mercredi 14 octobre 2009

lettre d'un habitant au Maire 25/06/2008

Mon cher Pierre-Marie,

Voici quelques remarques personnelles dans un long tour d’horizon.
Dans mon métier, lorsque nous arrivons sur un terrain à construire, nous sommes obligés d’effectuer un repérage en forme d’inspection générale. C’est uniquement pour distinguer toutes les probabilités, les éventuels risques et dangers à éviter.
Les fondations sont les plus importantes, elles supportent l’ensemble de la bâtisse, une erreur n’est pas permise, même minime, car il en va de la solidité de la construction. C’est une règle de prendre toutes les précautions à l’évolution d’un chantier et suivant des études garanties.
La comparaison peut aussi s’appliquer suivant le même schéma de raisonnement à l’organisation de la Mairie, dans une philosophie constructive.
Aujourd’hui une Mairie comme la nôtre ce n’est pas rien et être confrontées aux plus hautes responsabilités quotidiennes demande des qualités essentielles, de l’assurance, de l’habitude, pour évoluer sans cesse et naviguer au gré des évènements.
La mémoire est primordiale et c’est un support régulier.
Je suis très heureux d’avoir fait le bon choix et je pense que les moments exceptionnels et décisifs d’une action commune, passés ensemble auprès de Jean Paul et Jean-Pierre Clauzon, ne sont pas prêts d’être oubliés.
Au soir des élections, l’opposition prédisait que la composition ne tiendrait pas plus de 6 mois.
Trois mois après, nous sommes encore, en ce 25 juin 2008, dans cette suite des évènements de l’élection, additionnée d’un état de grâce connu.
Habituellement, ce sont de bons moments, mais voici que des lacunes viennent assombrir ces temps mémorables, inscrits désormais dans l’histoire de GARGENVILLE.
J’ai devant moi, la nouvelle brochure de la ville, c’est une belle présentation, bien faite et réussie avec de belles couleurs, mais en regardant tous ces visages, j’éprouve bien des hésitations devant leur comportement. Heureusement qu’il s’agit d’une minorité, dans un autre raisonnement, qu’il leur est tout personnel et qui malgré tout déstabilise et porte ombrage. On ressent même parfois, que la tendance pourrait prendre le dessus.
En regardant attentivement les personnages, on s’étonne de la métamorphose radicale, celle-là même que nous avions démontrée par nos écrits.
Pour « La fleur du Vexin devant son destin», avec Jean-Paul nous écrivions (l’incroyable métamorphose des anciens colistiers de notre ancien Maire, pas très loyaux et déchirés, agissant contre toute logique d’héritage prouvant ainsi la dangerosité des prochaines années à venir)
Cette histoire de notre commune irait-elle à nouveau se répéter, comme une fatalité !
Décidément depuis bientôt presque 4 ans, qu’il est difficile d’obtenir un équilibre satisfaisant. Cette écharpe tricolore y est sans doute pour quelque chose. Devant ces quelques cas, la transformation obtenue peut-être multiple, offrant ainsi des facettes parfois opposées, floues, ambiguës, suivants les situations. Une sorte de caméléon, qui porte à sourire, parce qu’en fin de compte ce qui est le plus important, c’est le sérieux représenté, allié du bon sens et du respect.
Cela me fait me souvenir de la campagne de Monsieur RIBES à Mantes, il y a 40 ans. Celui-ci répétait sans cesse, du naturel, rien que du naturel et rester soi-même dans la loyauté.
Quelques décennies plus tard, c’est toujours le même problème. Eventuellement, cela pourrait être dangereux laissé en l’état, on est dans la nouveauté et par la population une image est facilement et définitivement acquise. C’est quasiment impossible ensuite de redresser les idées reçues, à moins de bénéficier d’évènements extraordinaires.
On dit que la fonction change l’homme, à ce point ce n’est pas donné à tout le monde, une sorte de révélation d’arrières pensés, de dérive personnelle, cela donne l’allure d’un curieux attelage…
Pourtant…Pourtant ce ne sont pas les exemples qui manquent ! Ce système, nous l’avons déjà vu et vécu pendant 3 ans. On l’a apprécié, cette dérive et on a regardé ces révélations s’appliquer. Montrés du doigt, tous ces éléments ont été lourds de conséquences à cette opposition actuelle. Souvenons-nous, il fallait les voir tous ces gens, qui se croyaient et s’entrevoyaient encore plus haut que Monsieur SAMITIER. Du jour au lendemain, rien ne les arrêtaient, ils étaient subitement inaccessibles, aveugles et sourds, depuis la disparition de leur Maire.
Non, ce n’est pas dans les murs, seulement dans les têtes naïves, car une attitude comme celle-ci au service d’une politique villageoise, ce n’est pas sérieux !
Évidemment, ces exemples sont désormais classés dans les tiroirs des péripéties à ne jamais renouveler. Juste pour l’anecdote, aujourd’hui encore, figés dans leur état d’esprit, « ces anciens »n’ont rien compris réellement de la réalité des faits. Méditez un peu chaque jour c’est toujours profitable. Arrivés à ce stade, pour ces convaincus, sont-ils vraiment capables de travailler sur eux-mêmes à bon escient.
Quelquefois, un bon nettoyage intellectuel et moral fait des prodiges. Cela vaut mieux que de se mordre les doigts. Dans ce genre d’affaire renouvelée, cela se payerai comptant et dans l’immédiat.
Un bon savon, pour tout nettoyer, c’est l’idéal. Avec ces esprits volatiles, qui ne regardent que leur nombril, un rappel à l’ordre fait souvent sensation, pour les autres de la fermeté appliquée est nécessaire.
Tout cela, c’était inévitable nous le savons. C’est coutumier du fait, il y a toujours de la casse dans ce genre de mise en place. C’est pourquoi la grande confiance doit dominer et fonctionner seulement avec quelques unités d’exception. C’est une force impossible à renverser, il n’en faut pas beaucoup et heureusement il y en a suffisamment dans cette formation, les uns actifs, les autres pas encore.
Tout cela me fait un peu penser à un concert public. Le chef dirige l’ensemble de la diversité des instruments. Tous les musiciens doivent jouer à l’unisson et suivant l’unique partition. La moindre fausse note décelée et c’est l’orchestre tout entier qui se trouve pénalisé. Pour celui qui veut jouer en public avoir l’oreille musicale, c’est mieux. Pour celui qui en est dépourvu éventuellement il y a encore la Musicothérapie.
Tout ne se fait pas en un jour, il faut du temps au temps, assembler, broder, parfaire et parfois subir aussi, mais régler d’urgence, même les détails.
J’ai confiance et cela depuis que je t’ai parlé chez Jean-Paul, en ces termes « ce soir, entre nous, se décide la politique de ces 6 prochaines années de GARGENVILLE » depuis elle m’accompagne dans la logique cette confiance.
A propos de confiance, je me sens un peu libéré de voir et savoir Jacques MONNIER désormais à vos à côtés. Une belle ouverture, qui malgré tout doit-être présentée comme telle, c’est en bienvenu qu’il doit être accueilli et non pas en deuxième classe bricolé. Il n’a pas encore ce qu’il espérait mais doucement, petit à petit il finira par démontrer toutes ses bonnes volontés et il y en a besoin. Il faut aussi une majorité plus large, plus stable, cette crainte de faiblesse ne doit pas durer et maintenant pourquoi ne pas penser à une place dans une fonction particulière à Jean NICOLLET.
Néanmoins, devant ce climat de quelques acteurs cela ne serait même pas suffisant, il faudrait ajouter autre chose pour définitivement asseoir une autre vision. Je pense à Jean-Pierre CLAUZON trop vite écarté. Je regarde la scène depuis le début. C’est là que tout a commencé. Son départ a bouleversé des comportements, sans doute, ont-ils pensé à un acquis de tendance définitif.
Il y a encore peu de temps, Madame SAMITIER me confiait ses qualités comme étant surtout à la hauteur des tâches confiées, un homme de dossiers a t-elle précisé.
Je le crois également, et encore mieux qu’en Elu, parce qu’en regardant encore de plus près, on s’aperçoit que ce costume de secrétaire particulier du Maire, lui allait comme un gant et cette idée également, de laisser planer le doute des réelles possibilités confiées, c’était bien pensé !
J’avoue, que je me suis régalé, de le voir dès les premiers jours, dans le bureau du Maire avec cette incroyable assurance, presque provocatrice.La porte entre ouverte en disait long et il en a fait transpirer quelques-uns. Il fallait les voir, blêmes, agars, remplis de doutes et de tous bords.
Ce n’était plus le hall d’accueil de la mairie, mais plutôt le balai des âmes perdues aux sourires crispés.
En fait, il a seulement dérangé les calculateurs et n’a fait peur qu’à des ambitions personnelles. Je passe pour les ignorants concentrés aux airs soucieux. Dans le fond, cela me manque, maintenant, cette situation de secrétaire particulier du Maire. C’est d’ailleurs ce qui était convenu, d’un commun accord durant la campagne.
En détaillant le contexte, il représentait, aussi un élément plus difficile à franchir, un cap supplémentaire. Ce côté-là m’intéressait tout particulièrement et il faisait également malgré lui un peu office de gendarme. La peur du gendarme, c’est bien connu ! Une vision différente s’imposait. Cela paraissait inscrit dans l’évidence, cette fonction en Mairie ; ce n’était pas du tout abusif.
Pour quelqu’un qui s’est donné, c’est vraiment mal payé de se voir banni du système de cette façon, cela mérite beaucoup mieux, qu’importe les éventuelles maladresses des premiers jours et je n’ose pas croire qu’il demeure une incapacité irrémédiable de retour. Ne serait-ce que pour la morale, afin de démontrer à ces détracteurs, qu’il existe une autre forme de mérite et de confiance.
Il a travaillé en amont, longtemps, pour voir les places acquises et qui lui sont en partie redevables. C’est une réalité qui demeure malgré tout et qui ne peut s’ignorer de personne. C’est une évidence, pour laquelle il ne doit pas avoir en retour de l’indifférence déplacée. Dans la logique, il existe des règles importantes, celle-ci en est une, basée sur le devoir et rien ne peut vraiment fonctionner sans l’application de principe de valeur.
Nous avions convenu auparavant des rôles à venir de chacun.
A ce niveau d’action, on se doit une confiance absolue et totale, sans quoi rien n’aurait été vraiment possible. Ce que j’ai vu, je le ressens comme un Couac communal bien exploité et qui profite seulement à quelques anxieux sans scrupule.
J’attendais autre chose pour notre commune, un meilleur équilibre. La partie ainsi distribuée est trop belle et l’on sent qu’il manque quelque chose d’important dans les esprits de chacun. De la mémoire, sans doute, aux amnésiques comblés.
Prendre place, s’asseoir dans un fauteuil, c’est facile, mettre en place et œuvrer pour cela, l’est beaucoup moins.
Justement, dans les temps à venir, il va falloir mettre en place d’autres stratégies indispensables. Jamais auparavant il n’y a eu autant de difficultés à surmonter.
Certaines le sont particulièrement comme Porcher, centre des intérêts de la vie Gargenvilloise, mais aussi les logements sociaux tellement décriés, l’eau avec toutes les éventualités et précautions envisageables (à ce propos, avec Jean-paul, nous avons suite à une maladresse, le mode d’emploi et d’utilisation d’une suppression. Pour supprimer ces anomalies, il serait bon d’en fermer l’accès définitivement).
Il y a aussi la zone industrielle des Garennes, pour ne parler que des dossiers les plus importants, le PLU, les finances etc…
Avant toute décision, il faut avant tout se pencher sur les idées de la campagne. Celles de l’Association de défense des quartiers Gargenvillois, du GIER, de GARGENVILLE, l’AVENIR, DES GENS DU VILLAGE et du bon sens et des intérêts de la commune.
Devant d’éventuelles difficultés incontournables, il faut savoir se protéger, afin d’éviter des conséquences désastreuses. Personne à GARGENVILLE ne veut voir sa ville bétonnée et défigurée, sans ne pouvoir rien faire. C’est une certitude déjà confirmée.
Je me souviens d’avoir lu quelque part… Dans un imprimé de la campagne, une phrase intéressante de Jean-Pierre CLAUZON qui disait ceci :
(De tout cœur avec cette liste de fusion, je vous invite à voter pour elle afin de sauver l’âme de GARGENVILLE)
Ce sont des mots qui pèsent dans les consciences. Il faudra beaucoup d’énergie, de volonté, de travail, de vigilance, ne serait-ce que pour la préserver cette âme de GARGENVILLE.
A l’horizon se dessine des dédales, imbroglios, intérêts divers, quelle sera l’image finale de l’affaire PORCHER et de la ville. Allons-nous subir un consensus d’exploitation extérieur obscur, sans ne pouvoir rien faire. Y voir clair définitivement est désormais une priorité.
C’est par la Mairie d’une façon ou d’une autre que viendront les solutions.
Durant 3 ans, j’ai eu du mal à la pousser cette porte de la Mairie, pendant quelques temps, j’étais comblé en la franchissant de nouveau, mais voici que mes réticences reviennent.
Néanmoins, dans le même temps, je précise la joie que je ressens de te savoir chez toi, derrière cette porte si familière.
La confiance encore, l’assurance aussi, de savoir le flambeau de la continuité définitivement à sa place.
Il faut du temps au temps, pour tout mettre en place, mais comme je suis impatient de les franchir ces marches, d’ouvrir cette porte et sentir à nouveau le souffle frais de la certitude.Cela fait tellement de bien un air sain et frais.
Je l’ai dit, j’ai confiance, jusque dans l’affirmation parce que c’est la providence qui me l’a confié et j’y crois désormais en permanence, comme une suite logique toute tracée d’avance.
Quelquefois, dans la vie, on a l’impression, dans de rares moments, de ne pas pouvoir contrôler réellement la situation. Cela peut s’exercer dans les deux sens opposés.
Cette définition existe bien, une sorte de pression, basée sur la conviction et la fiabilité.
C’est aussi une espèce de force envahissante, qui s’impose, mais une chose est sûre dans cette poussée, c’est la confiance qui domine, uniquement la confiance, pour enfin aboutir à cette tranquillité apaisante dans la finalité. Une bordure d’inquiétude tout de même, parce que l’on sait l’entourage partiellement précaire, mais même là, j’ai confiance, comme par le passé.
J’ai aussi dorénavant, cette forme de sensation d’avoir accompli me tâche, mais pas complètement, car il reste un geste primordial à voir s’accomplir sur notre commune.
Un geste en forme de reconnaissance, envers un homme particulier, peu banal et surtout dévoué à sa ville et ses concitoyens durant 33 années. Un geste en un hommage définitif que je souhaite, au nom du travail accompli et des Gargenvillois respectueux.
Une superbe portait en bonne place à la Mairie, en souvenir, mais aussi la médiathèque rebaptisée en son nom.
Tout cela ne serait que justice, avec au passage une leçon de politesse et de fidélité adressée à ses anciens colistiers et un message pour les Gargenvillois.C’est seulement dans cette éventualité, que la boucle serait bouclée, l’histoire de GARGENVILLE revue à l’honneur et les choses remises à l’endroit. Par cette distinction, dans une action communale, afin de réparer une erreur, nous obtiendrons une paix morale définitive.
Pour répondre à tous les récalcitrants entendus, je dis que le club de Rugby, n’est pas une reconnaissance communale c’est bien, mais insuffisant.
De l’autre côté, nous avons déjà une Avenue Paul Valéry et il en existe des quantités dans notre pays, par contre il n’existait qu’un seul ANDRE SAMITIER, Maire, Conseiller Général, Député et ce n’était pas n’importe qui. Alors, cette plaque commémorative dédiée à Paul Valéry, qu’elle soit déplacée et scellée dans l’avenue.
Par contre quelle joie cela serait pour nous tous impatients et pour toute la famille, cette journée aurait des effets et des reflets multiples. Dernièrement, nous avons vu ce que peuvent signifier encore ces huit lettres capitales connues. Sans elles, cette campagne aurait été différente, nous le savons, c’est la continuité qui prédomine et cette politique sagement menée pèsera encore de longues années.
Je forme le vœu d’être enfin entendu et non pas entendre des propos déplacés.
C’est le passé certes, mais il ne faut pas oublier dans la facilité. Bien sûr, il faut se retourner et regarder les temps à venir, mais sans remords et sans amertume.
A ces nouveaux élus sans réelle dignité, je les encourage vivement à des leçons de bon sens et de savoir vivre. C’est la moindre des choses, maintenant d’organiser un hommage solennel est un exemple dans cette société de plus en plus difficile et compliquée. Le prochain anniversaire de sa disparition est le 10 septembre. Je suis dans la définition de cette date, pour l’accomplissement d’un devoir communal total. J’écris total, en pensant à la commune toute entière représentée, ainsi que les Communes voisines, Conseil Général et Représentants de l’Etat. Ainsi et seulement ainsi, l’essentiel aura été réalisé et l’épreuve à oublier définitivement.
C’est toujours compliqué, difficile, ce pourrait être si simple, je n’aime pas me dévoiler et découvrir de cette façon mais…, J’y suis presque contraint. Il faut se battre toujours se battre pour aboutir renverser les obstacles, les contourner, parfois patienter, déjouer. C’est un éternel combat tous les jours pour les uns, quelquefois pour d’autres, sans compter les déceptions, les travers, la fatalité si cruelle devant l’absolu, pourtant, il faut bien avancer inexorablement pour les charges ou les responsabilités, parfois écrasantes ou pour le rythme quotidien à assurer, comme une machine infernale et insatiable.
Je me souviens que tardivement certains soirs, à l’Hôtel de Ville, en passant je voyais les lumières allumées, avec un homme seul devant ses devoirs à accomplir. Je l’ai constaté des années et encore de longues années, à se perdre dans le temps.
Alors, lorsque l’on arrive à franchir les étapes une à une méthodiquement, à force de persévérance, ténacité, volonté omniprésente, l’essentiel est acquis, la confiance avec et l’expérience accumulée devient une richesse incroyable, pour qui sait atteindre cette force de connaissance suprême dans la sérénité, est au sommet, mais c’est dans la solitude, même entouré parce que c’est dans l’individualité.
La vie est ainsi faite, mais elle offre aussi d’autres chemins et quelquefois des raccourcis qu’il faut plus économiquement emprunter. Pas d’épuisement et de souffrance inutiles, il faut passer par une organisation précise avec des conditions très particulières, tout en exploitant les qualités de chacun, savoir s’entourer, pour tout savoir et tout gérer plus facilement. C’est un art disait notre aîné. La confiance, c’est seulement pour quelques proches, fidèles et solides.
De bonnes fondations, pour construire, bâtir, une politique efficace. Le meilleur du meilleur et rien que le meilleur, c’est l’indispensable formule de la réussite. Rien d’autre !
J’ai toujours et encore confiance, en tout, parce que j’ai aussi des références et pas n’importe lesquelles. Depuis plus de 20 ans déjà et par les miens que je chéris différemment devant la situation et parce que plus vulnérables et démunis. Mes pensées les accompagnent chaque jour, dès la première heure et pour moi c’est une hantise qui surmultiplie mes moyens.
Avec eux et pour eux, j’ai des devoirs à accomplir, d’autres buts à atteindre pour les servir. Devant, cette définition, je ne suis rien d’autre qu’un outil, servant l’accomplissement d’un objectif. Que m’importe les mauvaises paroles coutumières, en fait des ignorants calfeutrés dans leur jugement moyenâgeux. Je ne suis pas un exemple, mais lorsque l’on touche à leur dignité, je souffre et je me révolte, ils ont un grand besoin de soutien, pas d’épreuves supplémentaires.
Précédemment, ce qui était envisagé était inacceptable, aussi bien dans les faits, que dans la logique. IL faut être spécialement incorrect ou inconscient pour organiser ce genre de calcul malfaisant. IL y a aussi une facture d’eau, à voir entre nous, car l’affaire fut vite dévoilée en sourdine, notamment en mairie.
Il y a quelque temps, j’ai bavardé avec Joël DAOUDAL, qui se souvient des branchements sauvages effectués à l’époque sur plusieurs années, la facture est salée et bien sûr individuelle.
C’est aussi entre autres l’aboutissement du travail de l'ancienne équipe après la disparition de Monsieur SAMITIER.
Personnellement pour répondre à quelques paroles entendues, je précise que durant les mandats précédents, je n’ai jamais présenté ou étudié le moindre marché de travaux sur la commune. Pourtant, cela m’aurait aidé, mais je ne l’ai pas voulu, alors ce n’est pas maintenant que je vais modifier mes habitudes. Qu’ils soient rassurés, je travaille seul sur mes propres projets.
Néanmoins, tous les coups possibles ne sont pas permis pour autant.
La commune a besoin de bonnes volontés responsables, la région aussi, nous allons vers des jours difficiles des situations délicates. Nous sommes situés au centre d’une espèce de résistance, de villes à reprogrammer.
Voici que de nouveaux intervenants pointent leur bout du nez, pour une politique remixée sans grand intérêt finalement. Le tout est de déplacer, éparpiller avec des dégâts collatéraux inévitables. On est en Ile de France, en Vallée de Seine et aux Portes du Vexin. De jolis villages composent les environs et la région. C’est absolument magnifique de contempler le travail des générations passées et il faut préserver avant tout ce paysage particulier.
Par contre, il faut encore modifier les comportements pour davantage de sécurité, sur les routes, mais surtout en ville, dans la rue, les écoles, les collèges, les lycées, les transports en commun. Cela fait partie de la qualité de vie à restaurer et à penser autrement.
J’en termine, par un changement d’habitudes et de repères inévitables. Bientôt la Mairie aura un visage différent avec les nombreux départs en retraite du personnel.
Il faudra assurer dans l’avantage, parce que c’est l’occasion providentielle, d’insuffler une nouvelle organisation dans la stabilité. Une nouvelle génération, pour une nouvelle destinée, dans la qualité et la sûreté.
Je sais que mes convictions sont bien investies et mes pensées demeurent désormais dans une fidèle confiance pour une continuité efficace.
Bien amicalement,
Pour une étude morale à long terme.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

 ARTICLE EN COURS LA POLLUTION GARGENVILLE 2005/2010 Le temps d'une Maire et d'élus scélérats dans le bois des jolibois à coté du gr...