mercredi 10 décembre 2014

appuyez pour votre plaisir


Noël 21

4 commentaires:

  1. Commentaire sans réflexion.

    Pour le plaisir d'écrire sur un sujet libre et sur une ville si belle aux abords de Paris et si fragile.

    Qu'écrire sur Gargenville et ses villes voisines toutes si belles les unes et les autres avec pourtant tant de différences...

    D'une vallée, d'un coteau, des collines et des plaines du Véxin. Qu'il est beau, qu'ils sont beaux les paysages.

    La photographie ne perce que l'instant et fige l'image et jamais ne verra cette croisée avec un chevreuil croisant votre route.

    Elle est belle notre ville, l'on se doit nous, les âmes de ce lieu de préserver cet instant de bonheur pour l'offrir à nos enfants et cessé de massacré dans l’irrationnel par une zone inapte à recevoir et respecter les nouveaux
    venus par un manque évident d'infrastructure, d'écoles, commerces, ponts...
    Sauf à ruiner notre ville par une mégalomanie d'un pauvre hère qui se nommerais alors un "Maire" sans l'once de réflexion.

    Que chimères ses infrastructures futures tant il semble évident que demain sera de la rive droite de la Seine et que nos petites villes ne sont riens face aux Villes de Grande Banlieue...

    Un Citoyen.

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  2. Désir de réflexion.

    A que les ami(e)s sont un appui telle une cane au beau pommeau d'or certes l'on ne comprend jamais assez leurs réflexions étant inapte à les recevoir.

    Le recul permet de comprendre l'hier mais qu'il est difficile d'appréhender le maintenant et surtout le futur, c'est ainsi.

    Le plaisir d'aimer la vie et de ne jamais regretter ces choix et enfin de comprendre que la solitude ça n'existe pas, c'est d'une trop grande facilité intellectuelle, une erreur de vision, un défaut à corriger.

    Un Citoyen.

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  3. Un plaisir de soirée sans commentaire...

    Que puis-je écrire ici que le bonheur du temps retrouvé, l'envie, cette envie de croire en l'avenir, cette envie de vivre l'instant présent en me projetant vers un futur de notre ville tant elle belle cette ville.

    Et puis non, c'est instant présent je le conjugue à deux et je me conjugue à deux avec toi mon aimée. Belle fin de soirée à vous : un Citoyen.

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  4. Un Citoyen : la pensée libre ne peut être la plus lue, c'est une hérésie.

    Merci de votre lecture mais sachez que mon chemin d'homme qu'il est difficile ou bien trop facile par la facilité du nombre et l'ombre des erreurs.

    Merci à vous, vous les lecteurs, merci....

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