2 ANS DEJA

2 ANS DEJA,

Voici le printemps à nos portes…

Samedi 20 mars 2010, nous aurons quitté définitivement l’hiver, particulièrement rude cette année avec 4 périodes successives de gel, de glace et de neige, aux froideurs tellement persistantes et redoutées…

Quelques belles journées ensoleillées ont fait leur apparition, annonçant l’éveil de la nature, épanouissant et garnissant d’éclats multiples et multicolores en satisfactions visuelles, aux senteurs délicates et variées de sortes les plus diverses.

L’équinoxe de printemps conditionne le renouveau, le radoucissement, la floraison, le bourgeonnement, le retour des migrateurs et des premiers chants mélodieux.

Jadis, c’était une fêté célébrée pour symboliser la renaissance de la vie et la protection des récoltes.

De nos jours, c’est pour le peuple de Chine, la plus importante fête annuelle et pour toutes les populations du globe, c’est toujours l’arrivée d’un nouvel espoir de jours meilleurs…

Mais désormais à Gargenville, le printemps a un parfum particulièrement amer, car c’est le 21 mars 2008, le lendemain de la fête printanière, un vendredi Saint, jour des prénommées « Clémence », que notre souvenir retient un peu plus notre attention...

Deux ans déjà, que nous avions participé à la naissance d’un renouveau, présenté côté chic, sur la confiante continuité, elle même capitonnée d’espérance et habillée du doux revêtement providentiel conditionné par les élections du printemps 2008…

Côté choc, version incompréhension, il fallait surtout distinguer l’absolue nécessité d’éviter une politique contraire aux engagements, que beaucoup n’ont rien compris et par qui nous sommes contraints encore aujourd’hui et plus que jamais, d’en combattre toujours le concept si défaillant.

Tout cela était arrivé avec le printemps, une joie qui aurait du être double et rassurante, annonciatrice de bonnes décisions, suivant la logique des élections et déterminant objectivement la ligne de conduite à tenir, sur un mode de pensée ayant largement fait ses preuves...

Un doux rêve caressé seulement un moment, mais à jamais anéanti par de très mauvais rebondissements, anéantissant en brisant net, l’élan de la beauté d’une foi profonde et sincèrement Gargenvilloise.

Des conditions épouvantables… il faut le dire, car c’est devenu un drame et un drame collectif, auquel il convient d’y ajouter en supplément l’angoisse soucieuse des pensées d’administrés, ayant appuyé une conviction morale communale, d’après des éléments bien fixés d’une campagne claire et précise pour tout le monde!

Dorénavant pour Gargenville, le printemps n’est plus pareil, la tranquillité n’y est pas et malgré l’arrivée des beaux jours, cette angoisse demeure et progresse, car l’assurance de jours meilleurs à définitivement disparue…

Un combat d’idées qui continue encore et toujours, plus difficile et délicat que jamais, parce ce que les convictions ont été visées au cœur, pour mieux les rendre inoffensives et à cela il faut encore y apporter une citation en correctionnel, pour atteindre la confusion, d’après des arguments autant irrévérencieux que désinvoltes…

A ce niveau d’action communal, où se trouve réellement le combat d’idées avancé au printemps 2008, où se trouve le choix libertaire des valeurs démocratiques et républicaines et où se trouve encore l’acquis de la moralité exemplaire à servir.

Les abstentionnistes sont actuellement le plus important parti politique de France. Ce dont pratiquement personne en établi la référence primordiale, car c’est la première fois que sous la Vème République, il y a autant de désintéressés...

Sans doute un écœurement ou un dégout entre campagnes et réalités… La bonne fée » Espérance » s’en est allée encore une fois avec le printemps et pour retrouver la confiance des urnes, il faudra reconvaincre dans la surmotivation avec des nouvelles définitions salutaires…et a bien respecter…

On le voit… la politique ne doit pas jouer avec des sentiments contournés et détournés. C’est non seulement malsain, mais c’est également très périlleux dans tout le sens de la définition…

2 ans déjà… le temps qui était « imparti »au tète de liste » GIER » dans une fusion d’honneur avec « Gargenville l’Avenir » pour devenir et rester Maire 24 mois… c’était ce qui avait été annoncé, mais plutôt dans une contrainte personnelle gagnante…

Puis après cet accord printanier conclu sans fleurs ni couronne à juste cause, redéfini dans l’urgence, afin de garantir une indispensable sécurité de l’urbanisme et de la ville… Avant tout il a fallu protéger… Un temps seulement… rien qu’un temps… parce que reconquis rapidement au détriment des promesses, des définitions et revendications, avec en désillusion finale, l’addition incompréhensible d’une politique à contre courant… entrainant la majorité dans une position intenable aujourd’hui…

2 ans déjà et avec ces deux années, s’en est allée la prétention d’une bonne expérience, s’en est allée aussi la durée expérimentale revendiquée, s’en est allée également la « convoitise » de la reconduite d’un nouveau « contrat ».

C’est terminé et c’est bien fini, plus rien ne sera perçu comme avant, l’expérience tellement annoncée a fait ses preuves, montré ses capacités, démontré ses limites et présenté à tout Gargenville la valeur réelle des aboutissants …

C’est bien achevé et parachevé… les compétences ont parlé et il fallait en passer par là pour que Gargenville comprenne… les printemps reviennent mais ne se ressemblent pas et chacun à sa place définitivement…

Maintenant il faut parler vrai, élèves de Monsieur André SAMITIER, celui-ci nous a toujours enseigné, de dire ce que l’on pense et de faire ce que l’on dit à bon escient. C’est une des règles principales de la vie, dit-on souvent et à respecter obligatoirement au quotidien…

A tous les élus, qui se disent aujourd’hui bientôt « victimes » de la force incompressible et irréductible de l’état, nous redisons :

C’est trop facile pour vous de vous réfugier derrière la convention signée entre l’ancienne municipalité et l’état, pour vous dire que finalement vous n’y êtes pour rien et qu’après tout, continuer le programme avec l’excuse toute désignée et cultivée, peut vous assurer d’une certaine façon, une échappatoire peu glorieuse de vos responsabilités finales…

Dans tous les cas, c’est une injustice électorale, qui ne justifie aucuns des moyens employés jusqu’ici, et qui sont avant tout, surtout pour des élus, d’assurer le respect des revendications pour le bien être des concitoyens, la qualité de vie et l’ordre moral, à mettre en évidence partout et par dessus tout…

Voici le joli printemps revenu avec son amoncellement de douces bienfaisances revigorantes, formulant le renouveau et aussi l’espoir de jours meilleurs dans la sérénité et la tranquillité.

Bien cordialement, avec nos hommages.

LA DEFENSE GARGENVILLOISE