samedi 30 octobre 2010

"Colère d'édile"? à Deuil la Barre













Article du Parisien du 28 octobre 201
www.leparisien.fr

LA DEFENSE GARGENVILLOISE

29 commentaires:

  1. "Les syndicalistes et les fonctionnaires, ils ont tellement l'habitude de ne rien faire, que lorsqu'ils font la grève, ils appellent ça une journée d'action..."
    Coluche
    Il aurait ajouté en cette période:
    « Faire grève en période de vacances, cela s’appelle récupérer les heures perdues »

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  2. "Coluche", vous citez cet homme d'humour et de clairvoyance intellectuelle qu'encore de nos jours, il sert grâce à ses restos : des repas aux accidentés de la vie qui sera peut-être de ma vie un jour.

    Comprenez vous l'humour sous divers degrés, j'en doute!

    Les grévistes sont des combatants d'un espoir, ils perdent leurs jours de grève en salaire et tout le monde en est conscient à part vous, leurs salaires est maigre.

    L'idée facile est triste, n'offre rien...

    Un citoyen.

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  3. PAS mal cet humour sympa et non grinçant comme certain citoyen!
    les fonctionnaires travaillent( je vous demande de faire l'expérience de vous en passer.....) impossible ils sont trop nombreux et vous Cher Ami, ne pourriez les remplacer Vous travaillez tellement que vous seriez malheureux de ne rien faire c'est dur de ne rien faire!!
    Les syndicalistes travaillent quand les fonctionnaires ne travaillent pas...normal
    c'est le vase communiquant.SI j'ai bien compris ils ne font rien les uns comme les autres et nos retraites alors ?????

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  4. je cherche qui est accidenté citoyen de 19:44

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  5. Cher Citoyen

    Décidément pour vous, Freud est un imposteur certaines personnes elles,se renseignent et ne s'appuient pas sur des ragoûts de ragots!
    une chose positive: cet article vous a permis peut être de prendre conscience de votre étroitesse d'esprit. belle journée!
    ce passage sera censuré pour vous protéger!

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  6. vous manquez d'humour 19,44, vous semblez loin de la réalité, vous ètes dans votre imaginaire dans votre société.

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  7. à 19:44

    Vous semblez déranger, votre humour est "étranger" à la Camus.

    N'y voyez là aucun reproche mais juste une illusion, une alusion à la bienséance d'un blog qui devient mâture.

    Un citoyen.

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  8. vous ètes en famille aujourd'hui 9,52 changez manger de la dinde, ou censurez-vous.
    belle journèe pour un barbecue avec votre belle mère!

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  9. "faire grève en pèriode de vancances, c'est gagner les heures perdues"...

    Arf!

    Bonne réflexion!

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  10. à 09:52

    Permettez-moi de mettre à mal vos propos, l'étroitesse d'idée c'est d'écrire de l'à peu près et de s'en féliciter.

    Freud, puique vous en fait, ici, une référence, fut un Homme qui compris la complexisté de l'"Etre" mais il n'est pas un Dieu.

    "des ragouts de ragots" : j'aime bien, c'est vulgaire, ce n'est pas du "Bukowski" mais cela s'en approche, j'aurais plutôt écrit : " des ragouts, aux ragots, les ragouts aux relents de ragots. Mais bon!

    J'apprécie la critique lorsqu'elle se porte bien.

    Un citoyen.

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  11. Etre défendu par un cgtiste à la tète de la cgt et dont le salaire mensuel avoisine les 8000 euros avec voiture et chauffeur, cà me ragoute, ç'à sent l'exploitation de l'homme par l'homme aux cheveux longs et aux idées courtes.

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  12. à 17:07

    Lire les idées courtes qui se complaisent dans la délectation des cheveux rasés ne me plait aucunement!

    Crier : "aro" sur des syndicalistes dont de le salaire semble vous déranger et d'ailleurs il serait bon et juste de justifier vos propos, il me semble tout autant dérangeant que la classe dites dirigeante se goinfre, "oui, j'ai oisé ce mot", se goinfre et multiplie son salaire, profite à nos dépents de la facilité du bon "Devoir de nous diriger dans la vulgarité des cigares de Cubas, dans l'ignominie de se servire dans la tirelire d'une fortune d'une Femme fatiguée, dans l'ignominie de la facilité tout simplement et tout ça dans l'indifférence du bien pensant.
    C'est avec vigueur, que j'écris là :

    Il n'est pas bon de rechercher ou de demander la "censure"!

    L'on exprime ici son idée et je dois l'avouer parfois j'aime que l'on souhaite mettre à mal mes propos.

    Je ne suis qu'un humain!

    Un citoyen.

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  13. à un citoyen!!!

    Prenez le temps de vous relire!!!, vous en serez assurément moins fragile!!!

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  14. à 23:28

    Ne cherchez pas bien loin, à Gargenville vous devriez trouver mais au second degré j'aime votre humour.

    Un citoyen.

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  15. Petit message sans concéquence à ce blog!

    J'admets qu'ici la liberté d'expression se fait, que la censure existe comme partout car ainsi se font les choses.

    Mes idées, mes approximations, mes égarements pourtant publiés prouvent que ce blog est une liberté de penser et d'expression.

    Dés lors : je me permets d'ouvrir moi aussi le dialogue et la perception d'une logique différente.

    Il serait intéressant de lire, là, ici, une vision divergeante capable de nous expliquer, bien loin de la méthode "Coué", ce qu'est le "OIN', ce qu'est la "CAMY", ce qu'est l'alternative.

    Ups, désolé, je n'ai de Coluche que le Coeur!

    Un citoyen.

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  16. Voilà qui me plait "OIN" "CAMY" et d'autrs sujets d'actualité, là, exprimez votre ardeur votre pensée Citoyen... combien ètes-vous dans ce camouflet? "citoyen"...

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  17. "ce camouflet" ?

    Il serait bon d'écrire désormais les réponses aux questions, d'ignorer le vugaire et l'idiot, d'écrire le nécessaire à la compréhension de notre demain.

    Ce blog est une liberté, il se doit d'apporter l'explication de l'esprit autre et pour cela, il doit expliquer son choix et sa "Vérité", il se doit d'en débattre sans peur ni crainte.

    Un blog tel que celui-ci peut aisément permettre de comprendre les enjeux de demain.

    Un citoyen.

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  18. à Jean :

    Je suis des votres si vous êtes un Homme Libre.

    Un citoyen.

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  19. Proposez "Jean", dévellopez, exprimez, exposez, faites de ce blog une intelligence de mots et de propos, une évidence ou du moins une réflexion de respect.

    Vous en avez l'intelligence et les moyens, vous avez aussi des lecteurs, des poseurs de mots, alors!!!

    Un citoyen.

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  20. Ne vous posez pas la question du nombre, posez-vous plutôt la question du genre...

    Le nombre importe peu, il est là, c'est une évidence, désormais à vous de jouer!

    Un citoyen.

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  21. "ce camouflet"?

    Les mots raisonnent sans conséquence, il ne s'agit pas là de camouflet mais d'une évidence de réalisme à la Voltaire.

    Pardonnez mes offenses mais il se fait tard, j'espère mes écrits publiés et vous satisfaire.

    Belle fin de soirée.

    Un citoyen.

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  22. Conclusion: vous ètes seul, bonne nuit, quelle vous soit douce Citoyen.

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  23. au 1/11 de 3h41

    Noctambule vous aussi vous devriez vous coucher!...

    Un citoyen n'est pas seul, ce serait si simple!

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  24. à 03:41

    Vous baissez les bras?
    Peu importe, d'autres se lèveront!

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  25. Vous avez oublié de signer votre dernier message, Citoyen???

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  26. à 14:33

    Petit instant d'Histoire : "l'appel du 18 juin", tout le monde le connait mais personnne ne l'a jamais entendu, je ne m'exprime pas là sur les générations venues mais sur celle de cette "Histoire".

    Avec ou sans "Un citoyen".

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  27. Merci de votre réponse 17,10

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  28. Pédagogie du 18 juin "Eric Branca"

    Pédagogie du 18 juin, Espoir n°31, juin 1980

    A l'occasion de ce quarantième anniversaire du 18 juin, à la suite d'articles de personnalités ayant vécu ces tragiques événements de 1940, Espoir a pensé qu'il ne serait pas sans intérêt de demander à un jeune, étudiant en histoire en 1980, d'écrire quelques pages sur le 18 juin 1940 qu'il n'a évidemment pas connu...

    Représentant et interprète d'une autre génération, Eric Branca a donc écrit, pour Espoir : « Pédagogie du 18 juin 1940 »
    ...

    « Il ne restera, de ceux qui ne combattent pas pour un rêve, que la trace des esclaves ou la vaine poussière des armées vaincues... »

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  29. "Il ne restera, de ceux qui ne combattent pas pour un rêve, que la trace des esclaves ou la vaine poussière des armées vaincues"

    Evidence de la "sagesse", je me dois de partir de ce blog, je m'en vais si tel est votre souhait, j'ai en moi de telles ambitions que d'écrire dans un vide sonne bien creux.

    Bon théâtre, portez-vous bien, vous avez cette facilité du plaisir, l'argent facile par la grâce des années 80, je me permets et je vous offre la difficulté du désir.

    A vous de désormais comprendre votre blog, a vous de désormais y écrire vos convictions, à vous de désormais cesser l'approximatif pour construire une autre logique.

    Portez-vous bien!

    Un citoyen.

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