mercredi 22 septembre 2021

Zemmour cet étranger

Il me passionne Eric dans sa diction sur tous les sujets qu'il expose, une addiction s'est opérée...il me manque depuis que le CSA à provoqué son départ de l'émission. Il était jusqu'à ce jour une étoile à écouter, il permettait de comprendre notre histoire de France et de préparer l'avenir sereinement. 

 

Une sorte de "guide spirituel" j’arrivais à le suivre avec mon niveau primaire, une captation à retenir toute l'histoire de la France avec respect, une vraie passion, un besoin de l'écouter raconter et puis faire rêver un peu en politique dans ce monde imaginaire ou nous sommes tous manipulés.

Car...il n'y a plus de partis représentatifs, ils veulent le pouvoir à tout prix et se foutent de nous les Français...qui sommes tous des émigrés en recherche de paix et de vérité...même qu'en ce moment...j'ai le peine de me regarder dans la glace, un mur de honte me gène imposé par les médias et les longs becs...je ne suis pas raciste mais profondément Français...je suis un convaincu...çà ne s'explique pas çà se vit.

 

Eric impose un bain genre de jouvence dans le passé mais allant foncièrement dans la compréhension du présent et surtout de l'offrir à nos enfants.

je pense qu'il a raison de se démarquer de ces primates politiciens, qui nous guident dans le mur du ridicule et l'appauvrissement de Ma France.

j'espère que d'autres hommes de qualité viendrons l'épauler dans ce titanesque chalenge présidentiel.

Un Dupont Aignan ...une M. Maréchal...à ses cotés bouleverserait la donne et puis un royaliste pourquoi pas...un De Villiers...un CIOTTI...

les médias veulent le descendre...les politiques veulent sa peau...les minorités souhaite un avortement médiatique...ils ont peur de quoi ces bougres!!!

Il me passionne cet Eric.

JP CHEREL

Quelle serait la première rupture avec Éric Zemmour au pouvoir ?

Je n’en suis pas encore à rédiger un programme présidentiel et à clamer : “Le changement, c’est maintenant !”

je pense que c’est la question essentielle, voire existentielle.

Mais si j’accepte de jouer avec vous ce jeu-là, je dirais que la première rupture concernerait bien sûr la politique d’immigration au sens large Les immigrés n’auraient plus le droit de décider de la politique d’immigration menée en France.

 Cela aurait des tas de conséquences.

On supprimerait le regroupement familial, 

le mariage avec un étranger — 90000 par an — ne permettrait plus sa venue en France ou sa naturalisation automatique au bout de deux ans,

 on déciderait que les étudiants doivent payer plus cher et que nous pouvons les choisir,

 que le droit d’asile serait suspendu ou ne pourrait être demandé en France mais dans les consulats à l’étranger,

 que le droit du sol serait supprimé, 

que les allocations familiales ne seraient plus versées aux étrangers.

Les mesures assurantielles seraient maintenues (sécurité sociale… ),

 mais les mesures de solidarité nationale seraient réservées aux nationaux.

On expulserait les délinquants étrangers,

 on supprimerait la double nationalité pour les non-Européens et on étendrait les cas de déchéance de nationalité…

Bref, revenir à ce qui se faisait en France jusqu’aux années 1970.

Vous parlez là de ceux qui arrivent. Mais que faire pour ceux qui sont déjà là, Français, et qui ne s’intègrent pas ?

Je l’ai dit: 

expulsion de tous les délinquants étrangers, déchéance de nationalité lors d’un délit sérieux, 

fermeture de toutes les mosquées salafistes ou tenues par les Frères musulmans,

 interdiction de toutes les associations étrangères comme c’était le cas avant, suppression du droit en justice des associations (suppression de la loi Pleven), 

suppression de toutes les subventions aux associations de défense des étrangers, 

rétablissement de la loi sur les prénoms français…

Il y a beaucoup de mesures à prendre. Et là, c’est une rupture. Il s’agit tout simplement de rétablir la France des années 1960. 

D’ailleurs, si la question identitaire est essentielle, elle n’est pas la seule.

Il faudrait développer une véritable politique industrielle et aussi rétablir une instruction publique digne de ce qu’elle fut, car je pense qu’un de nos problèmes fondamentaux est l’effondrement de notre niveau scolaire.

J’emploie le mot d’instruction” exprès pour échapper aux dérives idéologiques de l’Éducation nationale.

Ça ferait les 4I : immigration, islam, industrie, instruction.


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