mardi 1 avril 2014

LEÇONS ÉLECTORALES...


LEÇONS ÉLECTORALES...

LA TRAGÉDIE COMMUNALE... L’indicateur de la défaite est bien celui de la victoire d’hier... Dimanche 30 mars, avec 1331 voix, Nicole Delpeuch est largement battue par un vote d’exclusion – alors qu’hier – 6 juin 2010 – cette même tête de liste accédait en grande triomphatrice à l’Hôtel de ville sur une « majorité » de 1330 voix. Il faut en tirer des enseignements, non pas simplement parce que les électeurs ne se sont pas démobilisés, mais surtout parce que l’intérêt communal a largement répondu à l’appel de Pierre-Marie Darnaut.

LA DÉFENSE GARGENVILLOISE n’est pas en reste pour autant... d’ailleurs ce n’est pas la renaissance de Gargenville qui nous fait actuellement rêver, c’est le changement de cap qui a été institutionnalisé sur un contexte communal non-représentatif... Maintenant il faut réfléchir collectivement, dimanche soir, ce n’était pas non plus un vote d’adhésion – mais pour qu’il le devienne – il faut que les gains soient à la hauteur des attentes. La campagne est finie et pourtant les plus grandes inquiétudes demeurent – pour d’autres mêmes – en vérité elles commencent ou naissent véritablement... Il y a toujours de la balançoire dans l’air... Les responsabilités sont loin d’être réglées – que déjà – des limites de crédibilité constituent un flou total dans la poursuite de la vie politique communale.

LES PERSPECTIVES... Ces 1330 voix, c’était vraiment cher payé les grandes épreuves que nous avons dû traverser – un calvaire pour Gargenville ! Et les mots sont faibles ! C’est pourquoi les grandes impositions de Nicole Delpeuch doivent être suspendues immédiatement ! Gargenville a besoin d’une vraie politique générale autrement constituée que sur une représentativité à 27% ! La population attend une nouvelle alternative communale qui règlerait les essentielles problématiques de la ville – évidemment cela doit passer par un rassemblement sur les grandes orientations. Sur le fond, il n’est pas question de victoire en trompe-l’œil – par conséquent, il n’est pas non plus question de changer de municipalité d’une équipe de perdants à 1330 voix – pour ensuite la remplacer par une autre à 930 voix... !!!

TERGIVERSATIONS ET SUBTERFUGES NE SONT PLUS LES BIENVENUS... A peine commencé, il ne faudrait pas non plus retomber dans un individualisme projetant un nouveau contexte communal difficile. Maintenant il faut juger les actes des grandes orientations communales – sinon l’échec d’une paralysie de l’opposition ne fera pas plus le succès de cette majorité... mais par contre, la contorsion reflètera un effet déstabilisant et provocateur.

CE CHOIX DÉCONCERTANT... Alors qu’une généralité de villes de France sont élues sur mode de fusion, curieusement à Gargenville, M. Jean Lemaire s’y refuse et l’agite même comme un chiffon rouge déstabilisateur... Du point de vue démocratique, la nouvelle municipalité doit immédiatement rétablir cette minable et ridicule « ouverture » de deux figurants, sinon, c’est un système de gangrène de déstabilisation qui est en place ! Dans l’entêtement de rester figé sur cette non-représentativité, ce comportement renverrait aussitôt l’image d’un opportunisme calculé qui se qualifierait instantanément, comme le plus grand diviseur de la commune depuis 2004.

LE REPRÉSENTATIF ET L’ÉQUITÉ SUR LA SELLETTE...Deux représentants ne suffisent certainement pas à l’idée d’une respectable équité – il faut rapidement en tirer un maximum d’enseignements relatifs à l’adhésion de cette victoire – sinon inexorablement – cela deviendrait vite une amer contre-victoire dévastatrice. Après les deux épisodes Delpeuch, la politique communale n’est plus l’affaire d’une minorité ou d’un clan complètement esseulé.

CES REDOUTABLES PROBLÈMES D’IDENTITÉ... En bloquant Porcher, La Défense Gargenvilloise n’a pas seulement figé les dangers immédiats, elle offre au jour d’après, les plus grandes disponibilités que la commune n’ait jamais disposé depuis 2007. La qualification de recours abusifs est une chose, les permis intouchables en sont une autre, mais nous précisons s’il en est encore besoin, notamment à M. Jean Lemaire, que la procédure vise également la non-conformité de la concertation publique et par conséquent, la non-recevabilité de celle-ci auprès des autorités compétentes. Il va de soi qu’une nouvelle concertation publique est la seule réponse possible posée au droit Français.

Toute information diffusée sur une mauvaise interprétation est toujours perçue comme un outrage ou une offense qui consiste à vouloir dépasser les limites des autres, peut-être par méconnaissance, mais ça n’en reste pas moins une transgression morale !

LE 31/03/2014/LA DÉFENSE GARGENVILLOISE

2 commentaires:

  1. Le Roi consort à sa guise, c’est quand l’écharpe et la gamelle ?

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    1. SILENCE LES CHOUANS !

      Quel amalgame ! Les choses sont claires !

      Une majorité écrasante et une minorité dirigeante !

      Voici une première évidence à Gargenville !

      Dans ce système d'égoïsme, ce partage n'est pas une coïncidence, mais exprime une corrélation sinon un désir profond d'agir seul, la liberté du droit de vote est illisible, partout où règne la moindre petite dictature, l'idée du droit de disposer de ses moyens est anéantie.

      La vraie signification de ces élections, c'est 21 hommes et femmes pour 940 voix et 2 hommes pour 761...

      A ces considérations, il faut ajouter une donnée morale, l'utilisation des autres pour arriver à ses fins, mais extorquer la valeur de la représentativité, est une parodie dégradante dans notre démocratie.

      Un piège insidieux qui dépouille notre valeur démocratique à Gargenville.

      C'est un usage vers un argument d'autorité, bien malvenu chez les hommes et les femmes emprunts de liberté représentative.

      LDG

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