GARGENVILLE NOTRE VILLE
En France, 2013 ne sera pas une année comme les autres, il faut bien s’y préparer.
Ce qui apparaît comme une nouveauté, c’est la fracture vers l’essentiel, la
fragilité de nos entreprises, le manque de compétitivité, le vide de
protection, l’élan vers la jeunesse.
Par la force des choses, 2013 donnera une partie des réponses, la forteresse de
Bercy devra mettre de l’eau dans son vin, et ses conseillers devront davantage
se pencher sur le domaine des compétences. (Il n’est de richesses que
d’hommes.) L’impôt confiscatoire, mazoute nos plus belles forces vives, autant
que nos plus belles côtes l’ont été par d’imprudents pétroliers exploités en
fin de vie. Il est maintenant urgent de contrebalancer des mentalités et ses
pouvoirs paralysants.
Gargenville... Et tout ça pour ça !
La course au pouvoir, la frénésie de dominer, d’ailleurs, nous ne savons même
plus aujourd’hui, si cela peut avoir un sens quelque part..., les promesses en
trompe l’œil, les mensonges, les grands motifs, et enfin le très grand rôle de
l’héroïne reconquérant la place forte aux ennemis de Gargenville, nous laisse
finalement un cataclysme politique, un séisme moral, un champ de ruines sur les
bras...
L’excessif présent, le rappelle avec force au simplisme des traditions
précédentes...
Il faut le distinguer, et 33 années de travail ce n’est pas rien. Qui se reconnaît
dans la municipalité actuelle se reconnaît perdu d’avance... Le temps a fait
son œuvre...
Ainsi, va le nouvel an Gargenvillois, 2013, qui voit s’effondrer la grande
Baronnerie d’une excellence trépassée, au triste spectacle offert d’une
désolation... Quel est l’électeur conscient de nos dernières années, qui ne
soit pas affecté actuellement par ce qui est mis en cause ?
Ce n’est pas que l’organisation partisane qu’il faut regarder, c’est aussi le
défi à notre propre déchéance communale, et qu’il faut prendre en compte
maintenant...
L’image de Gargenville est abîmée, dégradée, même si pour l’essentiel, les
sympathisants Delpeuch restent attachés au culte du chef Romain VENI, VIDI,
VICI, mais l’épisode 2010/2012 restera l’élément politique le plus lourd, le
plus exécrable..., que l’histoire de Gargenville ait jamais connue...
En déballant son unique mandat électoral, gagné devant les urnes de 2010, Mme
Delpeuch maire, dépasse les meilleures prévisions... Les dérives sont
accablantes, la complexité de la réquisition de 2010, finit en décryptage des
promesses balancées en croisière des Pros indispensables... Et la croisière
s’est excessivement amusée des valeurs du passé...
Transformation abracadabrante, dévitalisation, Mme Delpeuch maire, enregistre
dans son propre camp des défections importantes, et des possibles ressources,
les faiblesses visibles démontrent que la foi n’y est plus... Plus exposée que
jamais, Madame le maire doit assumer son tas de conneries, sa dégringolade,
pour une femme qui prétend à sa propre succession.
Du statut de dirigeant préféré, (1359 voix sur 5050 inscrits en juin 2010), en
cote d’avenir, il sera impossible de réparer les choix importants de ces deux
dernières années... Quand un blason politique est broyé à ce point, c’est
forcément irréparable. Et le bilan général reste une très mauvaise nouvelle,
pour qui est en droit d’attendre le rôle protecteur d’une municipalité.
Reste les médias, et les journalistes devraient commencer à concéder la
difficulté de mars 2014, reconnaître les côtés responsables, le mauvais
feuilleton d’une succession qui a secoué Gargenville jusque dans ses fondations
les plus profondes. La victoire de l’été 2010 n’a pas été usurpée, mais elle a
souffert d’une méfiance ternie dans un psychodrame malsain, ce qui a
volontairement atteint le dynamisme et la sincérité de l’opinion publique.
Les plaies sont importantes, insupportables, il faudra panser, opérer en
urgence, rassembler la population face aux difficultés communales, réincarner
une protection villageoise, refondre les vraies ressources non négligeables
d’une qualité de vie trop vite disparue.
Plus jamais, nous devrons revivre une pareille exclusion, l’expérience terrible
a été fatale en tous points de vue..., et c’est à nous tous de l’opposition, de
prendre les mesures qui s’imposent d’office à Gargenville. Vouloir le contraire
serait suicidaire !
C’est pourquoi nous plaidons au choix des primaires, et nous ne sommes pas les
seuls, à déconnecter une lutte qui s’avèrerait fratricide, il ne s’agit pas de
revenir aux positions de Gargenville, mais d’analyser les points forts de
chacun par les urnes, d’additionner intelligemment les prétentions du corps
électoral, et ce sera un exercice utile de vérité stratégique... Dans cet ordre
d’entente, il n’y aura pas de véritable compétition, mais un résultat
recomposant un dynamisme indispensable à une reconstruction... La force avant
tout, par une union des convictions, seule grande et unique sécurité
indispensable sur Gargenville !
Il faut s’y préparer maintenant, cela doit se faire et aboutir dans tous les
esprits quels qu’ils soient, sans aucune excommunication, sans aucune
discrimination... Chacun à son rôle majeur de participation à jouer, dans la
concertation, dans l’acceptation d’une politique qui nous est déjà commune en
tous points principaux...
Egalement, l’opposition élargie doit demeurer forte et constructive, dans le
sentiment de tout faire démocratiquement, de rassembler sur les alternatives
les plus importantes, le reste n’est qu’affaires de compte courant à décider
autour d’une table et un coca.
La sélection d’une seule appartenance, même si une majorité se détacherait
encore une fois, resterait dans la même définition de juin 2010, avec ses parts
d’ombres, de faiblesses, d’incertitudes, d’exclus, et une majorité minoritaire
enfermée dans un bureau à 4 – 5, sur les sujets les plus dramatiques. On en
sort dans un an de ce système controversé, ce ne sera pas pour recommencer la
même folie dans une opposition dispersée...
Bien évidemment nous irons à vos côtés à la bataille, parce que comme vous,
nous laisserons à personne le soin de représenter nos objectifs, nous ne sommes
pas des politiques comme le terme le définit, mais des outragés, des révoltés
et des reconditionnés à sauver ce qui doit l’être... Nous espérons vos
participations .
LA DÉFENSE GARGENVILLOISE