mardi 20 mars 2012
Priorité à l'actualité.
Priorité à l'actualité.
Horreur et indignation, drame et douleur!
Ce matin 20 mars, le monde entier s'indigne devant la tragédie survenue en cette veille du Printemps 2012 à Toulouse.
Quatre personnes ont perdu la vie, assassinées de sang froid par un tueur fou récidiviste, Myriam 7 ans et un professeur de l'établissement accompagné de ses deux enfants agés de 4 et 5 ans.
Un adolescent de 17 ans, a également été blessé grièvement et se trouve en soins intensifs dans un état grave.
Quatre nouvelles victimes, abattues dans des conditions cruelles et effroyables.
Un lien permet de déterminer, qu'il s'agit bien du même individu de la semaine dernière, comme étant l'auteur de la fusillade des trois militaires lâchement abattus en centre ville de Montauban et devant un distributeur de billets.
Plus avant à Toulouse, un jeune militaire en civil de 30 ans, avait aussi été abattu dans des circonstances similaires.
Aujourd'hui à 11 heures, une minute de silence a été observée dans toutes les écoles de France.
Nous nous joignons au malheur épouvantable qui frappe les familles touchées, et nous espérons que l'auteur des faits aussi ignobles, activement recherché par toutes les forces de l'Etat, soit arrêté et mis hors d'état de nuire le plus vite possible.
Nous partageons le recueillement de tout le pays, devant des actes aussi terrifiants et inadmissibles.
LA DEFENSE GARGENVILLOISE
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RépondreSupprimerQuelle tristesse cette Maîtresse n'a vraiment pas le coeur Gargenvillois.
L’horreur
RépondreSupprimerUne enseignante d'un lycée de Rouen a été suspendue vendredi après avoir demandé à ses élèves d'observer une minute de silence en mémoire de Mohamed Merah.
L'initiative, relayée par les élèves au chef d'établissement puis au rectorat de Rouen (Seine-Maritime), a été aussitôt condamnée par le ministre de l'Education nationale Luc Chatel.
La rectrice de l'académie de Rouen, Florence Robine, a assuré que les propos avaient été "extrêmement choquants" et que l'enseignante "n'en percevait pas la gravité".
Florence Robine a précisé que la professeur d'anglais en cause allait faire l'objet d'une procédure disciplinaire et que 16 élèves sur une classe de 20 étaient sortis de classe pour protester, les autres restant pour demander des explications.
Yahoo! Nicholas Vinocur, édité par Yves Clarisse
Il serait bon de ne pas trop donner, d'offrir sur ce sujet d'idées trop établies.
RépondreSupprimerIl semblerait que cette enseignante fit cela dans un moment d'égarement avec dans l'idée de mettre en évidence la facilité de la manipulation intellectuelle et l’appauvrissement de la réflexion, la mort d'un jeune tout simplement là révolta tout comme le massacre des innocents fit par ce jeune.
Les moments de doutes et d'horreurs : cela ne peut-être et ne se doit pas d'être extériorisé par un enseignant, il se doit de conserver ses émotions, ce fut dans ce cas une erreur ou bien une faute...
Bien loin de moi l'idée de juger cela.
Un Citoyen