LES MARGES DE MANŒUVRE
A notre connaissance, Mme Nicole Delpeuch n’en a plus aucune, sinon contredire les arguments de LA DÉFENSE GARGENVILLOISE, ce qui paraît complètement improbable. Pour les 8 années d’opposition municipale de Meur Jean Lemaire, la situation quoi que moins préoccupante, est tout de même extrêmement délicate, surtout compte tenu des circonstances assez floues sur une véritable protection communale. Quant à l’équipe de Meur Pierre Marie Darnaut, l’espace politique n’est plus assez vaste pour en retirer un maximum de bénéfice certain, de l’air, il faudrait ouvrir et renouveler sur l’ancien travail du collectif !
Suivant la trajectoire de LA DÉFENSE GARGENVILLOISE, les marges de manœuvre dont peut disposer Gargenville dans 100 jours, sont maintenant suffisantes à son bon rétablissement dans les meilleurs délais, mais encore faut-il y apporter une large adhérence, autrement dit, savoir fédérer et répondre immédiatement à l’essentiel de notre commune.
L’essentiel... Cette unique façon d’en finir légalement avec Porcher, ce sera les élections sur l’approbation du travail de notre association, puis l’offre d’un référendum communal.
En effet, seule et isolée dans son coin, LA DÉFENSE GARGENVILLOISE a non seulement procédé à des recours contre les permis de construire Porcher (Févier 2013), mais elle a également déposé plainte contre l’exploitation d’une « FAVEUR » considérée par notre association, comme mensongère et illégale. D’ailleurs la justice en appréciera le montage !
Mais pour comprendre notre réaction aboutissant à un dépôt de plainte de notre association sur cette « FAVEUR communale », (qu’auraient soi-disant concédé quelques 350 Gargenvillois simplement venus s’informer aux trois réunions publiques), faut-il encore pouvoir dénouer l’accord entre élus et aménageurs débouchant sur l’annonce de cette « FAVEUR » en conclusion de la concertation publique.
D’évidence, cette pratique tendancieuse ou malhonnête, évidemment repose sur une consultation obligatoire, mais à ces deux grandes différences impardonnables, d’une part, c’est que le public ne s’est jamais prononcé pour se porter responsable d’une quelconque décision à savoir étendre Porcher à 11,8 hectares, d’autre part, c’est qu’au préalable il était bien précisé en amont que le périmètre global était uniquement de 6,7 hectares, et non pas 11,8 hectares comme il est actuellement redouté dans ce tour de passe-passe écœurant et des plus minable en démocratie locale. En l’état, il s’agit donc d’une grossière manipulation!
C'est-à-dire que par cette seule déviance politique remaniée en coulisses et présentée au public en deux ou trois lignes presque inaperçues, nous avons d’un côté la manipulation d’une « FAVEUR » concédée entre élus et aménageurs en supprimant le seul droit de regard décisionnel sur une extension de 5 hectares (et cela change tout sur tout), mais également d’un autre côté, c’est aussi déployer un système subtil au service d’une véritable imposition, c'est-à-dire, un moyen pensé d’emblée antidémocratique et adapté aux besoins d’aboutir à 700 logements et davantage, le tout en méprisant le principal but(... !) l’avis réel de la population dévié de son contexte sur définition d’une concertation publique !!!
Nous ajouterons dans cette vision à contresens des valeurs communales, qu’on est en droit maintenant de se poser la question suivante : Compte tenu de ce montage politique, est-ce que les racines de cette « FAVEUR » ne remontent pas à l’accord de la convention 2007?
A notre connaissance, Mme Nicole Delpeuch n’en a plus aucune, sinon contredire les arguments de LA DÉFENSE GARGENVILLOISE, ce qui paraît complètement improbable. Pour les 8 années d’opposition municipale de Meur Jean Lemaire, la situation quoi que moins préoccupante, est tout de même extrêmement délicate, surtout compte tenu des circonstances assez floues sur une véritable protection communale. Quant à l’équipe de Meur Pierre Marie Darnaut, l’espace politique n’est plus assez vaste pour en retirer un maximum de bénéfice certain, de l’air, il faudrait ouvrir et renouveler sur l’ancien travail du collectif !
Suivant la trajectoire de LA DÉFENSE GARGENVILLOISE, les marges de manœuvre dont peut disposer Gargenville dans 100 jours, sont maintenant suffisantes à son bon rétablissement dans les meilleurs délais, mais encore faut-il y apporter une large adhérence, autrement dit, savoir fédérer et répondre immédiatement à l’essentiel de notre commune.
L’essentiel... Cette unique façon d’en finir légalement avec Porcher, ce sera les élections sur l’approbation du travail de notre association, puis l’offre d’un référendum communal.
En effet, seule et isolée dans son coin, LA DÉFENSE GARGENVILLOISE a non seulement procédé à des recours contre les permis de construire Porcher (Févier 2013), mais elle a également déposé plainte contre l’exploitation d’une « FAVEUR » considérée par notre association, comme mensongère et illégale. D’ailleurs la justice en appréciera le montage !
Mais pour comprendre notre réaction aboutissant à un dépôt de plainte de notre association sur cette « FAVEUR communale », (qu’auraient soi-disant concédé quelques 350 Gargenvillois simplement venus s’informer aux trois réunions publiques), faut-il encore pouvoir dénouer l’accord entre élus et aménageurs débouchant sur l’annonce de cette « FAVEUR » en conclusion de la concertation publique.
D’évidence, cette pratique tendancieuse ou malhonnête, évidemment repose sur une consultation obligatoire, mais à ces deux grandes différences impardonnables, d’une part, c’est que le public ne s’est jamais prononcé pour se porter responsable d’une quelconque décision à savoir étendre Porcher à 11,8 hectares, d’autre part, c’est qu’au préalable il était bien précisé en amont que le périmètre global était uniquement de 6,7 hectares, et non pas 11,8 hectares comme il est actuellement redouté dans ce tour de passe-passe écœurant et des plus minable en démocratie locale. En l’état, il s’agit donc d’une grossière manipulation!
C'est-à-dire que par cette seule déviance politique remaniée en coulisses et présentée au public en deux ou trois lignes presque inaperçues, nous avons d’un côté la manipulation d’une « FAVEUR » concédée entre élus et aménageurs en supprimant le seul droit de regard décisionnel sur une extension de 5 hectares (et cela change tout sur tout), mais également d’un autre côté, c’est aussi déployer un système subtil au service d’une véritable imposition, c'est-à-dire, un moyen pensé d’emblée antidémocratique et adapté aux besoins d’aboutir à 700 logements et davantage, le tout en méprisant le principal but(... !) l’avis réel de la population dévié de son contexte sur définition d’une concertation publique !!!
Nous ajouterons dans cette vision à contresens des valeurs communales, qu’on est en droit maintenant de se poser la question suivante : Compte tenu de ce montage politique, est-ce que les racines de cette « FAVEUR » ne remontent pas à l’accord de la convention 2007?
Attendu que notre objectif principal est de
préserver notre cadre villageois et de promouvoir sa qualité de vie tout en
retrouvant un développement équilibré et durable, en bout de course, pour fixer
un remaniement total, il s’agit de fédérer autour de propositions claires et
précises, mais cette histoire de division de l’opposition ne facilite guère les
réelles possibilités d’y parvenir efficacement, au contraire, elle les condamne
à un échec presque certain.
Les marges de manœuvre s’en trouvent donc fortement réduites, mais néanmoins pas irrémédiablement vouées à disparition, parce qu’il reste encore un levier considérable.
Après quatre années à se confronter sur des risques majeurs encourus par notre commune, s’articulant autour d’injustices de la politique de Mme Delpeuch maire, il convient aujourd’hui de se doter de moyens suffisants à un rétablissement fort et rapide.
Puisque les deux oppositions de Gargenville marginalisent la Défense Gargenvilloise à un éternel second rôle minimal, nous sommes donc placés dans l’obligation d’avancer seuls sur l’unique possibilité d’en sortir définitivement, un référendum décisif entériné par le droit.
Évidemment, ce n’était pas du tout notre conception d’aborder les prochaines élections communales, mais étant donné les réactions des deux formations de l’opposition jadis collectives à un effort commun, ensuite condamnées à faire marche arrière sur des contrevérités, désormais nous en appelons à la population Gargenvilloise, mais l’esprit serein!
Objectivement, nous savons que vous êtes des centaines et des centaines, sinon beaucoup plus d’un millier de personnes à soutenir nos idées d’une protection de notre cadre de vie.
Les 1081 signatures contre le projet Porcher en font foi et attestent de vos soutiens, mais aujourd’hui c’est autre chose... Pour concrétiser les positions de la Défense Gargenvilloise, il convient d’aller beaucoup plus loin, car pour aboutir à sauver notre petite ville, c’est d’un minimum de 2000 suffrages sur 5000 inscrits dont nous avons nécessité impérative !
Evidemment le problème n° 1 de Gargenville c’est Porcher ! Il faut s’en débarrasser !
Les marges de manœuvre s’en trouvent donc fortement réduites, mais néanmoins pas irrémédiablement vouées à disparition, parce qu’il reste encore un levier considérable.
Après quatre années à se confronter sur des risques majeurs encourus par notre commune, s’articulant autour d’injustices de la politique de Mme Delpeuch maire, il convient aujourd’hui de se doter de moyens suffisants à un rétablissement fort et rapide.
Puisque les deux oppositions de Gargenville marginalisent la Défense Gargenvilloise à un éternel second rôle minimal, nous sommes donc placés dans l’obligation d’avancer seuls sur l’unique possibilité d’en sortir définitivement, un référendum décisif entériné par le droit.
Évidemment, ce n’était pas du tout notre conception d’aborder les prochaines élections communales, mais étant donné les réactions des deux formations de l’opposition jadis collectives à un effort commun, ensuite condamnées à faire marche arrière sur des contrevérités, désormais nous en appelons à la population Gargenvilloise, mais l’esprit serein!
Objectivement, nous savons que vous êtes des centaines et des centaines, sinon beaucoup plus d’un millier de personnes à soutenir nos idées d’une protection de notre cadre de vie.
Les 1081 signatures contre le projet Porcher en font foi et attestent de vos soutiens, mais aujourd’hui c’est autre chose... Pour concrétiser les positions de la Défense Gargenvilloise, il convient d’aller beaucoup plus loin, car pour aboutir à sauver notre petite ville, c’est d’un minimum de 2000 suffrages sur 5000 inscrits dont nous avons nécessité impérative !
Evidemment le problème n° 1 de Gargenville c’est Porcher ! Il faut s’en débarrasser !
A 100 jours des élections municipales, voici devant vous la toute dernière
chance qui vous est encore permis de saisir... Un seul et unique choix à portée
des urnes !
Depuis 10 mois... Nous nous battons de pied ferme pour sauver Gargenville de cette douleur !
SEULS, NOUS AVONS FAIT RECOURS CONTRE LES PERMIS PORCHER !
SEULS, NOUS AVONS DÉPOSÈ PLAINTE CONTRE UN SYSTÈME DÉLOYAL !
Chers compatriotes, en nous accordant la majorité de vos suffrages les 23 et 30 mars 2014, vous vous protégerez vous-mêmes, vous garantirez votre autoprotection. Ainsi élus, dès le 1er conseil municipal, nous voterons la date de l’organisation d’un référendum avant l’été 2014, trois choix seront proposés : Maintien du projet Porcher/Delpeuch à 700 logements, annulation du projet Porcher/Delpeuch, refonte totale par un lotissement de 160/180 terrains à bâtir et un petit quartier de la gare voulu dans un prolongement de Gargenville. Puis dans un second temps, nous vous soumettrons le maintien de notre commune dans la CAMY, ainsi que le choix de l’entrée dans l’intercommunalité des Coteaux du Vexin.
Le 24/11/2013/LA DÉFENSE GARGENVILLOISE/Christian Pirault
Depuis 10 mois... Nous nous battons de pied ferme pour sauver Gargenville de cette douleur !
SEULS, NOUS AVONS FAIT RECOURS CONTRE LES PERMIS PORCHER !
SEULS, NOUS AVONS DÉPOSÈ PLAINTE CONTRE UN SYSTÈME DÉLOYAL !
Chers compatriotes, en nous accordant la majorité de vos suffrages les 23 et 30 mars 2014, vous vous protégerez vous-mêmes, vous garantirez votre autoprotection. Ainsi élus, dès le 1er conseil municipal, nous voterons la date de l’organisation d’un référendum avant l’été 2014, trois choix seront proposés : Maintien du projet Porcher/Delpeuch à 700 logements, annulation du projet Porcher/Delpeuch, refonte totale par un lotissement de 160/180 terrains à bâtir et un petit quartier de la gare voulu dans un prolongement de Gargenville. Puis dans un second temps, nous vous soumettrons le maintien de notre commune dans la CAMY, ainsi que le choix de l’entrée dans l’intercommunalité des Coteaux du Vexin.
Le 24/11/2013/LA DÉFENSE GARGENVILLOISE/Christian Pirault