On viol son intimité!!!
Y pense t-il à ces morts???
les compte t-il ces enfants assassinés dans ses nuits blanches comme des moutons ce brave berger!!
Ne sait-il pas que c'est un acte de guerre qu'il a commis, il doit le comprendre ce n'est pas à nous d'avoir de la compassion...
BFMTV
La colère noire de Salah Abdeslam en découvrant la vidéosurveillance dans sa cellule
Le seul membre survivant connu des commandos du 13 novembre fait l'objet d'une surveillance renforcée dans sa cellule de la prison de Fleury-Mérogis.
Il était présenté comme un prisonnier modèle par ses gardiens
belges, Salah Abdeslam le serait resté depuis son arrivée en France. Si
son attitude ne semble pas poser de problème, les contraintes et les
conditions de son incarcération à la prison de Fleury-Mérogis sont
particulièrement strictes. Au point que le seul terroriste présumé
survivant connu des attentats du 13 novembre serait entré dans une
colère noire quand il a découvert qu'il serait surveillé 24 heures sur
24 dans sa cellule.
Le 27 avril dernier, Salah Abdeslam est remis à la France. Après un passage devant un juge d'instruction, le terroriste présumé est amené à Fleury-Mérogis, en Essonne. Il s'agit de l'un des deux établissements qui peut potentiellement l'accueillir. Reda Kriket, soupçonné d'avoir préparé un attentat, étant incarcéré à Fresnes, Abdeslam prend donc la direction du plus grand centre pénitentiaire d'Europe. Un détenu accueilli dans un mélange d'applaudissements et de huées.
Le 27 avril dernier, Salah Abdeslam est remis à la France. Après un passage devant un juge d'instruction, le terroriste présumé est amené à Fleury-Mérogis, en Essonne. Il s'agit de l'un des deux établissements qui peut potentiellement l'accueillir. Reda Kriket, soupçonné d'avoir préparé un attentat, étant incarcéré à Fresnes, Abdeslam prend donc la direction du plus grand centre pénitentiaire d'Europe. Un détenu accueilli dans un mélange d'applaudissements et de huées.
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Beaucoup
de précautions ont été prises au 4e étage du quartier d'isolement: les
détenus des cellules voisines ont été transférés, le mobilier a été
scellé au sol mais surtout des dispositifs de vidéosurveillance ont été
installés. "En voyant les caméras de surveillance, il est entré dans une
colère noire en disant qu'on violait son intimité, rapporte au Parisien une source judiciaire. Les agents ont eu quelques sueurs froides."
Si depuis aucun incident n'est à déplorer, Salah Abdeslam a refusé de parler devant le juge d'instruction
qui l'a entendu vendredi dernier. "Il est particulièrement perturbé de
la vidéosurveillance dans sa cellule (...), insistait alors son avocat,
Frank Berton, qui dénonce "une décision politique pour rassurer
l'opinion publique". "Il ne supporte pas d’être surveillé 24 heures sur
24 et je crois que psychologiquement, ça lui crée une difficulté."
Une loi d'ici la fin du mois
Ce
nouveau dispositif oblige ainsi le ministère de la Justice à travailler
sur un texte encadrant cette pratique. Comme le rappelle le quotidien,
la chancellerie prévoit d'autoriser la surveillance des détenus "dont
l'évasion ou le suicide pourrait avoir un impact important sur l'ordre
public, eu égard aux circonstances particulières à l'origine de leur
incarcération et l'impact de celle-ci sur l'opinion publique".
Une
régularisation qui prévoit des enregistrements uniquement d'images -
sans le son - qui seraient conservés au maximum un mois, sauf s'ils
constituent un élément pour l'enquête. La mise en place d'une
vidéosurveillance en cellule se ferait à la discrétion du Garde des
Sceaux d'après ce texte, qui pose la question de l'atteinte à la
dignité, et qui pourrait être présenté d'ici la fin du mois.