mardi 18 mars 2014

POURQUOI PAS...


POURQUOI PAS...

Il n'y rien à dire de très spécial sur la réunion publique de Pierre Marie Darnaut que l'on ne sache déjà de par sa campagne, sinon davantage de monde qu'à la soirée Jean Lemaire (le triple), puis quelques attentifs au retour politique du médecin s'imprégnant et sondant l'ambiance générale - d'autres inévitables évaluateurs de tous bords désormais célèbres pour quelques uns, toujours incarnant leur fameux retournement communal, ce coup d'état du 6 avril 2010 qui a plongé la commune dans des années noires et inoubliables de dangers plus forts les uns que les autres... A eux seuls, Gargenville leur doit un monument commémoratif: 4 années de galère !

Pour ainsi dire, ils reviennent sur les lieux de leur crime dans l'espoir d'une influence quelconque... mais peine perdue et à jamais. Quelle carte de visite !

Par contre, à la réunion publique de Mme Delpeuch, c'est autre chose !
Dans le sens des grandes découvertes, le public a été gâté...

Pour celles et ceux qui ont connu les "grandes soirées" organisées par la "vague Delpeuch" en mai 2010... le comparatif est saisissant !

L'arrogance politique de l'époque s'est transformée sur un très pesant monologue sans fin n'ayant aucun sens pratique pour la population... Certains se sont assoupis, d'autre écœurés, (pourtant d'anciens fidèles soutiens à Mme Delpeuch) sont repartis... non sans nous lâcher une déception. Le micro continuellement monopolisé, avec ce symbole jadis profitable, cette fois les plus belles assurances coutumières avaient disparu... Elles ont laissé place à la dure réalité du terrain... La décote n'est pas seulement visible, elle est palpable, mesurable, et fortement imprégnée d'un virus contagieux qui ne demande qu'à éclater. La désertification...

Dans cette prise de parole éprouvante, non pas pour la candidate près de deux heures seule aux commandes, mais pour le public soumis à une rude épreuve du marathon... Ces papèteries à n'en plus finir ont usé l'assistance qui a surtout deviné et constaté une candidate consciente au fond d'elle-même d'une faiblesse sans cesse grandissante que plus rien ni personne ne peut plus désormais contrôler. Cela sentait le bout du rouleau, les dernières forces, les derniers sursauts d'une époque désormais révolue et dépassée....

L'assemblée semblait entendre les paroles tout en restant sourde aux propos.
Des mots sans valeur, des paroles qu'on écoute plus, des phrases sans plus aucune crédibilité.

Tout échappe à la candidate maire sortant. Visiblement, Mme le maire et non la mairesse (comme précisé femme du maire), recherchait un point d'appui en modèle des instants privilégiés de 2010, où Mme Delpeuch surfait encore en symbiose sur le doute et l'inquiétude devant des salles combles acquises à une cause "d'héroïne de Gargenville"... mais de ces illusions il n'en est plus rien... au contraire, c'est maintenant une salle "appauvrie", effilochée, presque désertifiée qu'il faut contempler...

Un maigre noyau d'inconditionnels a pourtant survécu, se faisant encore entendre ici et là.... pourtant des espoirs moribonds... pour le moins une chorale en fin de vie, des râles plutôt que de l'espérance - sinon un formidable accueil chaleureux et spontané de l'assistance à l'annoncé de la colistière de Mme Delpeuch, Mme Évelyne Guillemin copieusement sifflée et huée de tous bords... Quel exemple!!!

Sans aucun doute, une très jolie réputation qu'il faut pourtant assumer sur l'étendard symbolique de l'équipe Delpeuch, celui qui démontre à Gargenville, toutes les intrigues du sombre pouvoir des coulisses pour imposer au peuple ce qu'il n'a jamais désiré...

Dans ces conditions détestables d'un brassage de linge sale infâme qui ne grandit en rien cette dernière décennie à oublier au plus vite, à la majorité de notre formation, il a été décidé d'aller directement aux élections.

LA DÉFENSE GARGENVILLOISE

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