APRÈS LES 8 ANNÉES D’INTOX DE NICOLE DELPEUCH, JEAN LEMAIRE
REMPORTE LA PALME DU 1er BLASON D’OR DES BOBARDS !
« Une satirique vouée à récompenser les meilleures
contrevérités politiques qui servent une méthode que nous refusons et que nous
combattons depuis 6 années. » La politique, cela ne doit pas devenir une boite
à outils à mensonges – les abstentionnistes en ont une indigestion ! Étant
donné les efforts déployés pour parvenir à des vérités sur Gargenville – puis
le vote-sacrifice consenti pour se « libérer » de Delpeuch-maire, on ne peut
plus accepter n’importe quoi ! 761 voix, c’est aussi un investissement pour
accéder enfin à une sincérité !
EN 45 JOURS, LE NOUVEAU LOCATAIRE DE LA MAIRIE A EXÉCUTÉ UN TOUR COMPLET SUR LUI-MÊME... AU DIABLE LA MORALE, FINI LES CAUSES COMMUNALES, LE TEMPS EST VENU DE CHANGER DE CAMP ET DE CAP...
"L'amitié" à sa place dans la CAMY |
Après avoir continuellement rejeté l’option de la CAMY, «
institution » imposée par l’équipe Delpeuch, notamment en ayant été le
principal lanceur d’alerte – puis en planifiant la pétition de « Gargenville
Autrement », ensuite en impliquant le collectif de l’opposition contre
l’intercommunalité de Mantes-la-Jolie, sans vergogne, M. Jean Lemaire entérine
la CAMY en devenant l’un de ses disciples, le 4ème de la liste des 15
vice-présidents, qui plus est en charge de développer l’économie et l’emploi !
C’est bizarre, on encore la sensation d’être trop gentils
A PEINE ÉLU, LES ÉLECTEURS RETOMBENT DANS UN PIÈGE, CETTE
FOIS C’EST L’EX-OPPOSITION QUI VIENT DE RENIER SES PROPRES IDÉAUX !
Devant ce spectaculaire revirement, on croit rêver, fini les
beaux lendemains chantés auprès des Coteaux du Vexin – bienvenue aux soi-disant
« avantages » de la CAMY ! 45 jours après l’appel à voter Jean Lemaire, nous
voici déjà au cœur d’un énorme scandale !
Pour un politique qui s’est taillé une réputation anti-
CAMY, ce n’est pas un comportement responsable vis-à-vis des électeurs ! Il
fallait respecter les valeurs qui étaient celles du « collectif de l’opposition
», ou alors, il fallait l’annoncer durant la campagne électorale !
Évidemment le résultat eut été autrement, car non seulement
nos factures triplent, mais nos moyens s’amenuisent au profit d’ententes du
Mantois. A qui se fier dans cette commune ? Voilà qui n’encouragera pas de
sitôt les abstentionnistes à retourner aux urnes !
Publiquement repenti d’une détestable campagne contre son
mentor André Samitier en 2001, « l’homme confessé » parvenu au pouvoir nous
explique maintenant qu’il vaut mieux intégrer plutôt que de tenter l’aventure
des Coteaux du Vexin ! Contre toute attente, à peine en place, M. Jean Lemaire
embrasse les contraintes de la politique de N. Delpeuch, une adhésion que le «
moraliste chronique » s’est bien gardé de nous divulguer pendant sa campagne !
En comparaison, même « dans ses grandes heures », N.
Delpeuch n’a jamais franchi la ligne rouge pour aller représenter à ce point
les intérêts politiques de la CAMY ! Serait-ce une question d’appointements qui
serait le nerf de ce fantastique ralliement ? Mairie + CAMY ?
Ce retour en arrière nous amène obligatoirement aux dangers
Porcher... Si M. Jean Lemaire est moralement capable de se fondre dans une
vice-présidence à la CAMY, tout en ayant fait campagne contre elle, dans ce
cas, que nous réservent Porcher – l’EPAMSA – et le Préfet ?
DANS LE CHAPITRE DES GRANDS ÉCARTS, M. Jean Lemaire vient de
se surpasser ! Sans jamais ébruiter son changement d’orientation, c’est une
partie des 1701 électeurs qui sont dupés – puisque la commune en est toujours restée
au stade d’un refus de la CAMY. Pour parvenir à réaliser une telle prouesse sur
d’aussi belles contradictions en si peu de temps, soit il faut préméditer
l’acrobatie des mois à l’avance, soit il faut posséder un mental spécial !
Prendre une telle décision, non seulement c’est donner
raison à N. Delpeuch et son système d’imposition, mais c’est surtout briser un
engagement en adressant un message « girouette ».
PEUT-ON DIVORCER DE LA CAMY ? Au moment où des communes
s’apprêtent à sortir d’intercommunalités pour en rejoindre de plus conformes à
leurs intérêts propres, après avoir « manifesté » deux années le désir
d’adhérer aux Coteaux du Vexin, notamment au sein du « collectif des
associations de défense », une fois parvenu au sommet de la pyramide, M. Jean
Lemaire se convertit en deux tours et trois mouvements à une politique qui ne
lui a jamais sied et qu’il a constamment répudié entre 2011 et 2014 ! Il faut dire
que les voltes-faces de Jean Lemaire sont légendaires, mais celui-ci bat tous
les records précédents !
DANS CES CONDITIONS, QUE VALENT LES DÉCLARATIONS DE JEAN
LEMAIRE ? Compte tenu de ces révélations... malheureusement RIEN ! Après les
impératifs de Nicole Delpeuch, nous étions en droit d’attendre autre chose de «
l’enfant du pays qui se dit enraciné sur des générations à Rangiport » (sa
carte de visite personnalisée), seulement les décalages exploités entre les
vérités et les mensonges sont devenus tellement importants, qu’il ne nous est
plus possible de légitimer une quelconque confiance.
Prenons d’autres exemples : « Ceux qui vous disent qu’on
peut revenir sur les logements ou arrêter les constructions, ne vous disent pas
la vérité ». C’EST FAUX ! Archi-faux !
C’EST SIMPLEMENT UNE QUESTION DE VOLONTÉ POLITIQUE ET DU
PEUPLE !
Au contraire, si comme il le dit, M. Jean Lemaire refuse la
politique de N. Delpeuch, qu’il le prouve ! En faisant tout ce tapage contre
les recours de La Défense Gargenvilloise, où veut en venir Jean Lemaire ? Pour
les logements ou contre les logements ? Pour stopper le système Delpeuch ou
pour débloquer les permis ? Suivant l’attitude de l’ancien tête de liste de
l’opposition, il y a forcément une explication à cette exploitation outrancière
!
Si l’on en croit le remue-ménage de « Gargenville en Action
», fallait-il simplement assister les bras ballants à l’aboutissement du projet
Porcher/Delpeuch en condamnant toute initiative d’éventuelle protection ? Dans
ce cas, où sont l’opposition et la crédibilité de Jean Lemaire ?
Remettons la phrase à l’endroit : Ceux qui nous disent qu’on
ne peut pas revenir sur les permis de construire et arrêter Porcher, sont des
illusionnistes qui nous cachent des vérités !!!
Abordons un autre flou artistique... L’État ne s’impose
jamais dans aucune commune, pour cela, il faut l’accord des élus ! A
Gargenville, ce sont Nicole Delpeuch et Jean Lemaire qui ont unanimement voté
l’entrée de l’OIN à Gargenville... Et lorsque l’on autorise l’État sur un
territoire, c’est pour du lourd, certainement pas pour le prétexte d’un
urbanisme soi-disant en quête d’une sécurité communale... Aujourd’hui M. Jean
Lemaire prétend les recours de La Défense Gargenvilloise « abusifs »,
nonobstant l’incroyable verdict d’un juge et procureur de Rangiport, pourquoi
se révéler avec autant de ferveur le meilleur avocat des aménageurs ?
Pour le fauteuil ? En solidarité avec l’accord cédé à
l’OIN...? D’autre part, les informations publiées par Jean Lemaire (Gargenville
en Action), présentent les recours comme si l’association La Défense
Gargenvilloise aurait commis un énorme délit à Gargenville...! En quoi et au
nom de quoi M. Jean Lemaire s’attaque à la seule muraille de protection ? Pour
dissimuler son manque d’action ou pour le bénéfice des permis signés par Nicole
Delpeuch ?
Encore un autre exemple... NON NON ET NON « Gargenville en
Action » ne veut pas des 600 logts Porcher ! Hormis les mots, dans la réalité,
qu’a fait concrètement J. Lemaire contre la montée en puissance d’une
surdensification avec 27% de crédit ? RIEN ! Pourtant le tête de liste de
l’opposition était le mieux placé pour réagir, et c’était son devoir de stopper
cette machine infernale sans 2ème pont ! Alors que valent des NON NON ET NON
complètements stériles et ridicules face à l’énorme danger communal ? Regardons
la vérité, la vitrine de « Gargenville en Action » ne vaut pas un clou !
Question : Avec ces attaques répétées, de quel côté se trouve Jean Lemaire ?
Côté protection ? Côté Epamsa ? Ou côté opportunisme ?
Si la balance penche du côté protection, alors la Défense de
Gargenville a un nouvel adhérent, mais quelle drôle de façon de coopérer à la
seule protection de « sa » ville !
De même : « Des auteurs locaux ont déjà été déboutés sur les
recours des permis de construire... ceux qui disent le contraire ne vous disent
pas la vérité ! » C’EST FAUX !
PIRE ENCORE ! C’est une volonté d’anéantir par le doute
gangréneux et pour dévaloriser la seule véritable protection mise en place sur
la commune... sinon qu’aurions-nous actuellement comme rempart face à des
bulldozers ??? Des NON NON NON moi j’veux pas !!! Qu’elle est l’exacte
motivation de cette culture ambiguë devant les permis signés par Mme Delpeuch ?
Où se trouve la sincérité des intérêts communaux ?
Côté flatterie : Affirmations de M. Jean Lemaire il y a
seulement 60 jours... « Renforçons la démocratie participative ! L’intérêt
général sera toujours le fil conducteur de notre action... »
C’EST FAUX ! TERRIBLEMENT FAUX ! 45 jours après l’appel du
médecin à une mobilisation générale, pas le moindre remerciement adressé à
Pierre-Marie Darnaut et son équipe, ni en public, ni sur le terrain, ni par
écrit dans un esprit de solidarité Républicain ! Pas le moindre désir d’une
démocratie participative, au contraire, une fois les 761 voix de report en
poche, M. Jean Lemaire nous démontre un total individualisme déconcertant !
Devant ce déversement d’ambivalences, la politique communale
n’a jamais été aussi tordue !
Gargenville vient d’achever un terrible combat, faut-il le
recommencer avec Jean Lemaire ?
Alors parlons déjà des mécontents... Cela paraît logique
pour les 1331 voix de N. Delpeuch, cela va de soi pour les 223 voix de La
Défense Gargenvilloise, cela coule de source pour une grande partie des
abstentionnistes qui ne se sont jamais déplacés pour aller voter Jean Lemaire
en 2001, 2008, 2010 et 2014... Mais qu’en est-il réellement des 794 voix de
l’équipe de Pierre-Marie Darnaut ? Qu’en est-il des 761 Gargenvillois qui ont
permis l’accès au fauteuil ?
M. Jean Lemaire serait-il déjà seul et isolé sur son radeau
de fortune à Rangiport ???
LE 17/05/2014/LA DÉFENSE GARGENVILLOISE/Christian Pirault