1er ADJT Délégué à la sécurité 9 juin 2009

CHEREL J.P.
1er Adjoint à la Mairie de Gargenville Délégué à la sécurité
Monsieur le DGS,
Ce jour du 9 juin 2009, lors d’une réunion à mon bureau en présence de Monsieur PIRAULT, vous m’avez demandé de relater par écrit les faits précis justifiant ma présence à la Mairie entre 18h et 19h.
Je vous rappelle la raison de ma visite avec Monsieur Laurent WEBER de la société DSS chargé de la surveillance des bâtiments :
Il existe des bruits depuis mai 2009, concernant l’installation de micros et de caméras à la Mairie, je voulais en avoir le cœur net, ce qui me parait être une évidence pour le Délégué à la sécurité.
J’ai appelé Monsieur Laurent WEBBER , il était 17h30.
Il me dit OK, j’arrive, je reviens à la Mairie, attends-moi.
J’ai dû arriver vers 18h 05, les deux femmes de service étaient dans le hall, je leur ai demandé… avez-vous vu Monsieur WEBER, elles m’ont répondu, il n’est pas loin, il est là-haut dans la salle des ordinateurs, je suis monté et j'ai ouvert avec mon badge la porte du haut de l’escalier, j’ai appelé Monsieur WEBBER, comme il n’y avait pas de lumière, j’ai compris qu’il n’était plus là. Le temps d’ouverture de la porte coté bureau a Monsieur HASKA a du être de moins de 10 secondes et je suis revenu à l’accueil.
J’ai alors téléphoné à DSS, il me dit  de ne pas bouger, j’arrive.
Je me suis installé à la table verte et j’ai bavardé avec les deux employées, en feuilletant le journal posé sur la table.
Monsieur WEBBER arrive, les portes du bureau du DGS étaient ouvertes pour le ménage, il me dit : le nouveau DGS s'est installé, il a tout ce qu'il lui faut, même un coffre fort...Pierre Marie aussi, je lui réponds : moi aussi j'en ai un chez moi, je t’ai fait venir pour que tu me montres les micros et caméras installés dont tout le monde parle... Es-tu au courant des rumeurs.
Je ne peux pas répondre à ta question et je ne peux pas t'aider. J'ajoute... Tu sais quelque chose... Cà Jean-Paul je ne peux pas te le dire... Ce qui a conclu sur l’instant notre rendez vous.
La semaine suivante, avec autant d’opacité, j’ai rendu mon badge à Pierre-Marie et la clé d’entrée.