En politique, le choix est rarement entre le bien et le mal, mais entre le pire et le moindre mal. Nicolas MACHIAVEL (1469 - 1527)
UN MAIRE SANS LIMITE ?
Décidément pas de limite pour le maire désigné par ses collègues en 2004, eux- mêmes dans la conviction et l'exploitation du pire, sur et sous le mandat du maire André Samitier, pour au moins les plus grandes décisions accordées jusqu'en 2008...
Ici, et dans toutes les formes disponibles, la constatation en 5 années de pouvoir et en deux phases distinctes, apparaît en une sorte de sournoise manipulation endoctrinée, comme étant une règle commune légitime et plus encore dans la confirmation de cette dernière année écoulée...
Fin juin 2011..., nous ne sommes plus dans le champ des alternatives, mais bien celle de l'action pratique à découvert, où il s'agit d'entraîner de force une majorité d'entre-nous, opposée au destin que même la plus belle des raisons ne peut trancher!
Une telle définition s'orientant aux dépends des valeurs d'un acquis cinquantenaire et en l'absence de toute référence morale, n'opère jamais un caractère normatif de l'opération entreprise.
En somme, tout est affaire de distinction entre le pire et le moindre mal, puis l'ordre des valeurs morales...
L'expérience des hommes n'est pas retenue, pas plus que le rapport de la Chambre Régionale des Comptes ne l'a été, et encore moins la décision des Côteaux du vexin du S/Préfet,"l'offrande" brimée en réunion publique à stupéfait!
Jamais d'alternative correcte, simplement la désignation d'une seule nécessité absolue à s'accommoder des contraintes rudes et cruelles d'une obligation devenue tragique pour tous!
Ce sera la Camy !
La dure imposition du pire au moindre mal!
La sagesse attendue en juin 2010 n'est pas apparue!
Elle est écartée et passée dans l'oubli, car le choix républicain est imprudemment absent!
S'agirait-il ici à Gargenville, d'un calcul du pire à dissoudre dans le moindre mal pour en définir le bien pour tous?
Cette grande opération métaphysique concentrée, aura-t-elle le succès qu'elle mérite ? "Le bien commun réalisé" ira-t-il rejoindre les conceptions des années 60/70 ? OUI à coup sûr! Mais pour ses définisseurs à moindre mal du Val Fourré et de Chanteloup les Vignes, et au pire des craintes des villageois que nous sommes!
Les loups gris, ont décidément une vue panoramique bizarre sur Gargenville! 700 logements sur 11 hectares...et les comparaisons pointées du doigt au conseil municipal du 23/06 sont bien malheureuses...Ce sont là leurs seuls arguments à nous opposer ???
OUI...! Les Merisiers à l'époque(1984) ont été perçus comme un bel apport d'une prolongation de Gargenville, mais seulement avec 121 logements et jardins sur également 11 hectares!
Où se trouve l'équivalence sinon en surface exploitable???
D'un côté nous bénéficions d'un lotissement pavillonnaire normalisé, de l'autre d'une nouvelle cité régionale de 700 logements pour commencer! Où est l'équilibre des conceptions??? Il en est de même pour les Prés-Blains (1965)...! En quoi Meur Germain peut-il s'en satisfaire pour l'intérêt de la ville, lorsqu'il entend qu'il est prescrit une densité 6 fois supérieure? Et en quoi la petite résidence de la rue Jean de la Fontaine peut-elle être désignée comme un mauvais moyen urbanistique, alors que tout au contraire l'exemplarité devrait servir de référence???
Deux poids deux mesures! Le pire et le moindre mal!
En exposant en public des idées pareilles, ce n'est pas sans conséquences lourdes!
Dans un pareil raisonnement..., que devient l'individu à proprement dit...il ne compte plus, il n'a jamais compté et ne comptera pas!
Que deviennent aussi, l'intérêt du plus grand nombre et le principe de précaution...? Rien de rien!!! Ils apparaissent bien ridicules dans l'interprétation du pire au sacrifice du moindre mal... L'opération d'un bouleversement aussi large et étudié à tort et contre nature, n'est certainement pas une confusion du genre à développer sans dommages...
Outre l'action politico-politicienne opportune, dépouillée de toutes considérations d'ordre moral, l'accomplissement du pire n'en demeure pas moins un changement de registre local d'expérience, où l'individu subit l'orientation identitaire des contraires. Tout à l'opposé! Le pire contre le moindre mal! La véritable condition de la nature, prônée aujourd'hui en avant par tous les protectionnistes du genre, devient là subitement superficielle et ne pèse pas lourd, face aux conséquences du pire proposé...
La belle et sage solution d'une continuité, semble pauvre et dérisoire, opposée aux justifications politiques empiriques que nous subissons depuis 5 ans! Il ne fallait pas la signer cette convention pourrissable..., même sous peine d'un manque de savoir faire évident et d'un manquement de vision!!! Et revoir le modèle des années 60/70 en contraignant Gargenville et la vallée de Seine Mantaise, à participer et partager une métamorphose sans commune mesure et dans de pareilles conditions, relève d'un exploit fantastique!
De même, la tolérance du moindre mal est déjà complètement dépassée, uniquement par la contrainte morale imposée..., une sorte de grande familiarisation d'un désordre indigne et par conséquent, un renoncement à la sauvegarde de biens individuels, familiaux, sociaux!
Dans ces conditions, le réalignement social et culturel syntagmatique, ne pourra jamais trouver son équilibre dans une sorte du pire au moindre mal!
D'ici quelques années..., qu'entendrons-nous? Responsables mais pas coupables...? Mais permettez de vous dire ceci: Pour vous ce sera coupables et responsables à contre courant des valeurs de Gargenville notre ville!!!
Merci de votre délicate attention.
La Défense Gargenvilloise.
Dans un pareil raisonnement..., que devient l'individu à proprement dit...il ne compte plus, il n'a jamais compté et ne comptera pas!
Que deviennent aussi, l'intérêt du plus grand nombre et le principe de précaution...? Rien de rien!!! Ils apparaissent bien ridicules dans l'interprétation du pire au sacrifice du moindre mal... L'opération d'un bouleversement aussi large et étudié à tort et contre nature, n'est certainement pas une confusion du genre à développer sans dommages...
Outre l'action politico-politicienne opportune, dépouillée de toutes considérations d'ordre moral, l'accomplissement du pire n'en demeure pas moins un changement de registre local d'expérience, où l'individu subit l'orientation identitaire des contraires. Tout à l'opposé! Le pire contre le moindre mal! La véritable condition de la nature, prônée aujourd'hui en avant par tous les protectionnistes du genre, devient là subitement superficielle et ne pèse pas lourd, face aux conséquences du pire proposé...
La belle et sage solution d'une continuité, semble pauvre et dérisoire, opposée aux justifications politiques empiriques que nous subissons depuis 5 ans! Il ne fallait pas la signer cette convention pourrissable..., même sous peine d'un manque de savoir faire évident et d'un manquement de vision!!! Et revoir le modèle des années 60/70 en contraignant Gargenville et la vallée de Seine Mantaise, à participer et partager une métamorphose sans commune mesure et dans de pareilles conditions, relève d'un exploit fantastique!
De même, la tolérance du moindre mal est déjà complètement dépassée, uniquement par la contrainte morale imposée..., une sorte de grande familiarisation d'un désordre indigne et par conséquent, un renoncement à la sauvegarde de biens individuels, familiaux, sociaux!
Dans ces conditions, le réalignement social et culturel syntagmatique, ne pourra jamais trouver son équilibre dans une sorte du pire au moindre mal!
D'ici quelques années..., qu'entendrons-nous? Responsables mais pas coupables...? Mais permettez de vous dire ceci: Pour vous ce sera coupables et responsables à contre courant des valeurs de Gargenville notre ville!!!
Merci de votre délicate attention.
La Défense Gargenvilloise.