De petits, petits mensonges sur (PORCHER) depuis 2004?

Dès le lendemain de son élection en 2004,  Madame le Maire, aidée de ses amis politiques et en accord avec le conseil municipal commande à

L’AUDAS* l’élaboration du PLU*.

Celui-ci dépose conjointement avec l’OIN* un rapport bien veillant en 2005 avec déjà, la faisabilité de réaliser 350 logements, ainsi que d’autres orientations bienfaitrices et importantes (l'aire des gens du voyage)???

La Mairie scelle ainsi le sort « PORCHER » elle entérine l’aménagement du site par l’Etat sans concertation avec la population???

L’OIN achète le terrain en 2006, demande à EPAMSA* d’établir la faisabilité du projet et son aboutissement et en corrélation parfaite avec la Mairie ...

***Incroyable non???***

*PLU plan local de l’urbanisme,

*AUDAS Agence d’urbanisme et de développement

*OIN Opération d’intérêt National,

*EPAMSA Etablissement Public d'Aménagement du Mantois Seine Aval

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Questions aux responsables:


Pourquoi avoir caché à la population cette décision prépondérante avant et pendant les élections municipales de 2008 et 2010???



Pourquoi avoir annoncé 300 appartements lors des élections municipales???

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Article de presse du Parisien du 03/10/2009

Paroles prononcées par un adjoint poste à responsabilité en 2009

(Nous sommes favorable à l'urbanisation de cette zone, qui est devenue une véritable verrue, confie Mr Roland Charbonneau, conseiller municipal du groupe de l'opposition. Mais nous estimons que 300 logements suffisent. cela doit rester un quartier à taille humaine, pas "une cité dortoir").

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1er conseil municipal la passation de pouvoir et ses petites paroles:

(Il faudra vite voter le budget et revoir la friche PORCHER).

 Mme Nicole Delpeuch affirme tout net:
 "quelle préfère ne rien dire, ne sachant pas mentir".

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Tract de campagne de Mme Nicole Delpeuch et son équipe du 20/02/2008



(NON il n'y aura pas 600 logements sociaux sur la friche PORCHER,
l'affirmer est tout simplement un mensonge.

La loi nous contraint à 20 % nous n’irons bien sur pas au-delà, et répondrons à nos obligations au rythme prévu d’une trentaine tous les trois ans en moyenne).

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Ces petites menteries programmées, planifiées, organisées, n’ont apporté que discorde et division à Gargenville…
Pourquoi, pour le « pouvoir à tout prix » prenant au passage sous son parapluie protecteur les associations???
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Enfin la perle de cette situation:
Avoir réussi à reporter sur Pierre-Marie Darnaut leurs erreurs
« PORCHER » et autres points aux dernières élections de 2010???

Et le comble  se présenter comme les sauveurs aux yeux de la population???

Comme l’écrit un blogueur en les citant «Les pas nous pas nous» !!!

Belle gymnastique des garants de cette ville!!!

Etes-vous intouchable??? Etes-vous incorruptible??? Etes-vous responsable ???  Cachant ainsi la vérité aux Gargenvilloises et Gargenvillois???

L’affaire «PORCHER» expose t’elle maintenant toute la population à tous les dangers???

La réponse est: "OUI"


La Mairie envisage maintenant 500 appartements voir + avec EPAMSA.

A qui profite toute cette dissimulation de preuves et cette doctrine économique "mercantilisme"???

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Lecteur de ce blog, faites circuler ce document ci-joint, sensibilisez la population, votre famille, vos amis, vos relations, chaque voix compterons aux prochaines élections de demain.

L’Etat aujourd’hui réfléchi sur le devenir de cette opération en fonction de la crise économique en cours.

Il n’est pas trop tard pour inverser la tendance comme le prétendent certains moralistes et défaitistes chroniques…

Changeons ensemble le cours de cette affaire, si vous le désirez...

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Extrait de l’étude de l’AUDAS et l’OIN établi en avril 2005

ELABORATION DU P.L.U. DE GARGENVILLE

DIAGNOSTIC TERRITORIAL

Le point mort de la période 1999-2006, s’élève à 194 logements soit 28 logements par an, dont 28 pour le desserrement des ménages. On constate donc sur la dernière période (1999-2006), un doublement du point mort par rapport à 1990-1999. Ceci s’explique essentiellement par le phénomène de desserrement des ménages (le besoin passant de 18 logements par an à 28 entre 1990-1999 et 1999-2006).

De 1999 à 2006, le niveau de la construction neuve a à peine permis à la commune de répondre aux besoins du point mort (construction neuve = 228 et point-mort = 194). Dés lors, l’effet démographique de la construction s’est révélé limité, ne permettant qu’une légère hausse du nombre d’habitants.

Ces éléments (point mort, desserrement des ménages, effet démographique) confirment la nécessité de diversifier l’offre en logements pour répondre à l’ensemble des besoins de la population (notamment les jeunes ménages).

Le calcul du point mort entre 1990 et 1999 et 1999 et 2006 permet d’avoir une approche rétrospective du fonctionnement du parc de logements de la commune et de mesurer l’impact de la construction neuve sur la croissance démographique de la commune. Ce même outil peut être utilisé dans une visée prospective pour tenter de mesurer le nombre de logements à construire dans le futur pour simplement maintenir le niveau de population à son niveau de 2007.

La définition de quelques hypothèses simples comme le renouvellement du parc antérieur à 1945 de l’ordre de 0,5% par an, poursuite de la baisse de la taille moyenne des ménages à l’horizon 2020, légère baisse de la proportion des résidences secondaires… permet de calculer le point mort à l’horizon 2020.

Ainsi, 350 logements sur la période 2006/2020 devraient permettre d’atteindre le point mort, ce qui représente 25 logements par an pendant 14 ans.

Ces 25 logements par an représentent naturellement un objectif de construction à minima pour la commune.

Il est à souligner que le besoin en logements induit par le desserrement des ménages de la commune va rester élevé à 23 logements par an environ.

􀀳 Vers une croissance de la population de Gargenville à l’horizon 2020 ?

A partir des éléments sur le point mort de la période 2006/2020, il est possible d’établir une vision future de l’évolution de la population de Gargenville. Ce travail reste néanmoins indicatif.

Ainsi, plusieurs hypothèses de travail peuvent être envisagées (cf. tableaux de la page précédente et de la page suivante) :

Hypothèse 1 :

- un rythme de construction neuve identique à celui des années 2000-2007 (soit 25 logements par an)

- une taille moyenne des ménages qui continue à baisser de façon modérée (estimation à 2,37 personnes par ménage en 2020).

La commune devrait maintenir son nombre d’habitants à son niveau de 2006 (Construction neuve = Point mort), soit 6.700 habitants environ.

Hypothèse 2 :

- un niveau de construction neuve plus élevé que dans les années 2000-2007 et évalué à 35 logements par an (soit +40% par rapport à la construction moyenne de 2000-2007),

- une taille moyenne des ménages qui continue à baisser de façon modérée (estimation à 2,37 personnes par ménage en 2020).

La population pourrait atteindre environ 7.000 habitants en 2020.

Hypothèse 3 :

- un niveau de construction neuve nettement plus élevé que dans les années 2000-2007 et évalué à 50 logements par an (soit +100% par rapport à la construction moyenne de 2000-2007),

- une taille moyenne des ménages qui continue à baisser de façon modérée (estimation à 2,37 personnes par ménage en 2020).

La population pourrait atteindre environ 7.500 habitants en 2020.

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Affiche de campagne 2008collée sur l'ancien commissariat de police, décrivant déjà les faits et la vérité sur "PORCHER"  et 500 app...

Signé: (les jean du village forts mécontents)

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article du 01/10/09   

Ce qu'est EPAMSA comprendre leur stratégie sur Gargenville le 31/10/2009

C'est un Établissement Public d’Aménagement du Mantois en Seine Aval :
Spécialisé dans le renouvellement urbain et le développement du territoire.
Créé par décret en 1996, l’EPAMSA est un établissement public d’aménagement chargé d’opérations de développement et de renouvellement urbains. Comme tout établissement public, l’EPAMSA combine des règles publiques et une gestion privée et associe l’État et les collectivités locales. Dédié à sa création à la mise en œuvre du Projet Mantes en Yvelines, il s’est vu confier en 2000 la direction du Grand Projet de Ville (GPV) de Chanteloup-les-Vignes. Fin 2005, il a été chargé de la préfiguration de l’Opération d’Intérêt National Seine Aval et, désormais de son pilotage.
L’EPAMSA est donc aujourd’hui chargé par décret en Conseil d’Etat de trois missions : les Projets de Rénovation Urbaine (PRU) du Mantois et de Chanteloup-les-Vignes et l’Opération d’Intérêt National Seine Aval.
L’identité de l’EPAMSA se dessine autour de quelques mots clefs : renouvellement urbain. Qu’il s’agisse de zones sensibles ou de projets d’aménagement, l’EPAMSA privilégie la transformation de la ville sur elle-même ; partenariat. Doté de compétences propres, l’EPAMSA entend les exercer dans le respect des compétences de tous, en particulier des communes, quelle que soit leur taille ; qualité urbaine et architecturale. L’EPAMSA considère de son devoir de faire preuve d’exigence et d’ambition pour la qualité des projets qu’il mène, en particulier en matière de développement durable.
La mission centrale de l’EPAMSA est d’aider à construire l’avenir de Seine Aval à Gargenville.

L’ancien site "Porcher" est situé entre une zone d’activités et un secteur pavillonnaire au sud-ouest de la commune de Gargenville. Il s’agit d’une friche industrielle de 67 000 m², désaffectée depuis 1997.
Ce secteur, bien que séparé du reste de la ville de Gargenville par la ligne SNCF bénéficie d’atouts majeurs avec la proximité immédiate du centre ville, de la gare voyageurs ainsi que d’un accès rapide à l’autoroute A13 vers Paris et Rouen.
Le projet d’aménagement du site envisage la création d’un quartier à dominante résidentielle. L’objectif est de répondre aux besoins des habitants en termes de parcours résidentiels en leur offrant simultanément qualité de construction et variété de logements. Il s’agit de créer un nouveau quartier enraciné dans la ville et qui possèdera des connexions immédiates vers le centre ville ainsi que vers un territoire plus large grâce aux transports collectifs.
Fin 2007, la commune de Gargenville et l’EPAMSA ont conjointement lancé une étude urbaine, prenant en compte les contraintes techniques du site. Le diagnostic et les différentes étapes de cette étude seront validés au sein d’un comité de suivi.
En parallèle, l’Etablissement Public Foncier des Yvelines a acquis les terrains à Gargenville.

LA DEFENSE GARGENVILLOISE