FAITES ENTRER L’ACCUSE

FAITES ENTRER L’ACCUSE

En fait, il s’agit plus précisément de deux accusés ayant reçu chacun par huissier, une citation à comparaître devant la 6ème Chambre correctionnelle de Versailles. D’après une affaire maintenant dénommée à Gargenville « la ligne jaune des Prés l’Abbé ».

Sont convoqués à la barre:

Deux élus démissionnaires, l’un M. CHEREL, ex 1er Adjoint de la Commune du 21 mars 2008 et « débarqué » au conseil municipal du 26 juin 2009 pour dissensions avec la majorité, après avoir voté seul de son groupe « NON » à la ZAC au conseil municipal du 15/05/2009, avec (dans la démarche) comme véritable action définie l’accession de M. NICOLLET au poste de 1er Adjoint, pour appliquer une politique totalement à l’inverse des promesses électorales du printemps 2008 (faits démontrés largement depuis 15 mois et pronostiqués aux élus par des courriers successifs en mai et juin 2009 de M. CHEREL). La 2ème personne est Mme Odette Charbonnier, ex Conseiller Municipal aux mêmes dates précitées.(21/03/2008-26/06/2009).

LES FAITS:

A la demande de M. MARTIN 6ème Adjoint actuel en mairie chargé de l’eau, (mis en fonction par M. CHEREL le 21/03/2008) les deux « interpellés convoqués » seront entendus le 15 février 2010 prochain, concernant en « délit » deux écrits parus sur le blog de la Défense Gargenvilloise et mis en cause sur des propos estimés « diffamatoires » à l’encontre de M. MARTIN.

Le premier article «en évidence» décrit une situation pour le moins "étonnante" à propos de la «restauration »effectuée en septembre 2009, par le personnel communal, sur une interdiction de stationner placée juste en face de l’entrée du portail de M. MARTIN et à hauteur d’un ancien arrêt de bus, qui n’est plus en service depuis quelques années.

Pour la Défense Gargenvilloise «la surprise» est double, étant donné que cette interdiction avait fait l’objet en juin 2008 d’une réclamation « entre copains », de la part de M. MARTIN adressée à M. CHEREL, considérant alors que ses voisins « le gène » dans ses manœuvres quotidiennes, pour entrer et sortir de son domicile. L’ex 1er Adjoint appliquant le principe d’égalité avait rejeté la possibilité d’un éventuel        « passe droit ».

Le deuxième article est un courrier adressé à la Sous Préfecture de Mantes la Jolie sous la forme d’un renseignement, afin d’obtenir le ou les indications nécessaires à une reconduction "plausible" de l’interdiction de stationner, en lieu et place d’un arrêt de bus abandonné depuis des années (courrier visible sur le blog le 5 octobre 2009).

Il faut également prendre « en compte » le désaccord manifesté de différentes façons, par les riverains directement concernés, ( courriers mails, appels téléphoniques et conversations avec les élus)  assez        « écœurés et révoltés » de ce qui leur apparaît comme étant un abus volontaire et exclusif , devant « l’ambigüité » probante et manifeste du fond de l’affaire (en prenant tous les aspects et éléments du dossier en cours), il apparaît aussi très surprenant et excessif » par le raisonnement employé « d’aller régler » un dossier aussi « scabreux » directement en justice.

La Défense Gargenvilloise estime pour sa part, qu’il aurait été plus opportun et plus sage envers la commune, de solutionner dans le bureau du Maire le problème avec tous les protagonistes de l’affaire. Ce qui aurait été plus net, plus efficace moralement et beaucoup mois impopulaire.

 Néanmoins, les faits sont ce qu’ils sont et démontrent aussi en arrière plan une éventuelle possibilité       « d’un quelconque soutien communal », par la façon « menée exposée et exploitée » à des fins visiblement sans commune mesure et comme jamais auparavant. Ce qui pourrait, le cas échéant, « engendrer» dans un fait aussi extrême, "où la municipalité soutiendrait partiellement ou ouvertement pareille initiative", l'obligation d'une explication et dans les meilleurs délais pour le bien fondé moral face à nos concitoyens et la « prise de position » emblématique ainsi assurée.

LA MORALE DE L'HISTOIRE:


Une mairie doit avant tout servir les principes de base tels que Liberté, Egalité, Fraternité, dans une Démocratie Républicaine Fondamentale. C’est pourquoi nous demandons, (la Défense Gargenvilloise), à Monsieur le Maire Pierre Marie DARNAUT d’intervenir en sa qualité de 1er Magistrat, directement en Mairie, à toutes fins utiles sur « l’affaire » et réclamons toute la lumière dans ce dossier, puis la suppression de la ligne jaune, n’apportant que désordre, confusion et révolte morale à bien des administrés, (dont les riverains sont les premiers concernés) et que nous représentons désormais avec l'association. La solution la plus simple est souvent la meilleure et il est des droits aux principes de bases élémentaires à appliquer par sécurité, faits aussi pour servir la dignité et l’honneur, suivant l’image que l’on veut bien en donner, par des « actions surement pensées » au sein de la société.

Bien à vous tous.

LA DEFENSE GARGENVILLOISE