DÉMOCRATIE DIRECTE ET MODE D’EMPLOI...
OPÉRATION SÉDUCTION... C’est presque trop beau... Selon le 1er prospectus 2014, Mme le maire possède autour d’elle un entourage bénéfique... aucun signal d’anomalie, la marge opérationnelle ne serait pas dépréciée... pas de conflit, pas de grogne, pas de fronde dans la majorité... Tout va bien d’après les nouvelles du 1er tract, le groupe est parvenu quasi constant au bout du mandat en « garantissant » une « stabilité » à la mairie. C’est un long chemin que de façonner une image représentative, et dans ses déclarations, on voit que Mme le maire adore sa discipline de chef hiérarchique incontesté...
CAMPAGNE RÉPÉTITIVE ET FORTE SIMILITUDE... Calme... sérénité... expérience... savoir-faire... efficacité... finis les conflits... fini le mal-être... finis les articles dans les journaux... « Nous avons fait aboutir les dossiers essentiels (700 logements Porcher + la ZAC du PLU). L’investissement de « mes » élus a été exemplaire et notre équipe a voté chaque phase d’avancement des dossiers...
Pendant ces instants pénibles d’une lecture en rien
verdoyante, comment ne pas penser à la manif CGT/2009 et la vieille garde UMP/Delpeuch
sous les drapeaux rouges dans la mairie ? Qui menait la fronde ? Comment
aussi ne pas se rappeler de la manif des forains en 2012 et du procès en
sorcellerie intenté par Mme le maire ? Comment aussi ne pas se souvenir
des 300 logements et pas un de plus – puis ouvrir les portes d’une faveur entre
élus et aménageurs à 700 logements sans 2ème pont avant
2035... ? Où est l’investissement exemplaire ?
QUI PREND LES INITIATIVES... ? Tous les observateurs avisés sont conscients de la fonction composite de Mme Delpeuch, d’une main l’édile tient le robinet du pouvoir, tandis que de l’autre le maire règne magistral au conseil municipal ! Le goût du pouvoir est satisfait ! Soyons honnêtes, le choix est incapable de se multiplier en direction des Barons... parce que la parfaite équation à gérer est en sens unique... la nuance peut paraître subtile, mais elle est fondamentale – ce sont les élus Samitier qui ont désignés Mme Delpeuch – et ce sont eux qui n’ont plus de tribune libre. L’infraction est donc constituée ! La probabilité de la déchirure était réelle – le clash n’était pas loin – mais ils ont tenu bon pour une expérience qu’ils ne sont pas prêts d’oublier et Gargenville non plus.
LA COMPARAISON EST AISÉE... Depuis 10 ans Mme le maire a
ignoré tous les avertissements. La seule vérité qui compte n’est évidemment pas
celle qui a été immédiatement perçue, pourtant dans ce retour au pouvoir la
trajectoire politique est restée infaillible. Côté Barons rien n’a indiqué une
instabilité ni une tension – exceptée la découverte de la violence de toutes
ces décisions toujours à la recherche de contourner la vérité de l’opinion, ce
qui au fil du temps a provoqué une profonde transformation des adjoints – mais
pas de droit à l’outrance dans ce duel d’une domination-humiliation... de la
soumission...
Cette apparence trompe-l’œil peut être considérée comme un
système qui a conduit inexorablement à LA POLITIQUE DU PIRE... Finalement les
Barons de l’équipe Delpeuch sont des élus qui ont toujours été politiquement
écrasés – impossible d’exister dans la continuité des années précédentes – c’est
pourquoi cette capitale composante n’a jamais été capable de répondre aux réels
besoins des administrés, tout simplement parce que tous les enjeux politiques répondent
en réalité depuis 2006 à ceux de Mantes-la-Jolie.
Aujourd’hui les anciens « Samitier » jettent
l’éponge... Ils s’en vont, mais non sans avoir complètement ruiné leur capital précédent.
Le vrai coup dur pour Gargenville, c’est qu’en changeant de tête de liste ils se
sont englués dans un système qui les dépasse toujours tout en ayant voté chaque
étape de la déconstruction de notre cadre de vie... Un sacrilège !
Après toutes ces années difficiles, Gargenville a donc fait
le tour de la toile, la reconquête de la mairie se justifie bien par le
doublement Porcher. Au fil du temps et à l’usure des contradictions, les relations
des administrés avec la mairie se sont incontestablement dégradées, au point
que le 23 mars, c’est un vote de défiance qui est maintenant proposé aux
électeurs. Cette fois, c’est un fond de vérités incontestables qu’il faudra affronter
!
DES CANDIDATS REDOUTES... D’après ce que nous connaissons de destructeur de l’équipe du maire, qui peut encore s’aventurer à voter Delpeuch ? Quand on cristallise de cette manière toutes les grandes décisions tant redoutées en 4 années, finalement c’est une majorité de 75% de Gargenvillois qui ont une mauvaise opinion du maire – un niveau de défiance encore jamais atteint sur la commune et la région...
CE QUI GARANTIRA NOTRE INDÉPENDANCE... Quand on parle de référendum décisionnel et du peuple à décider de lui-même, nous entendons aussi restaurer la liberté d’action et supprimer les réticences cultivées par des pénalités de toutes sortes – ça va de soi parce que cela porte atteinte au climat social de la ville et à l’amélioration du bon conformisme interne – la grogne des mécontents qui actuellement constitue un bloc majoritaire, maintien un effet accéléré vers une réorientation – et ces adeptes de la relance libérale souhaitent une alternative à ces coups de force répétés de l’ère Delpeuch.
Raisons pour lesquelles il faut maintenant réformer une fois
pour toutes l’architecture politique de Gargenville. En modifiant la donne, LA DÉFENSE GARGENVILLOISE non seulement protège le patrimoine communal, mais elle
accélère et dévoile des vérités sur les véritables intentions et capacités des
candidats.
Il faut le dire, l’inamovibilité et s’en contenter serait
irresponsable – s’il y a lieu dans cette campagne de faire usage de cette
faculté et démontrer les implications faisant apparaître des solutions
envisageables en matière d’articulation vers un protocole d’accord – la
conclusion serait plutôt positive et cela conduirait à protéger plus
efficacement l’objectif de la préservation de notre cadre de vie.
Politiquement, il faut être pile dans l’objectif pour accéder
à un référendum décisionnel dès juin 2014...
LE/16/02/2014/LA DÉFENSE GARGENVILLOISE/Christian Pirault
Je viens de lire le paragraphe suivant sur le site de Gargenville info. Pouriez vous me dire ce qu'il en ait en réalité. Merci.
RépondreSupprimerAttention …! Depuis que le dossier a été acté par le Préfet, toutes les phases de réalisation de la ZAC ne pourront être remises en question ni même modifiées. Toute personne qui vous dirait le contraire ne serait pas au fait de la réglementation …
Il vous suffit d interroger internet sur le référendum décisionnel. Vous aurez alors votre réponse et la preuve d un nouveau mensonge.
SupprimerRejoignez nous. Adresse mail: ladefensegargenvilloise@gmail.com
Merci
AH
Réponse à votre remarque 10:22...
RépondreSupprimerLa vie est un long combat...
AH de 23:01 nous fournit une 1ère réponse, celle du peuple à décider pour lui-même par référendum décisionnel, le droit des personnes et du citoyen contre un dossier acté en Préfecture... Croyez-vous une seconde que le Préfet qui en référencera automatiquement au Ministère de l'intérieur, puisse contredire un référendum décisionnel sans 2ème pont et avec une circulation déjà problématique pour la région...? Vous voyez d'ici le Conseil d'Etat dire NON et les médias (journalistes et télé) nous relater le chaos Porcher avec un bassin d'emploi en recul et des transports ferroviaires inadaptés, sans parler de la ligne SEVESO du site TOTAL en cas d'accident industriel... Comment feraient les secours aux heures de pointe ?
NON ! Nous sommes dans un pays de droit et le droit n'est certainement pas pour autant dans un dossier acté, même en Préfecture, car il est opposable...
Par ailleurs, même M. Pierre Bédier nouvellement élu serait dans l'obligation d'y mettre un terme par nécessité publique et principe de précaution, du moins il agirait en sorte.
D'un autre côté, une plainte déposée devant le Procureur de la République est en cours d'instruction... Cette plainte est extrêmement importante car elle dénonce une concertation publique sur 6,7 hectares et des dizaines de témoignages précisant 350 logements... Or, les élus et les aménageurs en conclusion de la concertation publique, se sont entre eux octroyés la faveur d'exploiter 5 hectares supplémentaires... de 6,7 hectares à 11,6 hectares... c'est à dire de 350 à 700 logements sans 2ème pont... et ce 2ème pont était la condition siné qua non de la faisabilité du projet Porcher...
Cette plainte réclame également une autre concertation publique sur 11,6 hectares en remplacement de celle actée à 6,7 hectares, qui est par conséquent faussement établie dans le dossier de la Préfecture sur les précises explications avancées par les élus et aménageurs eux-mêmes...
Ce qui veut dire que les permis de construire des 255 logements ont été accordés sur faux et usage de faux. Les écrits publiques démontrent clairement la manipulation d'un trafic d'influence par personnes ayant autorité, ces faits sont d'ailleurs extrêmement graves pour toute collectivité territoriale. C'est entre autre un abus de pouvoir causant préjudice à la liberté fondamentale de notre démocratie.
D'autres moyens de droit sont actuellement en analyse par nos avocats... sans doute une 2ème plainte concernant la faisabilité Porcher sans 2ème pont, ce qui porte un préjudice sur la qualité de vie, l'économie régionale, l'environnement, par possibilités inadaptées au contexte communal et régional.
J'espère avoir répondu à vos attentes.
Le/20/02/2014/LA DEFENSE GARGENVILLOISE/Christian Pirault