une prudence extrême sur ce sujet sensible, la maire (SE) Nicole Delpeuch refuse de confirmer le chiffre de 350 logements évoqué par son prédécesseur.
L'élue assure que « rien n'est acté ». « Nous peaufinerons le projet au fur et à mesure des réunions publiques. Nous savons qu'il y aura de l'habitation, un groupe scolaire, des commerces et peut-être un hôtel d'entreprises », indique-t-on dans son entourage. Les premiers travaux commenceront en 2012.
Il est à noter que cet équipement a été en partie financé par le plan de relance, lancé en 2008 au cœur de la crise par le gouvernement. Ce plan a permis d'appuyer une quinzaine de projets dans les Yvelines. A Gargenville, 100000 € ont ainsi été apportés par le ministère de la Relance pour payer la dépollution du terrain.
* A 10 heures sur le site.

Le nouveau quartier comptera 600 logements
Publié le 22.07.2011
Le chiffre vient d'être rendu public : entre 300 et 350 logements seront construits sur le site Porcher de Gargenville dans les prochaines années. Mais, à la faveur de la récente consultation publique, les élus et les aménageurs ont décidé d'urbaniser plusieurs hectares supplémentaires autour de la friche industrielle.
Résultat, ce sont finalement près de 600 logements qui verront le jour sur et à proximité de la zone Porcher dans un vaste triangle baptisé les Hauts-de-Rangiport.


Porcher aménagé entre 2012 et 2018

Les presque 7 ha de terrains abandonnés accueilleront environ 300 logements, une supérette ainsi qu'un groupe scolaire d'une dizaine de classes primaires et six maternelles. Son installation entraînera la disparition de certaines classes dans le reste de la commune, même si le « solde » restera positif. « Il s'agit d'une restructuration de classes », précise la maire (SE), Nicole Delpeuch, qui refuse de parler de fermetures.

Logements et bureaux près de la gare puis chez Buffa

C'est la vraie nouveauté : les terrains situés le long de la voie ferrée seront aménagés entre 2016 et 2020. On y construira des logements et des bureaux. Une coulée verte partira de ce secteur et traversera les Hauts-de-Rangiport du nord au sud. La troisième phase de travaux s'étalera de 2020 à 2025. Cette fois, c'est la « pointe du triangle » qui est concernée. Des logements et des bureaux pourraient voir le jour sur le site de l'entreprise Buffa.

Polémique
sur les chiffres

C'était une promesse de campagne, il ne devait jamais y avoir 600 logements sur le site Porcher. Annoncé par Nicole Delpeuch pendant la campagne, cet engagement reste vrai stricto sensu. Mais, selon ses détracteurs, l'édile s'est bien gardée d'évoquer les 300 autres appartements prévus en périphérie : « C'est parce que nous en avons pris conscience seulement pendant l'étude urbaine et la concertation publique des derniers mois. Rien n'était prévu avant », assure la maire. Une pétition, appuyée par le conseiller municipal Jean Lemaire (DVD), vient d'être lancée pour réclamer l'« annulation du projet Porcher-Delpeuch ».

Le futur pont devient indispensable
Publié le 22.07.2011
Dans l'hypothèse basse de la création de 600 logements, ce sont entre 2000 et 2500 personnes supplémentaires qui s'installeront à Gargenville.
Or la ville est confrontée depuis des années à la saturation du pont reliant la commune à l'autoroute A 13. L'ouvrage est asphyxié par les dessertes locales et le trafic de camions traversant la commune pour rejoindre le nord de l'Ile-de-France.

En mars dernier, le président du conseil général, Alain Schmitz, a réaffirmé l'importance de la construction d'un nouveau pont à Gargenville. Celui-ci enjamberait la Seine près de Porcheville et permettrait de connecter l'A 13 à Tessancourt-sur-Aubette, point de passage obligé vers le nord de la région. Au moins 250 M€ seront nécessaires pour réaliser ces travaux, dont la date de lancement reste inconnue.

Rien ne parait dans le PARISIEN depuis fin 2011, ni pendant la la fin de mandat du dernier maire sortant, ni dans cette période du maire actuel...
Nous demandons à la presse locale LE COURRIER, LE PARISIEN, JTM de questionner l'élu sur la question délicate "PORCHER", celle qui n'a pas permis à Madame DELPEUCH de briller un second mandat.

Attendons patiemment... tout doucement cette ZAC en gestation?

Si vous désirez 8 minutes de pur bonheur



JP CHEREL

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