Article de la Défense Gargenvilloise le 22/10/2013
Délibération n° 13 D 57 : Ajout d’une tarification de concession dans le règlement du cimetière municipal
Madame DELPEUCH informe : nous avons dû prendre la décision
de fermer un des portails du cimetière, celui du milieu. D’où de nombreuses réactions,
comme tout changement. Nous ne pouvons pas mettre l’explication sur le portail car elle
est un peu longue. Tous les cimetières ont des règlements qui visent à éviter qu’il y
ait circulation dans le cimetière. Nous devons, à des horaires d’ouverture fixés, ouvrir et fermer
des portes donnant accès au public, à pied ou au parking.
En même temps que nous avons fermé le portail, nous avons
aussi posé une borne au milieu de l’allée du haut puisque, quand quelque chose est
plus ou moins libre, les dérives vont vite. Nous nous sommes aperçus que beaucoup trop de
véhicules circulaient dans le cimetière au plus près des tombes, même quand les personnes
n’étaient pas invalides ou en difficulté réelle de se déplacer.
De même, nous voyons
beaucoup de personnes libérer des chiens dans le cimetière, ce qui est aussi inacceptable.
Et
par ce portail en bas, les entreprises avaient pris l’habitude d’aller travailler à des
horaires qui leur convenaient, sans forcément passer par la mairie pour demander l’autorisation
de pénétrer dans le cimetière pour faire des travaux, creuser une tombe, aménager un
monument, etc. Comme dans tous les cimetières, personne ne doit entrer et faire des travaux
sans être passé d’abord en mairie se signaler, avoir été identifié, pour savoir
exactement quels travaux sont effectués et à quel endroit.
Sinon, nous nous retrouvons avec des
dommages de matériel public ou de tombes, par des entreprises dont nous n’avons pas le jour
précis de venue, etc.
Leur demander de venir en mairie, de se signaler, de demander la
permission d’avoir la clé pour y aller, ou celle du poteau que nous avons mis, cela régule
complètement les choses. Nous ne faisons qu’appliquer ce qui se fait partout.
Chaque fois que
nous prenons ce type de décision, nous prenons la précaution de voir comment cela
est géré ailleurs car toutes les communes ont les mêmes compétences au niveau des cimetières.
Par ailleurs, c’est aussi pour réguler des personnes qui
allaient déposer leurs déchets verts au cimetière au lieu d’aller à la déchèterie. Certains ont
été vus, la police municipale est intervenue et certaines personnes ont eu des courriers de
rappel de bon comportement.
Nous souhaitons éviter ceci, puisque nous sommes là aussi
pour garantir le plus grand respect des lieux et leur bonne tenue. Nous l’expliquons à
toutes les personnes venant faire part de leur mécontentement.
Nous avons aussi fait réaménager une allée justement pour
que les personnes qui, avant, entraient par le portail aujourd’hui fermé, puissent accéder
plus facilement. Faites passer le message.
Nous délibérons maintenant pour créer un nouveau tarif. Vu le Code Général des Collectivités Territoriales et
notamment l’article R.2223-5, Vu le règlement du cimetière de la commune approuvé par
délibération n° 06C067 en date du 28 avril 2006, complétée par délibération n° 07C 084 en
date du 27 Avril 2007,
Considérant que dans ce règlement la tarification pour une
concession d’une durée limitée à 5 ans minimum est inexistante, il convient de la créer.
Madame MALAIS répond : pas forcément mais, s’agissant du
minimum obligatoire, nous nous mettons dans la réglementation.
Madame GALAIS demande : que se passe t-il au bout de 5 ans
si la concession n’est pas renouvelée ?
Madame MALAIS répond : comme pour les autres, nous demandons
soit un renouvellement, soit un abandon.
Madame GALAIS demande : en cas d’abandon, comment cela se
passe t-il ?
Madame MALAIS répond : les personnes ont deux ans pour
répondre. C’est la procédure normale. En cas d’abandon, c’est le relevage et
l’incinération, donc au bout de sept ans.
Madame GALAIS dit : je suppose que les frais d’incinération
sont à la charge de la commune et qu’ils vont au-delà de 100 € très certainement.
Madame MALAIS répond : il y a maintenant la possibilité de
l’incinération, puisque se pose la question du manque de places dans les cimetières. Pour ne
pas incinérer, il faut une volonté expresse donnée lors de l’inhumation. S’il n’y a pas
cette volonté expresse, lorsque l’on relève les tombes, on peut incinérer.
Madame GALAIS ajoute : et lorsqu’il y a une demande expresse
de non incinération, même s’il y a une concession de cinq ans, elle perdure dans le
temps ?
Madame MALAIS répond : oui, ensuite c’est une réduction,
puis l’ossuaire pour 35 ans.
Madame DELPEUCH précise : il semblerait aussi que ce soit un
tarif existant dans la réglementation pour une raison dite économique. Un décès
dans une famille, c’est quelquefois d’un seul coup une dépense très importante. Nous
savons tous qu’une inhumation coûte quelques milliers d’euros. C’est la
possibilité peut-être pour des familles de ne pas payer tout de suite pour dix ans, de payer 100 € au
lieu de 250 €, et de reprendre la concession plus tard.
C’est un mini engagement pour que la
note soit moins lourde au moment du décès.
Madame MALAIS ajoute : la réglementation funéraire bouge
énormément en ce moment.
Madame DELPEUCH poursuit : c’est aussi un travail important
que de suivre cette réglementation funéraire parce qu’elle évolue beaucoup
effectivement et la responsabilité de la commune est engagée en termes de gestion funéraire.
Après avoir entendu l’exposé du rapporteur et en avoir
délibéré, LE CONSEIL MUNICIPAL, À l’unanimité, Approuve la création d’une tarification de concession de 5
ans, pour un montant de 100 €, à l’article n° 56 du règlement du cimetière municipal .
EXTRAIT du PROCÈS VERBAL SÉANCE DU 28 JUIN 2013
DROIT DE REPONSE DE NOTRE ASSOCIATION
Dans un cimetière, il est indispensable d'analyser les causes et les effets d'une telle mesure n'ayant jamais existé auparavant à Gargenville, et d'ailleurs en parfaite contradiction d'un état d'esprit Gargenvillois, même si par cette démarche sous couvert d'une pseudo protection d'un incivisme menaçant, en finalité aux aspects réels d'une chimère, d'autant plus qu'à l'inverse des soi-disant dangers potentiels, la priorité des priorités du cimetière est considérablement ailleurs depuis des mois.
Comment se fait-il que ce conseil municipal dans son entièreté, se soucie d'abord des allées et venues des administrés sur les lieux des sépultures, notamment en condamnant un accès primordial, filtrant les autres en se servant d'exemples sans aucun rapport à notre commune, alors que ce lieu de recueillement se trouve dans un état de délabrement désespéré, d'ailleurs à classer au plus vite en zone sinistrée par des évènements récents qui sont en lien direct avec la construction de la station de traitement des eaux???????
Encore une fois, le ressenti du conseil municipal de Gargenville, ne correspond en rien à la situation objective, de ce fait, les véritables problèmes et les véritables responsabilités sont sans cesse consciemment détournés de toutes vérités absolues.
De la part des uns et des autres, qui par les évènements, leurs comportements, et ce qui en résulte de très négatif au plan communal, précisément en se contentant de vouloir regarder ce qui est volontairement désigné, tout en se sachant détourné des dangers majeurs, prouve une énième fois que nous ne sommes pas gérés par des femmes et des hommes conscients d'un authentique devoir public sur notre ville.
Probablement d'une part, par impossibilité de faire face automatiquement aux lourdeurs singulières d'analyse d'une ville, d'autre part, par incapacité de saisir des aspects du simple au compliqué dans une généralité constante, évidemment à assimiler en considération d'une prudence équilibrée à tous points de vue -- celle-ci éminemment sécuritaire !
Autrement dit, ce conseil municipal de Gargenville depuis une décennie, est incapable objectivement de soulever à n'importe quel moment et dans n'importe quelle condition les vrais problèmes de la commune!
Que ce soit sur Porcher, la préservation des 3 fleurs, la conservation de notre cadre de vie, le cimetière dévasté et en relation directe avec la construction de la station, toutes les responsabilités communales sont sans cesse inversées dans un climat totalement immoral envers nos concitoyens.
Dans l'état présenté, ce sont des injustices qu'il faut combattre par la fermeté d'exiger toutes les vérités, non seulement des dossiers, mais surtout du rôle des responsabilités d'élus s'étant gratifiés d'expérimentés au sensationnel savoir-faire communal !
LA DÉFENSE GARGENVILLOISE
DROIT DE REPONSE DE NOTRE ASSOCIATION
Dans un cimetière, il est indispensable d'analyser les causes et les effets d'une telle mesure n'ayant jamais existé auparavant à Gargenville, et d'ailleurs en parfaite contradiction d'un état d'esprit Gargenvillois, même si par cette démarche sous couvert d'une pseudo protection d'un incivisme menaçant, en finalité aux aspects réels d'une chimère, d'autant plus qu'à l'inverse des soi-disant dangers potentiels, la priorité des priorités du cimetière est considérablement ailleurs depuis des mois.
Comment se fait-il que ce conseil municipal dans son entièreté, se soucie d'abord des allées et venues des administrés sur les lieux des sépultures, notamment en condamnant un accès primordial, filtrant les autres en se servant d'exemples sans aucun rapport à notre commune, alors que ce lieu de recueillement se trouve dans un état de délabrement désespéré, d'ailleurs à classer au plus vite en zone sinistrée par des évènements récents qui sont en lien direct avec la construction de la station de traitement des eaux???????
Encore une fois, le ressenti du conseil municipal de Gargenville, ne correspond en rien à la situation objective, de ce fait, les véritables problèmes et les véritables responsabilités sont sans cesse consciemment détournés de toutes vérités absolues.
De la part des uns et des autres, qui par les évènements, leurs comportements, et ce qui en résulte de très négatif au plan communal, précisément en se contentant de vouloir regarder ce qui est volontairement désigné, tout en se sachant détourné des dangers majeurs, prouve une énième fois que nous ne sommes pas gérés par des femmes et des hommes conscients d'un authentique devoir public sur notre ville.
Probablement d'une part, par impossibilité de faire face automatiquement aux lourdeurs singulières d'analyse d'une ville, d'autre part, par incapacité de saisir des aspects du simple au compliqué dans une généralité constante, évidemment à assimiler en considération d'une prudence équilibrée à tous points de vue -- celle-ci éminemment sécuritaire !
Autrement dit, ce conseil municipal de Gargenville depuis une décennie, est incapable objectivement de soulever à n'importe quel moment et dans n'importe quelle condition les vrais problèmes de la commune!
Que ce soit sur Porcher, la préservation des 3 fleurs, la conservation de notre cadre de vie, le cimetière dévasté et en relation directe avec la construction de la station, toutes les responsabilités communales sont sans cesse inversées dans un climat totalement immoral envers nos concitoyens.
Dans l'état présenté, ce sont des injustices qu'il faut combattre par la fermeté d'exiger toutes les vérités, non seulement des dossiers, mais surtout du rôle des responsabilités d'élus s'étant gratifiés d'expérimentés au sensationnel savoir-faire communal !
LA DÉFENSE GARGENVILLOISE
Madame MALAIS répond : les personnes ont deux ans pour répondre.
RépondreSupprimerC’est la procédure normale.
En cas d’abandon, c’est le relevage et l’incinération, donc au bout de sept ans.
J'aime cet humour si drôle ... Qui est ce malais pur race