Anonyme à dit

A l’heure des guerres intestines où querelles et délations se multiplient, je crois qu’il est temps de replacer la fonction municipale dans son cadre.

En France, la démocratie veut que la fonction de maire soit placée sous deux autorités :

Celle du Préfet
Où il est l’agent de l’état pour les fonctions administratives (police, élections, sureté, état civil, administration communale….) et dans ce cadre on peut parler du pouvoir du Maire.

Celle du conseil municipal
Dont il est l’élu, le président (à ce titre il prépare l’ordre du jour du conseil) et il a le devoir d’agir sous son contrôle et lui rendre compte de ses actes. Dans cette seconde tâche il n’a qu’un rôle d’exécutant.

Il y a souvent des dérives et parfois le maire ou ses adjoints font passer en force leurs idées au prix de représailles mettant en péril la démocratie au profit du despotisme.

La fonction de maire n’est pas une fonction de prestige comme d’aucun l’imagine ou s’y voit déjà ! C’est tout simplement une fonction de service envers ses concitoyens.

(Fuis les éloges mais essaie de les mériter écrivait François FENELON)

La raison voudrait que ce poste revienne à un(e) démocrate expérimenté(e) aimable, disponible, qui connaisse les rouages de l’administration communale, sachant manager avec diplomatie une entreprise de 125 salariés, entouré(e) d’un conseil municipal compétent pour redistribuer équitablement sans le gaspiller l’argent de nos impôts.

Pour aller jusqu’au bout de la démocratie, pourquoi ne pas ouvrir le contrôle des livres de compte à l’opposition ?

(On obtient la justice plus rapidement en rendant la justice à la partie adverse - Mahatma GANDHI))

Qui sera maire demain ? Des dizaines qui ont vécu l’expérience municipale pendant de nombreuses années en ont les compétences je pense à Jean-Pierre, Martine, Pascal, Dominique, Patrick, Nathalie, Roland, Patricia, Michèle, Jocelyne, Claude, Pierre………………….

C’est facile d’avoir des idées pour demain et les années futures mais la démocratie commande de rejeter les projets électoralistes pour ne garder que ceux qui peuvent être financés et correspondent aux aspirations le la majorité des Gargenvillois.