mercredi 11 juillet 2012

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 LA DÉFENSE GARGENVILLOISE

10 commentaires:

  1. Pub! en continu!
    Tous ensemble tous ensemble!
    Crions tous vive Cherel!!!
    Que serions-nous sans lui???

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    Réponses
    1. Jean Paul CHEREL12 juillet 2012 à 16:32

      Bonne lecture à vous anonyme de 14:11

      Liberté

      Sur mes cahiers d'écolier
      Sur mon pupitre et les arbres
      Sur le sable sur la neige
      J'écris ton nom

      Sur toutes les pages lues
      Sur toutes les pages blanches
      Pierre sang papier ou cendre
      J'écris ton nom

      Sur les images dorées
      Sur les armes des guerriers
      Sur la couronne des rois
      J'écris ton nom

      Sur la jungle et le désert
      Sur les nids sur les genêts
      Sur l'écho de mon enfance
      J'écris ton nom

      Sur les merveilles des nuits
      Sur le pain blanc des journées
      Sur les saisons fiancées
      J'écris ton nom

      Sur tous mes chiffons d'azur
      Sur l'étang soleil moisi
      Sur le lac lune vivante
      J'écris ton nom

      Sur les champs sur l'horizon
      Sur les ailes des oiseaux
      Et sur le moulin des ombres
      J'écris ton nom

      Sur chaque bouffée d'aurore
      Sur la mer sur les bateaux
      Sur la montagne démente
      J'écris ton nom

      Sur la mousse des nuages
      Sur les sueurs de l'orage
      Sur la pluie épaisse et fade
      J'écris ton nom

      Sur la vitre des surprises
      Sur les lèvres attentives
      Bien au-dessus du silence
      J'écris ton nom

      Sur mes refuges détruits
      Sur mes phares écroulés
      Sur les murs de mon ennui
      J'écris ton nom

      Sur l'absence sans désirs
      Sur la solitude nue
      Sur les marches de la mort
      J'écris ton nom

      Sur la santé revenue
      Sur le risque disparu
      Sur l'espoir sans souvenir
      J'écris ton nom

      Et par le pouvoir d'un mot
      Je recommence ma vie
      Je suis né pour te connaître
      Pour te nommer

      Liberté.

      Paul Eluard, 1942

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  2. Victor Hugo :

    Liberté !

    De quel droit mettez-vous des oiseaux dans des cages ?

    De quel droit ôtez-vous ces chanteurs aux bocages,
    Aux sources, à l'aurore, à la nuée, aux vents ?
    De quel droit volez-vous la vie à ces vivants ?
    Homme, crois-tu que Dieu, ce père, fasse naître
    L'aile pour l'accrocher au clou de ta fenêtre ?
    Ne peux-tu vivre heureux et content sans cela ?
    Qu'est-ce qu'ils ont donc fait tous ces innocents-là
    Pour être au bagne avec leur nid et leur femelle ?

    Qui sait comment leur sort à notre sort se mêle ?
    Qui sait si le verdier qu'on dérobe aux rameaux,
    Qui sait si le malheur qu'on fait aux animaux
    Et si la servitude inutile des bêtes
    Ne se résolvent pas en Nérons sur nos têtes ?
    Qui sait si le carcan ne sort pas des licous ?
    Oh! de nos actions qui sait les contre-coups,
    Et quels noirs croisements ont au fond du mystère
    Tant de choses qu'on fait en riant sur la terre ?
    Quand vous cadenassez sous un réseau de fer
    Tous ces buveurs d'azur faits pour s'enivrer d'air,
    Tous ces nageurs charmants de la lumière bleue,
    Chardonneret, pinson, moineau franc, hochequeue,
    Croyez-vous que le bec sanglant des passereaux
    Ne touche pas à l'homme en heurtant ces barreaux ?

    Prenez garde à la sombre équité. Prenez garde !
    Partout où pleure et crie un captif, Dieu regarde.
    Ne comprenez-vous pas que vous êtes méchants ?
    À tous ces enfermés donnez la clef des champs !
    Aux champs les rossignols, aux champs les hirondelles ;
    Les âmes expieront tout ce qu'on fait aux ailes.
    La balance invisible a deux plateaux obscurs.
    Prenez garde aux cachots dont vous ornez vos murs !
    Du treillage aux fils d'or naissent les noires grilles ;
    La volière sinistre est mère des bastilles.
    Respect aux doux passants des airs, des prés, des eaux !
    Toute la liberté qu'on prend à des oiseaux
    Le destin juste et dur la reprend à des hommes.
    Nous avons des tyrans parce que nous en sommes.
    Tu veux être libre, homme ? et de quel droit, ayant
    Chez toi le détenu, ce témoin effrayant ?
    Ce qu'on croit sans défense est défendu par l'ombre.
    Toute l'immensité sur ce pauvre oiseau sombre
    Se penche, et te dévoue à l'expiation.
    Je t'admire, oppresseur, criant: oppression !
    Le sort te tient pendant que ta démence brave
    Ce forçat qui sur toi jette une ombre d'esclave
    Et la cage qui pend au seuil de ta maison
    Vit, chante, et fait sortir de terre la prison.

    Un Citoyen

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  3. Que serions nous sans lui à 14:11 ?

    Que serions nous sans la "Vie", que serions nous sans l'envie et l'espoir ?

    Que serions nous sans la conviction, la vision et la raison ?

    Que serions nous sans l'espoir, le désespoir puis le voir ?

    Que et que sont là une infinité de questions dans tous les mélanges du genre sans offrir de réelles réponses.

    Ce blog est une réalité qui permet le partage des idées aussi bien politiques-politiciennes que réalistes sur le terrain par la vision de notre Ville par le bout de la lorgnette.

    Ce blog est une liberté d'opinion tout simplement.

    Un Citoyen

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  4. Petit commentaire sans conséquence.

    Sur l'échiquier politique que voici peu de pièces encore libres de mouvements...

    Un Roi de Coeur toujours présent, une Reine de Pique encore présente et ceux qui furent mis aux Carreaux qui encore et toujours espèrent en leur revanche, une Dame de Coeur aussi par son trèfle à quatre feuilles qui peut offrir la victoire si en politique un jour, cette Dame se manifeste librement.

    Poursuivons!

    Un Citoyen

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  5. Moi! Présidente,
    Je vous demande de ne plus lire mes papiers vert de la campagne municipale.
    Ce sont des faux, écrits par mes fidèles 28 salopards.

    Moi "maîtresse d'école" je le vaut bien.

    De 300 appartements je passe à 600 et bientôt à 1000, sans pont.
    Telle est ma volonté première.

    Attention polissons, je pourrais corriger les malfrats qui n'aiment pas ma politique sur Porcher, ni ma première parution N°0 écrite avec l'argent de mon peuple!

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  6. Est-ce vous qui écrivez "pauvre parmi les pauvres"?
    Inspirez-vous!

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  7. "pauvre parmi les pauvres"

    En s’entourant d’un groupe de fidèles, les douze disciples, Jésus a procédé comme d’autres rabbis de son temps.

    Mais ceux qu’il a choisis, il ne les a pas seulement appelés à suivre ses cours, il les a appelés à le suivre, lui, sans condition : « Toi, suis-moi ! »

    Dès lors, faire une recherche sur le thème de la pauvreté dans l’Evangile consiste à écouter l’enseignement de Jésus, mais aussi à être attentif à son attitude à l’égard des pauvres, et surtout à découvrir le mystère de sa personne et de son œuvre.

    En d’autres termes, Jésus parle de la richesse et de la pauvreté ; il rencontre et accueille les pauvres ; il est lui-même un pauvre parmi les pauvres –

    les récits de la nativité nous l’ont déjà démontré.

    La révélation de Dieu en Jésus-Christ, c’est à la fois son enseignement, ses actes et sa personne.

    Le tout est indissociable.

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  8. Galilée? c'est qui celui là?

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    Réponses
    1. Je suis un Gargenvillois et toi t-es quoi ce 14 juillet l'anonyme?

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