L’extension de cette l'école rue Pasteur prend forme, il est dommage que l'ancienne municipalité ai refusé un étage supplémentaire, prétextant un PLU (prétextes politiques)???
Ainsi va les décisions malheureuses des anciens décideurs de la commune qui empêchent "pour le moment" cette entreprise de prospérer tranquillement sur la commune qui emploie déjà 8 salariés.
La directrice Madame Céline CHEREL a contacté la nouvelle municipalité, celle-ci semble favorable à une extension, si ce n'est pas le cas la responsable de l'établissement pense déjà à s'installer ailleurs.
8 emplois de plus sur la commune dès février 2015 |
Une commune voisine lui a déjà présenté un terrain pour une autre opération d'un genre différent qui créera au minimum 45 emplois sur la commune.
Voilà une Directrice jeune, positive, dynamique et entreprenante.
Voilà une Directrice jeune, positive, dynamique et entreprenante.
le rédacteur de l'article en profitera pour revoir ses conjugaisons : La petite école bilingue " s'agrandit "
RépondreSupprimerAu rédacteur, ma remarque n'ayant plus lieu d'être, vous pouvez la supprimer.
RépondreSupprimerCordialement.
Qui est la faute???
SupprimerQui se cache???
Derrière le romancier!
Le roman commence quand Barthélemy Piéchut, le maire de la commune de Clochemerle-en-Beaujolais, dévoile à Ernest Tafardel, l'instituteur, son projet : « Je veux faire construire un urinoir, Tafardel. […] Enfin, dit-il, une pissotière ! »
Cette vespasienne, destinée, bien plus peut-être, à confondre madame la baronne Alphonsine de Courtebiche, le curé Ponosse, le notaire Girodot et les suppôts de la réaction, qu'à procurer un grand soulagement à la gent virile de Clochemerle, est édifiée tout près de l'église où Justine Putet, vieille demoiselle, exerce une surveillance étroite.
L'histoire qui démarre alors, riche en rebondissements, sera l'occasion de caricaturer avec verve et justesse la société française de l'époque : riches, pauvres, clergé de campagne et prélats, politiques locaux et ministres, fonctionnaires, militaires, paysans et nobles, hommes comme femmes en prennent pour leur grade. Sous des apparences de gauloiserie, l'auteur laisse voir sa vision de la société et transparaître son caractère de libre penseur. Il dénonce l'hypocrisie, l'arrivisme et la corruption que les vignerons de Clochemerle, des gens simples, subissent et finissent par surmonter grâce à leur bon sens (et au vin de Beaujolais !).
Ernest Tafardel, rue des peupliers à Gargenville