DEUX MONDES !

DEUX MONDES ! 

 Gargenville ne doit plus vivre comme une commune en déclin, il faut changer de responsables et changer de modèle communal. Pour cela, nous avons la liberté d’opinion !

Les 23 et 30 mars, une majorité de Gargenvillois vont se déplacer pour désigner l’équipe municipale qui gérera les affaires de la commune pendant 6 ans.

Pour tous les électeurs quels qu’ils soient, c'est-à-dire de toutes appartenances idéologiques, l’enjeu des prochaines élections municipales sera de choisir entre deux mondes politiques, deux mondes inverses, deux mondes contraires, deux mondes opposés, mais sur 4 listes !

Il faudra donc juger sur le fond et non compter sur la fidélité des partis politiques comme ce fût le cas avec les 1330 voix de Mme Nicole Delpeuch en 2010, c'est-à-dire, juger dans un 1er temps des compétences sur l’état actuel de la commune par rapport à 2004, tout en prenant le droit du peuple confronté à la force déterminée de l’Hôtel de ville, puis encore juger l’attitude de ce pouvoir central sur des informations détournées ou contournées, les conséquences et les retombées auprès des électeurs, ensuite comparer les actes de chacune des opposantes.

 

DEUX MONDES, UNE COMMUNE, LES MÊMES ÉLUS !

La vision principale d’un ces deux mondes sera naturellement représentée pour la 3ème fois consécutive par Mme Nicole Delpeuch (2008-2010-2014), entendez par « vision principale », uniquement la politique soviétiforme que nous combattons depuis déjà 6 ans. Cette vision politique rétrograde, repose essentiellement sur une comparaison entre deux mondes, mais ramifiées et mariées entre elles, pour la seule et unique cause d’un retour au pouvoir.

Explication : la 1ère comparaison à identifier, c’est la sécurité d’André Samitier que nous avons tous positivé pendant 30 ans, une vraie leçon de vie, puis dans la seconde, une autre où le droit est directement malmené par les propres héritiers d’André Samitier, où une justice est au dessus des autres pour une espèce de politique rapiécée sans véritable consentement des urnes, mais dans un antisystème ravageur. Une transgression caractérisée des droits des citoyens, où la morale sacrilège rejoint le blasphématoire du droit à la liberté de décider.

Les bons Barons Samitier déclarent forfait en mars prochain – ils s’en vont – c’est sympa pour Gargenville – mais ils auraient dû prendre cette décision juste avant les élections de mai 2010 – ça nous aurait épargné bien des soucis, et probablement que nous aurions aujourd’hui moins de difficultés à essayer d’endiguer les préjudices d’un bilan catastrophique, et dont ils ont eu la garde si précieuse pendant si longtemps. Une page de l’histoire de notre commune se tourne donc définitivement dans ce départ des anciens élus Samitier – reste cette posture théâtrale assez inattendue du « couché-pas-bouger » – surtout compte tenu de leur précédente carrière politique, cela gêne et choque bon nombre de Gargenvillois. Ces personnages passés de la lumière aux ténèbres, laissera le goût amer d’une farce communale en volte-face – surtout dans cette approbation d’une petite dictature sur un peuple soudainement brimé.

Ces « sympathiques petits élus s’autoproclamant professionnels aguerris en 2008 et 2010 » (ils faisaient partie des meubles Samitier et en ont joué des années), s’en vont plus que discrètement sur la pointe des pieds par une porte dérobée. Les étranges docteurs Jekyll et mister Yde de Gargenville nous quittent sans explication de leur attitude sur une transformation radicale, mais en conservant cet opaque mélimélo de l’âme humaine. Bons ou  mauvais, compétents ou incompétents, on ne saura jamais qu’elle genre de mouche les a piqués en 2004 – une métamorphose radicale en oubliant leur immense rôle précédent ?

Moralement, tout cela ne paraît guère très correct/correct, surtout après avoir permis d’entériner un système de décisions politiques qui ne convient... ni à Gargenville, ni à la région. 

Mais où sont passés nos grands héros d’antan ? Avalés et digérés dans cette machine infernale venue du fond des âges ? Maintenant, reste encore à Gargenville à faire face à toutes les conséquences des votes autodégradant des conseils municipaux des 4 dernières années, véritable exhortation à l’infraction de notre cadre de vie, et le dernier en date du 12 décembre 2013 sur un PLU manifestement ajusté aux conditions de l’OIN et de la CAMY, n’arrange rien à 90 jours des élections communales, surtout en ressemblant plutôt à une mesure de plomb, sinon à un historique bras d’honneur politique. Ils s’en vont, mais l’enfer reste !

 

UN AUTRE MONDE, UNE AUTRE PENSÉE !

Heureusement pour la commune, il existe un autre monde que celui construit par Mme Nicole Delpeuch alliée aux héritiers Samitier du 6 juin 2010, dans cette alternative, la règle absolue, c’est de faire toute la différence sur un raisonnement mesurant l’étendue des profanations d’une équipe municipale, qui n’a jamais eu de limite en imposant un monde plus inquiétant.

La jurisprudence le démontre, dans les actes imposés, le trouble à l’ordre public n’est pas si éloigné que çà – on le côtoie – on vit avec ! Prenons la liberté d’opinion, la liberté d’expression, ces biens précieux sont à protéger sur les conséquences d’un étouffoir programmé, sur l’incitation d’une transgression morale, sur une idéologie et ses métastases, sur les sévices attentatoires liés aux libertés publiques.

Par plainte, La Défense Gargenvilloise a alerté les pouvoirs publics sur le principe de précaution appliqué à la liberté d’expression, de la confrontation du droit du citoyen sur la force, du détournement d’une concertation publique par trafic d’influence, visant à obtenir une faveur de personnes influentes sur l’exploitation de 11,6 hectares, au lieu des 6,7 hectares initialement prévus.

Au-delà de la crise de confiance Delpeuch, véritable constat d’une débâcle, il y a aujourd’hui deux combats, le combat juridique que mène La Défense Gargenvilloise depuis 1 an devant les tribunaux administratifs, et le combat politique. Le tout est évidemment lié aux intérêts majeurs de la ville, et il n’est pas nécessaire d’avoir la science infuse pour arriver à comprendre que c’est un phénomène de vase communiquant, dont l’objectif principal est un référendum communal décisif, duquel seuls les électeurs, doivent sortir bénéficiaires au service de la protection des intérêts primordiaux de leur ville !

Un choix radicalement démocratique où une éducation passiviste n’a désormais plus sa place. Il ne faudrait pas non plus retomber dans l’imposture d’une aspiration attentiste, tout cela en simple calcul d’une confuse prévision des genres tombant bien à propos, tout en débouchant dans le sillon d’un opportunisme pour le coup extrêmement miraculeux...

Le 10/01/2014/LA DÉFENSE GARGENVILLOISE/Christian Pirault