jeudi 10 janvier 2013

L’expérience d’un Pro justifiant l’abattage


L’expérience d’un Pro justifiant l’abattage

Madame le maire, dans le dernier bulletin municipal de cet hiver honore une entreprise locale et tant mieux, après tout c’est normal, il paie ses taxes à Gargenville, (chacun son tour de paraître en espérant mon tour demain).
Une page d’exploits insolites et respectables, des métiers entre terre et sommet !
Oui, et quelle publicité payante respectant l’homme de l’art!


 Allée Thiers: Trois arbres trop vieux et trop beaux dans un milieu urbain dégradé.

Comme vous le constatez sur cette photo cet arbre était malade à coeur  suivant la page 25 du bulletin municipal d'hiver 2012







Au fait ! Combien pour cette pub gratuite!

Le prix un détail de cette sordide histoire…
Aïe aïe aïe, c’a coince les photos de la page, le texte et la taille basse déraisonnée des clichés…
Cet encart publicitaire revient allez disons...pouf...à la louche à +-2000 euros la page…justifiant définitivement la coupe au ras des pâquerettes de ses arbres pour certains centenaires, couchés dès l'age respectable suivant le texte du bulletin, ( qu'ils ont une durée plus courte en milieu urbain)…Vous dites 100 ans voir plus ???
Dans l’insertion publicitaire un petit rappel de Mantes, pourquoi pas après tout la proximité d'une piqûre de rappel communautaire, elle fait " la Jolie" avant 2014, en douceur s’il vous plait…

Et puis cela vaut mieux (que la petite feuille verte) qui tombe sans rien dire, qui ne dit rien à mon oreille, qui ne prévient pas que l’arbre est malade? la coquine, elle le cache bien son jeu de malade imaginaire comme l’indique l’exposé…



Enfin d’autres détails croustillants à Gargenville, sans importance, d’une maladie qui court de branche en branche avec le risque de chute brutale…

Le départ du DST « Directeur des Services Travaux » de la ville, qui n’est resté que quelques mois en fin 2012 après un rapport alarmant remis au personnel et ne pouvant...

Suivant ses dires « ne pas être écouté des adjoints en place ».


A savoir pour mémoire que l’ancien DST Monsieur Aska a démissionné, peut-être une simple coïncidence avec  le licenciement de son épouse à la bibliothèque qui elle a reçu sa petite feuille verte?

Ces marchés de travaux sont attribués sans adjudication préalable, ils peuvent se cumuler dans l’année en fonction de leur montant, jusqu'à la somme X… drôle de pratique...drôle d’époque…drôles de justificatifs rassurants le budget…

La valse du personnel continue donc de gré ou de force, certains préfèrent partir dans des lieux moins tempétueux à la CAMY, par exemple, on les comprend aisément le climat y est  plus clément, l’ambiance chaude et mieux récompensée. Enfin peut-être?
moment de détente...
recherchez dans cet arbre plus que centenaire 10 visages

Certaines nouvelles activités potentielles sont citées dans le bulletin municipal, annonçant de nouveaux médecins avec un local à loyer modéré, et pallier au manque de médecin sur Gargenville?

Étonnant non!!!

Stratagème de la part du maire avant 2014???

Combien va coûter aux contribuables toute cette agitation avant les municipales?
De l’argent « je vous dis, oui, de l’argent et ce n’est pas quelques oiseaux sans nid cet hiver qui vont se plaindre, même si leur petits ont été foudroyé avec le patrimoine arboricole abattu cet été ».

D’autres nouveaux commerces ou entreprises installés en 2012 « oubliés » dans le bulletin… Ayant pourtant effectués leur demande en 2012 après contact avec le 1er adjoint un comble pour un homme à hautes responsabilités???

les premiers arbres d'une longue série vont tomber rue THIERS 'Allée d'Hanneucourt), dans la gloire de l’age, avec une parole d'expert, des conseils avisés pour la nature, des connaissances pointues du monde arboricole...


Vous vous attendiez à quoi de cette mairie? 
Personnellement rien de bon et vous!

C’est tout pour aujourd’hui, pour ma part.
.
LA DÉFENSE GARGENVILLOISE 

5 commentaires:

  1. Dans l'ombre de nos souvenirs d'école scintille encore le proche d'un radiateur près de la fenêtre...

    Lors de nos rêveries le regard dans la cour de récréation, se posait notre vue sur ces arbres majestueux dignes du "Roi des Aulnes".

    Aujourd'hui l'on abat et scie avec l'élégance du propos de la maladie sans prévenir et pire sans certitude, l'on abat dans l'école de Musique pour se donner belle et bonne raison!

    L'on abat rue Kennedy mais là, il semble que c'est de l'Histoire d'un égarement de compréhension grave de conséquence mais simplement une vieille "Histoire" à la Steinbeck ou Kerouak si ce n'est Muller, bref
    a l'Est d'Eden, je ne retiens que le "Combat douteux" de notre Mairie.

    Belle fin de soirée.

    Un Citoyen

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  2. Bonjour,

    Bravo a l’éditeur de la page, malheureusement es ce que les principaux visés seront ils assez intelligents pour comprendre (je n'en doute fort)

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  3. Bon allez,

    Avenue Lucie Desnos les arbres sont malades et ils vont être abattus prochainement, sans aucun soin depuis 2004, ce qui justifie l'abattage organisé depuis cette date; "les pros" vous l'ont écrit dans le magazine d'hiver?

    Les jardinières vont disparaître aussi, du béton et macadam partout.

    Allez çà continue de plus belle le massacre de la ville.

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  4. LIGUE DE DÉFENSE DES CONDUCTEURS
    Cher ami,
    Hier, 16 janvier 2013, j'ai été auditionnée par la Commission "Vitesse, alcool et stupéfiants" du Conseil national de Sécurité routière. Ce conseil a pour mission, vous vous en souvenez certainement, d'aider la réflexion du ministre de l'Intérieur : faut-il ou non maintenir l'obligation de détenir un éthylotest dans son véhicule ?
    Je tiens tout d'abord à remercier l'ensemble des membres de l'association et tous ceux qui nous ont aidés depuis le début de cette affaire à révéler comment cette mesure a été décidée, à en informer des millions de Français, à en mobiliser des centaines de milliers et à obtenir d'être auditionné pour faire évoluer la loi.
    Éthylotests obligatoires : 467 563 conducteurs disent non !
    Hier, donc, j'ai tout d'abord remis aux membres de cette commission les 16 registres de 400 pages des… 467 563 signataires de notre pétition "non aux éthylotests obligatoires".
    Et voici les éléments que j'ai rappelés :
    1. Cette mesure est l'archétype des dérives actuelles
    de la politique de sécurité routière
    Des fabricants font du business sur le dos des conducteurs (76 millions par an !), en faisant pression pour rendre obligatoire leur produit, soi disant au nom de la sécurité.
    Et les dirigeants politiques se précipitent sur la mesure, car ils y voient un double avantage : bénéficier de l'aura du politique protecteur de ses concitoyens, "Sauveur de vies sur les routes", tout en faisant rentrer des recettes fiscales (le non respect de l'obligation de posséder un éthylotest dans sa voiture sera sanctionné par un PV de 11€).
    2. Cette mesure est inutile
    Pourquoi obliger les millions de personnes qui ne boivent pas ou qui ne prennent jamais le volant en ayant bu plus de deux verres, à acheter un éthylotest ?
    3. Cette mesure est inefficace du point de vue de la sécurité
    L'éthylotest est le moyen de vérifier si on est ou non sous la limite autorisée et donc de vérifier si on risque éventuellement de perdre ses points si on prend le volant en étant juste au-dessus. Rien à voir avec le fait d'être ou non en état de conduire. Rien à voir avec la sécurité.
    A contrario, les statistiques montrent que seuls 3% des Français conduisent en étant au dessus du taux d'alcool autorisé et surtout que 80 % des accidents mortels impliquant l'alcool ont lieu avec des taux d'alcoolémie supérieurs à 1,2 gramme – et sans doute très supérieurs. Quand on a bu 10 verres, inutile d'avoir un éthylotest pour savoir qu'on a trop bu pour conduire !
    Enfin, j'ai rappelé à la Commission que nos voisins britanniques ont réussi à diviser par quatre le nombre de morts liés à l'alcool au volant, fléau indéniable. Ont-ils rendu les éthylotests obligatoires ? Non, ils ont simplement responsabilisé les gens par des campagnes de prévention et par des initiatives intelligentes permettant aux gens d'éviter de prendre leur véhicule quand ils ont trop bu. Pourquoi ne pas s'en inspirer ?
    Hier, les membres de la Commission ont écouté ces arguments. Il leur appartient désormais de faire remonter ces informations pour guider les recommandations du Conseil, puis du Comité Interministériel de Sécurité routière et, enfin, du ministre de l'Intérieur.
    A chacune de ces étapes, nous continuerons à nous faire entendre, à vous faire entendre !
    Très cordialement,

    Christiane Bayard
    Secrétaire générale

    LIGUE DE DÉFENSE DES CONDUCTEURS
    23, avenue Jean Moulin 75014 PARIS

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