Le Petit Rapporteur
26 aout 2013
l'approche vers "PORCHER" le long de la gare SNCF
rue da la Céramique
TAGS d'amis Gargenvillois
clôture de la SNCF brulée cette semaine
nouveauté da la mairie: plantation d'arbres le long du caniveau
2 panneaux de 171 appartements en attente...
arbuste taillé à mort!
feux de thuyas non entretenus
vue sur le site PORCHER pollué juste en surface
une jachère inculte en vente à 1 600 000 d'euros
plus un piéton pour ratisser que font donc les voisins?
une construction tout en bois sur Gargenville!
l'arbre penche en descendant la rue à droite ou à gauche?
gratuit du plan de gazon à la Poste non oblitéré
où est le trottoir???
j'en perd: mon latin, ma ville fout le camp...
j'en perd: mon latin, ma ville fout le camp...
Gargenville
RépondreSupprimerUn projet immobilier au coeur de la campagne
Mehdi Gherdane | Le Parisien | 01.03.2008 | 07h00
UNE friche industrielle s’invite dans la campagne. Quinze jours après le décès d’un enfant de 7 ans sur le site de l’ancienne usine Porcher, à la sortie de Gargenville, l’avenir de cette friche est redevenu un sujet de campagne.
Le 16 février, Gordon, un garçon issu de la communauté des gens du voyage, chutait de l’un des entrepôts désaffectés de cette zone à l’abandon. Le drame a fait le tour de cette ville populaire proche de Mantes-la-Jolie. Tous les habitants réclament la destruction du site : « Cette friche est une vraie verrue, témoigne une habitante. Il faut faire quelque chose. » Autrefois propriété d’une société américaine, les sept hectares ont été acquis récemment par un établissement public. Dans les prochaines années, des logements auront remplacé cette vaste zone régulièrement occupée par les nomades.
Les Gargenvillois ne semblent pas opposés au projet : « Un nouveau quartier ? Ça ne me dérange pas. Les gens manquent de logements et nous, nous manquons de commerces.
Je suis pour », confirme Marie-Thérèse, une dynamique quinquagénaire. « Il ne faut pas non plus que notre commune se transforme en Mantes-la-Jolie, avec le Val-Fourré à sa sortie, prévient Jean, riverain. Le meilleur choix, c’est d’avoir des maisons de ville avec un immeuble de logements sociaux. Pas plus ! »
Au coeur de cette friche, quelques caravanes stationnent encore au pied des bâtiments en ruine. Leurs occupants, issus de la communauté des gens du voyage, déplorent aussi la vétusté des lieux. « Mais nous n’y sommes pour rien. Voyez ces tas de pneus : plusieurs camionnettes sont venues les déposer sous notre nez ! S’il existait ici une aire d’accueil, comme la loi le prévoit, nous ne resterions pas ici », râle un nomade.