Bon...arrêtons de diffuser ces fausses informations du matin sombre de la délation...
Chacun à le droit d'ouvrir un compte dans un paradis fiscal dans ce monde...lorsque vous gagner quelques sous et que vous avez payer vos impôts honnêtement et taxes dans le pays de votre attache...vous avez le droit parfaitement d'acheter des fruits exotiques... même vous...personne ne peux vous le reprocher...
9 avril 2016
Logo sur l'immeuble du cabinet panaméen Mossack Fonseca le 3 avril 2016 à Panama.
Les
noms d'une quinzaine des 500 plus grandes fortunes françaises
apparaissent dans les fichiers du cabinet panaméen Mossack Fonseca, au
coeur des révélations des "Panama papers", et sont liés à des sociétés
offshore, rapporte samedi Le Monde.Parmi eux, cinq n'ont apporté aucune explication au journal français sur les motivations de leurs montages financiers.La
famille Hennessy est ainsi, selon Le Monde, "associée à deux sociétés
offshore créées en février 2000 par la banque privée Edmond de Rotschild
Europe", l'une détenant les actifs d?un fonds d'investissement dans les
nouvelles technologies, l'autre permettant l?administration du fonds."Des millions de dollars ont transité par ce fonds de gestion un peu particulier", qui a été dissous en 2014, selon Le Monde.Le
cofondateur du groupe Accor et ancien sénateur UMP, Paul Dubrule, est
pour sa part résident fiscal suisse depuis 2006. "Il a utilisé en 2007
pendant quelques mois la société panaméenne Rymercu Securities Inc. pour
investir dans Tok and Stok, la chaîne brésilienne de magasins de
meubles créée par son frère Régis", rapporte le quotidien, sans dire si
ces mouvements pourraient être répréhensibles.Les
frères franco-libanais Salim et Jean-Gabriel Eddé, qui ont fait fortune
grâce à l'éditeur de logiciels spécialisé dans la finance Murex, ont
aussi eu recours au cabinet panaméen."En
novembre 2009, Salim Eddé a créé aux îles Vierges britanniques la
société Seaview Development Equities Limited, dans le but d'acquérir à
Murex 467 parts de sa filiale luxembourgeoise, Murex International
Luxembourg SA, pour un peu moins d?un million d'euros", remarque Le
Monde, sans détailler davantage.Le
créateur d'Ecco, l'ancêtre de l'agence d'intérim Adecco, Philippe
Foriel-Destezet, a pour sa part été à partir de 1994 actionnaire de
plusieurs sociétés aux îles Vierges britanniques et au Panama."Toutes
ces sociétés renvoient à des activités réelles en Amérique centrale:
des activités dans la forêt au Costa Rica, au Panama ou encore à
Sainte-Lucie, sous le nom commercial Rain forest adventures, ou encore
la construction (avortée) d'un parc d'attraction aux îles Vierges
britanniques", écrit le quotidien, sans expliquer ce qui pourrait être
reproché à l'entrepreneur.Le
patron du groupe Alma (eau Cristalline) Pierre Papillaud, a de son côté
reçu en mai 2002, une procuration sur la société Krewitt, enregistrée
quelques mois plus tôt aux îles Vierges britanniques. "On ignore tout
des activités menées par la société Krewitt jusqu?à sa liquidation, en
octobre 2011", remarque Le Monde, sans en dire davantage.Le
quotidien avait plus tôt dans la semaine détaillé les circuits
empruntés par d'autres familles françaises fortunées ayant recours à des
sociétés basées dans des paradis fiscaux pour optimiser leurs revenus
fiscaux, afin de préparer un héritage futur ou de dissimuler des avoirs.
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