LE TEMPS DE LA RAISON GARDEE
Nous voici bientôt à la mi-septembre, à exactement 6 mois des prochaines élections municipales. Un grand moment attendu avec impatience pour bon nombre de nos concitoyens qui auront à cœur de se déplacer en masse à la salle des Fêtes de Gargenville.
Croyez-le chers lecteurs, c’est déjà dans toutes les têtes des Gargenvillois, du reste, plus que partout ailleurs sur le canton et la région, d’une part, parce que les électeurs de mars 2014 ne seront plus jamais confrontés à l’ambiguïté du doute ravageur du 6 juin 2010, d’autre part, bien évidemment parce que « chat échaudé craint l’eau froide ». Quand on a été victime de phénomènes politiques aussi importants que ceux que nous avons vécu en deux épisodes dramatiques 2004 et 2010, notamment par la fourbe privation des intérêts de la ville et son cadre de vie, on devient plus prudent, voire trop défiant devant un danger du même type et manigancé par les mêmes origines politiques de destruction...
Cette fois-ci, et après toutes les péripéties politiques des années précédentes, les véritables enjeux de Gargenville feront la différence par les urnes, c’est indéniable. Egalement pour les habitants de la commune, ce sera la dernière chance de se mettre en accord avec son passé de renom régional. A ce sujet, nous avons rencontré fortuitement à diverses reprises des spécialistes en statistique, notamment en mai 2010, et compte tenu des éléments favorables et défavorables agissant sur l’infecte climat délétère des deux années noires de 2008/2010, ils nous avaient prédit à l’époque à quelques voix près, y compris celui de la participation, et donc des abstentionnistes, les résultats catastrophiques enregistrés les 31 mai et 6 juin 2010.
Et bien par curiosité nous sommes retournés il y a seulement quelques jours vers ces spécialistes en statistique... Nous avons frappé à leur porte et devinez quoi... ? D’après leurs études par ordinateurs sophistiqués en politique et des données rentrées le 1er septembre 2013, le taux de participation à Gargenville dépasserait les 80%, et en cas d’une probabilité de 4 listes, deux d’entre elles dépasseraient au 1er tour largement le seuil des mille voix en se retrouvant à 30/35 voix d’écart l’une de l’autre... Après un record dramatique d’abstentionnistes, on aurait donc un tout nouveau record de participation qui en plus, ne tiendrait pas compte des deux finalistes de 2010... Etonnant non ? Ah la politique des grands jours.... Aurait-elle enfin retrouvé un sens commun à Gargenville ?
Mais nous n’en sommes pas encore là... D’abord... D’abord... Voyons quels seront les candidats et combien de listes établies sur quelles tendances politiques... Deux éléments fondamentaux auxquels les électeurs se positionneront principalement sur les facteurs des programmes proposés... Porcher par exemple ou encore l’interco pour le plus gros...
Quoi qu’il en soit, courant favorable ou pas, sachons garder précieusement le temps de la raison minutieusement réfléchie point par point, il en va de Gargenville, pas de combat des chefs, pas de monopole, pas moins encore d’emprise perso ou influence déséquilibrante pour quiconque... Seulement l’efficacité d’égal à égal et rien d’autre comme sujet sur la table...
Nous voici bientôt à la mi-septembre, à exactement 6 mois des prochaines élections municipales. Un grand moment attendu avec impatience pour bon nombre de nos concitoyens qui auront à cœur de se déplacer en masse à la salle des Fêtes de Gargenville.
Croyez-le chers lecteurs, c’est déjà dans toutes les têtes des Gargenvillois, du reste, plus que partout ailleurs sur le canton et la région, d’une part, parce que les électeurs de mars 2014 ne seront plus jamais confrontés à l’ambiguïté du doute ravageur du 6 juin 2010, d’autre part, bien évidemment parce que « chat échaudé craint l’eau froide ». Quand on a été victime de phénomènes politiques aussi importants que ceux que nous avons vécu en deux épisodes dramatiques 2004 et 2010, notamment par la fourbe privation des intérêts de la ville et son cadre de vie, on devient plus prudent, voire trop défiant devant un danger du même type et manigancé par les mêmes origines politiques de destruction...
Cette fois-ci, et après toutes les péripéties politiques des années précédentes, les véritables enjeux de Gargenville feront la différence par les urnes, c’est indéniable. Egalement pour les habitants de la commune, ce sera la dernière chance de se mettre en accord avec son passé de renom régional. A ce sujet, nous avons rencontré fortuitement à diverses reprises des spécialistes en statistique, notamment en mai 2010, et compte tenu des éléments favorables et défavorables agissant sur l’infecte climat délétère des deux années noires de 2008/2010, ils nous avaient prédit à l’époque à quelques voix près, y compris celui de la participation, et donc des abstentionnistes, les résultats catastrophiques enregistrés les 31 mai et 6 juin 2010.
Et bien par curiosité nous sommes retournés il y a seulement quelques jours vers ces spécialistes en statistique... Nous avons frappé à leur porte et devinez quoi... ? D’après leurs études par ordinateurs sophistiqués en politique et des données rentrées le 1er septembre 2013, le taux de participation à Gargenville dépasserait les 80%, et en cas d’une probabilité de 4 listes, deux d’entre elles dépasseraient au 1er tour largement le seuil des mille voix en se retrouvant à 30/35 voix d’écart l’une de l’autre... Après un record dramatique d’abstentionnistes, on aurait donc un tout nouveau record de participation qui en plus, ne tiendrait pas compte des deux finalistes de 2010... Etonnant non ? Ah la politique des grands jours.... Aurait-elle enfin retrouvé un sens commun à Gargenville ?
Mais nous n’en sommes pas encore là... D’abord... D’abord... Voyons quels seront les candidats et combien de listes établies sur quelles tendances politiques... Deux éléments fondamentaux auxquels les électeurs se positionneront principalement sur les facteurs des programmes proposés... Porcher par exemple ou encore l’interco pour le plus gros...
Quoi qu’il en soit, courant favorable ou pas, sachons garder précieusement le temps de la raison minutieusement réfléchie point par point, il en va de Gargenville, pas de combat des chefs, pas de monopole, pas moins encore d’emprise perso ou influence déséquilibrante pour quiconque... Seulement l’efficacité d’égal à égal et rien d’autre comme sujet sur la table...
LA DEFENSE GARGENVILLOISE
Belle présentation, belles photos d'un passé glorieux des dits barons depuis 10 ans...
RépondreSupprimerVos commentaires semblaient exagérés au début, mais la réalité de vos écrits se constate tous les jours, merci à vous.
Donc: vivement mars 2014 avec la Défense Gargenvilloise et j'en suis convaincu une amélioration de notre ville.
Qui sera votre candidat? ou serez vous les Maires BIS attendu avec une équipe et les qualités nécessaires...
ATTENTION ce n’est pas de la politique politicienne, mais une étude sur la projection du futur de la NATION Française??? si cela est bien de lui, alors, il disait déjà tout haut ce qu'il allait arriver mais qu'il ne faut pas dire???
RépondreSupprimerL’ancien ministre giscardien, Michel Poniatowski, écrivait dans son livre-testament une conclusion dont on ne voit pas quelle ligne on pourrait changer 21 ans plus tard.
"Son âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluriethnique et pluriculturelle que l’on s'acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer.
Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but.
Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond.
Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane.
Si tel n'est pas le cas, la France aura deux visages : celui du «cher et vieux pays» et celui du campement avancé du tiers monde africain.
Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées.
Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes. Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l'immigration africaine n'est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression. Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu'un charter rapatriera des envahisseurs illégaux.
Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l'état sa place normale.
Les libéraux l’ont affaibli, les socialistes l’ont détruit.
"Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ?
La Justice, l'Armée, l'Éducation nationale, la Sécurité, la Police, notre place en Europe ? En miettes.
La France est à l’abandon, est en décomposition à travers le monde. Sa recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence, et de la Nation et de l’État."
"Si la vérité vous choque, faites en sorte qu'elle devienne acceptable, mais ne bâillonnez pas celui qui en dénonce l'absurdité, l'injustice ou l'horreur." Faites suivre, c'est criant de vérité???