L’ORIGINE :
Nous connaissions déjà la succession Samitier dans un véritable coup de force
visant la tête de la mairie en septembre 2004 par Nicole Delpeuch, parachutée
d’un bond prodigieux de la 23ème place au fauteuil de maire et quasi inconnue à
Gargenville, une question que nous avons posé à un élu rencontré à Versailles
et qui a bien connu André Samitier pendant de longues années.
Voici sa version qu’il nous a transmis en s’appuyant sur de longues
compréhensions établies entre élus Régionaux: « En 2002 lorsque Pierre Bédier
est nommé membre du gouvernement Raffarin, en tant que suppléant dans la 8ème
circonscription des Yvelines, M. Samitier est élu Député le 16 juin 2002, mais
avec le cumul des mandats, les instances politiques régionales lui ont alors
soufflé de délaisser son mandat de maire, ce qu’il refusa catégoriquement en
démissionnant de son poste de Conseiller Régional. A mon avis dans cette
décision poursuit-il, André Samitier aimait trop sa commune pour la laisser
filer entre les mains de quelqu’un de son entourage -- sans pour cela avoir
l’assurance et la certitude d’une absolue confiance sur sa propre succession.
Ce qui revient à comprendre qu’en 2002, André Samitier ne voyait et pensait à
personne de précis dans son entourage.
TROMPERIE ET COMPAGNIE :
Passons les formidables mensonges des épisodes électoraux 2008 et 2010 : NON il
n’y aura jamais 600 logements Porcher...Gargenvilloises Gargenvillois la ville
est en faillite et au régime sec, mais surtout votez pour nous et vous aurez la
vie belle et des pros à votre service !
LA RECONQUÊTE ET SES EFFETS PERNICIEUX:
Le Parisien titrait le 8 juin 2010 : Gargenville s’apprête à retrouver un peu
de sérénité...
Nicole Delpeuch n’a rien d’une politicienne aux dents longues. Cette mère de
famille de 59 ans, six fois grand-mère, cultive un style sobre et réservé, elle
se dit franche, rigoureuse et claire dans ses prises de décisions, elle sait
avoir « des positions claires » en se prononçant sur l’avenir de la zone
Porcher, une friche industrielle visée par un programme de logements dont le
nombre est sujet à polémique...
LE RETOUR DE BÂTON...
SONT NIÉES, TOUTES LES RÉALITÉS INTERDISANT UN PROJET PORCHER!
ce que cache réellement "PORCHER" par l'ETAT et Madame DELPEUCH une extension sur l'usine CALCIA en 20.. |
En clair, le Conseil Général ne reconnaît pas la légitimité du dossier tel que
présenté, et devant ce nouvel obstacle à franchir pour résoudre un des aspects
économiques de la Région, il faudra rouvrir le dossier sur plusieurs angles à
la fois et sans la démesure actuelle Porcher.
Cette décision du Conseil Général pointe indirectement des risques accrus sur
un manque de vision de la double peine, s’agissant de l’augmentation du trafic
routier lié au projet Porcher sans répondre aux besoins économiques régionaux
depuis plus de 40 ans. L’impact d’échec remet en question la validité telle
qu’elle a été présentée à la Préfecture, sans tenir compte des emplois à
fournir et des transports ferroviaires notamment rive droite.
Voilà ce qui devrait lancer une commission d’enquête par la Région et le
Département, ou pour le moins la CAMY, une recherche sur les conditions dans
lesquelles ont été prises les grandes résolutions Porcher, auxquelles et
précisons-le encore une fois de plus, n’a jamais pu participer la population
tenue à l’écart de toute décision ou information à donner un avis sur
l’ensemble et la finalité du contexte immobilier envisagé. Où est le principe
de précaution ?
Dans cette affaire virant au gris-sombre tout de suite après le 6 juin 2010 et
les élections provoquées de Gargenville, il faut regarder beaucoup plus loin
vers les tenants et les aboutissants et arrêter de se voiler la face en
permanence, précisément en mettant en avant des croyances qui n’on jamais eu
lieu d’être dans la réalité des événements vécus depuis 10 ans.
Le projet PORCHER/DELPEUCH est tout simplement soupçonné d’avoir recouru à des
avantages abusifs et délirants sans respecter les simples règles déontologiques
démocratiques dans ce genre de dossier très controversé et totalement imposé.
Aucune garantie sur les effets potentiellement dangereux n’a été prise en
charge à un degré suffisamment crédible.
LES FAITS : Les nuisances routières quotidiennes et absolument rocambolesques
aux heures de pointe et au fil des années à comprendre bien évidemment dans une
emprise de plus en plus négative, qui au bout du compte de la compréhension du
danger, seule se détache l’ambition d’un projet démesuré dominant de long en
large toutes les difficultés croissantes, pas de vision et d’aperçu porté sur
le déséquilibre accentué au détriment de l’emploi, pas de volonté à compenser
une perte d’une qualité de vie satisfaisante des citoyens en améliorant
l’accessibilité ferroviaire rive droite, pas de détermination à désenclaver un
projet de 12 hectares condamné entre la saturation des ponts de Seine et un
vieux pont SNCF très limité, pas de dépollution digne de ce nom suffisamment
recherchée en profondeur aux points les plus névralgiques du site, ce qui
détermine un éventail de risques humanitaires suffisants et avérés pour stopper
complètement l’histoire folle de Porcher et ses accessits aberrants.
Prenons par exemple le rapport du commissaire enquêteur qui donne un avis
favorable plutôt très léger au projet PORCHER/DELPEUCH en mai 2012, en prenant
compte par ordre d’importance des 29 avis défavorables et 10 favorables, tout
en ne statuant pas sur la possibilité d’un rejet sur le tronçon A13 – RD28 ?
Jugez et imaginez la valeur du rapport !
Dans l’exigence d’une telle affaire, on voit bien que le cœur des
problématiques n’a jamais été visé intentionnellement, on passe volontairement
à côté et c’est une faute grave évidemment majeure à laquelle nous sommes
confrontés aujourd’hui d’une façon extrêmement choquante et brutale. D’ailleurs
l’interrogation porte aujourd’hui sur la manipulation à l’extrême et sur un
système qui défavorise et déforme en permanence les réalités.
Dans tous les sens et de tous côtés, le projet PORCHER/DELPEUCH devient une
atteinte empirée à de bonnes conditions de vie satisfaisantes des citoyens de
toute une région.
LA DÉFENSE GARGENVILLOISE
QUE CACHE L'AFFAIRE PORCHER:
RépondreSupprimerDommage que vous ne parliez pas de cette convention Porcher signée en 2007 sous la présidence de Pierre Bédier à l'EPAMSA et au conseil Régional... Vous avez la réponse!!!
Ne m'en veuillez pas si je démissionne avant d’être élu, je ne voudrais pas que vous connaissiez ma fortune personnelle que j'ai habilement subtilisée à mon épouse depuis notre mariage.
RépondreSupprimerAh bé moi c'est le contraire et elle m'a foutu à la porte! Sans l'sou je vais essayer de devenir ministre!
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