un tract 3 fois trop long parait sur Gargenville...un tract qui arrive trop tard comme d'habitude...trop d'hésitation..pas d'impact...du copié collé...sans grand intérêt...
Je reviens au travail, à la prison, à ma vision de cet endroit...
Je
laisse le travail des prisonniers il faut bien se payer les clopes...je préfère une formation interne un métier à leur apporter
pendant leur incarcération... j'ai pratiqué cette méthode au sien d'une
école de formation de bâtiment pendant quelques années et ce à Bois
d'Arcy...quel enrichissement réciproque...quelle transmission de
savoir...de l'or pour l'esprit...je regrette le fait d'avoir arrêté pour
un passage à la mairie en tant que 1er adjoint, avec un maire de
pacotille un de ses "ni oui ni non" qui se permet de donner leçon à
d'autres en ce moment...sur un tract...trop long...j'étais cent fois
mieux avec ces gens là Monsieur en cellule...des valeurs d'hommes...des
vrais...pas tous des récidivistes comme certains...
Enfin comme certains aiment la vérité, je peux vous dire que 100% des prisonniers sont de races diverses.
Des tâches peu qualifiées
Principal employeur, la prison elle-même, pour ses activités quotidiennes, comme l’entretien, la peinture ou encore la plomberie. Environ la moitié des détenus qui travaillent sont ainsi employés par le "service général".
D’autres détenus peuvent également travailler pour des entreprises privées, la majorité dans le secteur industriel. Le plus souvent, il leur est confié des postes de manutention, comme le pli de prospectus ou le classement d’archives.
Une minorité, plus chanceuse, se voit proposé des tâches plus gratifiantes. Par exemple, les détenus de Muret, près de Toulouse, peuvent participer à la construction de moteurs d’avions.
337 euros par mois à temps plein
En moyenne un détenu travaillant à temps complet touche 337 euros par mois. Bien sûr, cela varie selon l’emploi occupé. Un salarié de la prison touchera 254 euros en moyenne, contre 408 euros lorsque l’employeur est une entreprise privée.
Une loi pénitentiaire de 2009 fixe une rémunération de 20 à 45% du smic horaire brut pour un salarié détenu. Problème, la loi n’est pas respectée, car les salariés sont souvent rémunérés à la tâche et non pas au temps passé.
Une pétition lancée
Pour dénoncer cette situation, l'avocat d'un détenu, soutenu par 375 universitaires et une vingtaine d'associations, réclamait une nouvelle loi, ce qui a été retoqué par le Conseil constitutionnel, qui "a jugé les dispositions contestées conformes à la Constitution", a annoncé l'institution dans un communiqué.
Elle a cependant relevé qu'"il est loisible au législateur de modifier les dispositions relatives au travail des personnes incarcérées afin de renforcer la protection de leurs droits".
Prenant "acte qu'il appartient au législateur" de "renforcer la protection" des droits des détenus travaillant en prison, la garde des Sceaux Christiane Taubira a assuré dans un communiqué rester "attentive à ce que le travail en prison s'effectue dans le respect de la dignité" des détenus.
La contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, Adeline Hazan, a regretté cette décision qui, dit-elle, "conforte la situation actuelle, pourtant grandement insatisfaisante".
Enfin comme certains aiment la vérité, je peux vous dire que 100% des prisonniers sont de races diverses.
Travail en prison : les chiffres clés
Plus de 16.000 personnes incarcérées travaillent en prison pour des salaires dérisoires. Vendredi, le Conseil constitutionnel a jugé que la loi encadrant le travail en prison était conforme à la Constitution. Malgré une pétition d’universitaires et de professeurs de droit.
Par M6 Info | M6info – ven. 25 sept. 2015
Coiffure,
plomberie, restauration d’archives, ces emplois occupent plus de 16.000
personnes incarcérées en France, sur 67.000. Des métiers ordinaires,
pour des salaires qui ne le sont pas.
Le quotidien Libération prend l’exemple d’une feuille de paie
affichant 56 heures effectives de travail, pour un salaire net de 78
euros. Les métiers proposés dépendent des prisons, et de l’enveloppe
dont disposent les chefs d’établissement. Des tâches peu qualifiées
Principal employeur, la prison elle-même, pour ses activités quotidiennes, comme l’entretien, la peinture ou encore la plomberie. Environ la moitié des détenus qui travaillent sont ainsi employés par le "service général".
D’autres détenus peuvent également travailler pour des entreprises privées, la majorité dans le secteur industriel. Le plus souvent, il leur est confié des postes de manutention, comme le pli de prospectus ou le classement d’archives.
Une minorité, plus chanceuse, se voit proposé des tâches plus gratifiantes. Par exemple, les détenus de Muret, près de Toulouse, peuvent participer à la construction de moteurs d’avions.
337 euros par mois à temps plein
En moyenne un détenu travaillant à temps complet touche 337 euros par mois. Bien sûr, cela varie selon l’emploi occupé. Un salarié de la prison touchera 254 euros en moyenne, contre 408 euros lorsque l’employeur est une entreprise privée.
Une loi pénitentiaire de 2009 fixe une rémunération de 20 à 45% du smic horaire brut pour un salarié détenu. Problème, la loi n’est pas respectée, car les salariés sont souvent rémunérés à la tâche et non pas au temps passé.
Une pétition lancée
Pour dénoncer cette situation, l'avocat d'un détenu, soutenu par 375 universitaires et une vingtaine d'associations, réclamait une nouvelle loi, ce qui a été retoqué par le Conseil constitutionnel, qui "a jugé les dispositions contestées conformes à la Constitution", a annoncé l'institution dans un communiqué.
Elle a cependant relevé qu'"il est loisible au législateur de modifier les dispositions relatives au travail des personnes incarcérées afin de renforcer la protection de leurs droits".
Prenant "acte qu'il appartient au législateur" de "renforcer la protection" des droits des détenus travaillant en prison, la garde des Sceaux Christiane Taubira a assuré dans un communiqué rester "attentive à ce que le travail en prison s'effectue dans le respect de la dignité" des détenus.
La contrôleuse générale des lieux de privation de liberté, Adeline Hazan, a regretté cette décision qui, dit-elle, "conforte la situation actuelle, pourtant grandement insatisfaisante".
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